mercredi 14 mars 2012

Amandine

Dés ma rencontre, avec Amandine, j’ai sue que ça serait très différent.
Elle m’a tout de suite mise au parfum, elle était lesbienne, elle aimait soumettre l’autre a ses exigences. Je devais la vouvoyer, lui obéir sans discuter, mais en avais-je les moyens, vu mon état ? Je me suis rapidement confiée à elle, pensant tout savoir, mais je ne savais rien.

Si mon cœur battais pour Valérie, j’en étais je peux le dire véritablement amoureuse, avec elle c’était très différent. Amandine était assez grande, avec de longs cheveux bruns, une peau très blanche presque laiteuse, une poitrine plutôt généreuse (que j’aurais voulu avoir) des hanches trop large à son gout, des fesses rebondies, des cuisses pleines, une vrai bimbo des années 50. J’étais hypnotisée par son Corps, sa façon d’être, de se mouvoir, son emprise sur moi me permettait d’oublier doucement Valérie, ma peine, mais sans véritable sentiments. J’ai rapidement décidé de la laisser prendre ma vie en mains.

Elle exigea qu’en sa présence je sois nue sous mes vêtements, ne plus fréquenter d’homme ni de femme sans son consentement, et obéir sans faillir. Pendant les premières semaines, nous passions de long moment toutes les deux, à nous caresser, à nous lécher, a nous donner du plaisir. Je me disais finalement elle est moins exigeante que ce qu’elle me laissait entendre…. Et puis lors d’une soirée, chez elle, il y avait une dizaine de personnes, uniquement des femmes, elle exigea que je sois nue et que je m’occupe de les servir.

Amandine me dévêtit rapidement, je n’avais rien sous ma robe. J’étais un peu honteuse de tous ses regards féminins sur moi. Par maladresse, j’ai renversé un verre, il se brisa, j’ai vu son regard noir, d’un ton sec, elle me dit, cette fois, tu vas avoir ta punition, une bonne fessée, bonne à rien ! Ses mots raisonnaient dans ma tête, avant d’avoir le temps de dire « ouf », je me suis retrouvée allongée sur ses genoux, et j’ai sentie sa main s’abattre sur mon postérieur, une fois terminé, mes fesses me brulait, des larmes dans les yeux, la honte m’envahit, mais je sentais une grosse chaleur dans mon bas ventre, mon sexe s’ouvrir qui se mouillait. 

Rapidement, elle s’en est aperçue, et elle lança à la cantonade, « elle est trempée, toute excitée par sa punition, si une de vous souhaite s’en occuper, je vous la prête…. » Deux femmes, assez ronde se sont approché de moi. Elles m’ont fait mettre à genoux, devant elle, puis m’ont demandé de les lécher. Elles sentaient bon, j’ai fermé les yeux et me suis appliquée du mieux que je pouvais. Si les garçons sont plutôt brusques, j’ai découvert que bon nombre de fille dans ce milieu ne sont pas douce du tout. Autant j’aime la rudesse des contacts des hommes, qu’avec une femme, j’apprécie la tendresse, la douceur. Elle devait trouver que je n’appliquais pas assez, alors elle ma saisie par les cheveux, et plaqua son sexe sur ma bouche se frottant fortement dessus.

Puis j’ai senti son corps se tendre et un flot de sa liqueur est arrivé sur ma bouche. Elle a repris ses esprits, et une autre à pris sa place, puis une autre, et encore une autre…. Pendant ce temps, des mains parcourais mon Corps, fouillait ma chatte. Je n’ai pas eu d’orgasme, mais j’étais comblée cérébralement…. Elle leur expliqua, que j’étais bisexuelle, et que de temps à autres elle m’offrira à des hommes pour satisfaire mon envie de sexe mâle. Je me suis posée beaucoup de questions, ne fréquentant pas la gente masculine, comment fera-t-elle ? Je n’allais pas tarder à avoir la réponse….

1 commentaire:

  1. comblé aussi, cérébralement, en parcourant tes mots qui me font t'imaginer en cette douce soumission très excitante....

    RépondreSupprimer