mercredi 14 mars 2012

Blacky

Cela faisait plusieurs semaine que je n’avais plus rencontré Rachid, je l’ai croisé, en rentrant à la maison, il s’avança vers moi et me saisi immédiatement par le coup en me demandant pourquoi je l’évitai. Il serra plus fort, j’étouffais, il me demanda sèchement de venir chez lui, le lendemain, pour me présenter à des amis et à un certains Blacky….
Il se faisait menaçant, si je ne venais pas, il me corrigerait violement…. Je m’étais posée des questions puériles du genre comment m’habiller. C’était idiot parce que je devinais bien que je ne resterais pas habillée longtemps.
Finalement j’optais pour une jupe courte et un blouson de cuir, sans rien du tout dessous. Tout sous-vêtement me paraissait inutile, et puis je voulais éviter de les aguicher, les exciter encore plus. Je me contentai de me maquiller un peu les yeux, comme j’en avais l’habitude.

 Vers 14 heures, il m’emmena dans un autre bâtiment et il frappa sèchement à la porte. Les coups résonnèrent très fort en moi. J’avais la peur au ventre. Blacky nous fit entrer, il y avait aussi trois noirs baraqués, l’air pas commode. Ils étaient vautrer dans le canapé et me détailler sans dire un mot. Moi, j’étais debout, plaquée contre le mur, les yeux baissés. J’attendais mon sort, paralysée, silencieuse. Ils parlaient entre eux, sans m’adresser la parole, comme si je n’étais pas là. Blacky leur dit qu’il en attendait encore deux autres, et distribua des bières en attendant. Quoi ? Deux de plus ? J’avais cru naïvement que quatre lascars, c’était bien assez comme ça, mais apparemment ce n’était pas l’avis de Blacky. Un quart d’heure passa encore, qui me parut terriblement long. On frappa de nouveau à la porte, et deux autres types entrèrent, Rachid sorti me laissant là. Mon heure était venue… De plus en plus tendue, je contemplais, les yeux mi clos les six noirs qui allaient me passer dessus. Blacky se leva, me saisit par les cheveux pour me faire avancer au milieu de la pièce, en disant à ses potes « Bon, voilà la pétasse, elle est à vous. Va falloir la dresser, lui faire comprendre qu’elle est juste bonne à servir de sac à bites, un trou qu’on utilise comme on veut, autant qu’on veut. Elle a pas droit à la parole, elle a juste le droit de devenir une pute à blacks… ». Puis il s’est tourné vers moi en me tirant encore un peu plus les cheveux : « toi, à poil, et vite ! ». Je n’ai pas réagi tout de suite, j’ai eu un temps d’hésitation. Aussitôt, j’ai pris quatre baffes aller-retour qui m’ont saisie. Blacky a vivement tiré sur la fermeture éclair de mon blouson, dévoilant ma poitrine. Les joues en feu, les larmes au bord des yeux, j’ai baissé ma jupe sous le regard excité des noirs étalés sur le canapé et le lit. Blacky m’a ordonné de m’exposer, d’écarter les cuisses, d’ouvrir mes fesses au maximum pour « qu’ils voient la marchandise ».

Cette fois, j’ai obéi tout de suite. Toute honte bue, j’ai du tourner sur moi-même, et je me suis laissée examiner comme une bête de foire. Il demanda à Rachid de se casser, il est sorti de l’appartement sans un mot, sans un regard…. Certains avaient déjà sorti leur queue et se branlaient en me contemplant. D’autres s’étaient levés pour se rapprocher. J’étais cernée par les blacks qui se collaient à moi, s’emparaient sans douceur de mes seins. Déjà je sentais des doigts m’investir, forcer mon vagin. Les types s’esclaffaient, s’échangeaient bruyamment des commentaires salaces, disaient qu’ils allaient bien profiter de la salope de blanche. Quelqu’un me planta ses doigts dans la nuque et me força à me pencher en avant. Aussitôt je sentis des mains m’écarter encore plus les cuisses et les fesses, des doigts investir durement mes orifices. Je n’ai même pas eu le temps d’émettre la moindre protestation : une bite me forçait déjà la bouche.

Je me suis sentie empoignée violemment par les cheveux pour que je l’avale. J’ai dû engloutir l’énorme boudin noir. Le type s’est aussitôt enfoncé jusqu’au fond de la gorge. J’ai cru que j’allais vomir sous la violence de la poussée. Je sentais les larmes couler sur mes joues. Je suffoquais. Mais le black ne relâchait pas sa prise. Au contraire. Il forçait pour s’enfoncer encore plus loin. Mes doigts se sont crispés sur ses cuisses dures. Il est alors brusquement sorti de ma bouche pour me gifler à la volée en m’injuriant et en me criant que j’avais intérêt à tout avaler. Je m’y suis appliquée et, au bout de quelques va-et-vient brutaux, il était parvenu à forcer ma gorge jusqu’au bout. Je sentais ses couilles battre contre mon menton… Pendant ce temps, d’autres s’occupaient de mon derrière. J’avais tellement de mal à avaler l’autre bite par-devant que j’avais peine à faire attention à ce qui se passait de l’autre côté. C’est comme si j’étais partagée en deux parties qui subissaient les assauts chacune de leur côté. J’avais la chatte et l’anus envahis par des doigts agressifs. Le petit trou me faisait mal et me brûlait. Les types derrière moi étaient surexcités. Des claques s’abattaient rudement sur mes fesses. Je crois qu’ils s’y mettaient tous.

J’étais solidement tenue, je ne pouvais que subir la cuisante correction… Une queue s’est enfoncée d’un seul coup tout au fond de mon vagin et s’est mise à me labourer brutalement pendant que le type me tenait solidement par les hanches. Celui qui avait forcé ma bouche s’est brusquement retiré pour céder la place à un autre qui m’a agrippé fermement la gorge pour me pistonner violemment. Les yeux embués, je salivais énormément, au bord du vomissement à chaque coup de boutoir. Des mains rudes pressaient mes seins, pinçaient durement les bouts. Les salauds étaient déchaînés. Certains gueulaient parce que les autres ne leur laissaient pas la place pour pouvoir m’enfiler à leur tour. Soudain j’ai été projetée sans ménagement sur le lit, à genoux, la figure enfouie dans les draps. Ils se sont mis à plusieurs pour me faire lever les fesses à grands coups de claques sur le cul, écarter les cuisses au maximum.

 Une bite m’a forcé l’anus d’un seul coup, sans préparation. J’ai crié mais un d’eux m’a relevé la tête de force pour me gifler en m’intimant de me taire. Je me suis tue et je me suis laissée défoncer le cul en pleurant silencieusement. Quand le type s’est retiré, les autres se sont esclaffés en contemplant mon anus dilaté. Certains y ont enfoncé plusieurs doigts pour l’agrandir encore.
Puis ils ont changé de position. Un deux s’est couché sur le lit, d’autres m’ont empalée sur lui, et fait pencher en avant pour me sodomiser. Prise en sandwich par deux énormes bites noires qui me labouraient sans relâche, j’ai encore du me laisser investir la bouche. J’étais prise par les trois trous en même temps. Quand les premiers étaient fatigués, trois autres blacks prenaient le relais.

Ça a duré comme ça une grande partie de la nuit. Ils avaient l’air inusables. Moi, j’étais épuisée, je n’avais plus la force de refuser quoi que ce soit. En fait, je ne m’en étais pas aperçue tout de suite, mais certains blacks étaient partis, aussitôt remplacés par d’autres, appelés par Blacky au téléphone.
Le salaud faisait en sorte que je n’aie pas le moindre répit. J’avais le visage maculé de sperme. J’avais du en avaler des quantités qu’ils avaient giclé abondamment dans ma bouche. J’avais mal aux seins, l’anus douloureux, la chatte endolorie.
Je n’avais qu’une envie : que ça s’arrête. Mais Blacky ne l’entendait pas de cette oreille. Au petit matin, on me laissa enfin un peu tranquille, faute de combattants. Je me suis effondrée et j’ai aussitôt dormi comme une masse, poisseuse de foutre. Mais le répit n’a pas duré longtemps.

D’autres black sont arrivés après midi. Je savais que ça allait recommencer. Blacky m’a fait mettre à genoux devant eux, a sorti sa ceinture et m’a durement fouettée jusqu’à ce que je le supplie d’arrêter. Il m’a demandé de dire tout haut que j’étais leur pute et qu’ils pouvaient m’utiliser comme ils voulaient. Le visage ravagé de larmes, maculé de l’eye liner qui avait coulé et du sperme séché des autres, j’ai dit oui. Je me suis retrouvée à plat ventre, les cuisses largement écartées, et ils m’ont l’un après l’autre défoncé l’anus et la chatte à leur convenance, vautrés de tout leur poids sur moi. Combien étaient-ils ?


 Je n’en avais pas la moindre idée. Ça n’avait plus d’importance. J’ai subi longtemps leur loi sans mot dire. Puis, enfin, quand tous se sont vidés les couilles dans tous mes trous, ils sont partis. Je suis restée seule, prostrée, saccagée, souillée de foutre, incapable de bouger. J’ai longuement pleuré en silence. Cette fois, j’étais bel et bien devenue un paillasson à blacks. Comment dire ? Je me sentais sale, poisseuse, le visage maculé de mes larmes et de leur sperme, humiliée.

 J’avais mal partout, les seins et l’anus douloureux d’avoir été violentés sans égard. Je me ressentais comme une épave drossée par une violente tempête, et rejetée sur la plage. J’étais épuisée, je n’avais même plus la force de me relever pour aller me laver, effacer leur odeur de foutre et de sueur, tenter de reprendre figure humaine. J’avais juste envie de rester là, prostrée sur le lit ravagé, ravagée moi-même… Dans ma demi-conscience, j’avais une conscience aigüe de ce que je venais de vivre, de subir.

J’avais servi de putain à une bande de blacks qui m’avaient utilisée sans le moindre ménagement, sans considération, avec mépris, en mettant même un point d’honneur à me rabaisser, à me faire comprendre que je n’étais qu’un vulgaire morceau de viande au service de leurs pulsions. Je ne leur en voulais même pas. Je l’avais accepté. Mieux même, je l’avais voulu, consciemment. Je m’étais laissée amener à cette expérience par Rachid en devinant bien ce qui m’attendait. Par la réputation de Blacky elle-même j’étais prévenue. Et je n’avais pas cherché à me dérober. Le désir en moi était monté d’être rabaissée au rang de trou à bites, de sac à sperme, d’être réduite à l’état de putain sur laquelle allaient se défouler ces noirs venus tout exprès pour ça. Je suis restée comme ça, prostrée, pendant au moins une heure. Puis je me suis forcée à me relever.

Je devais partir. Sans tarder, Blacky risquait de rentrer d’un moment à l’autre. Je ne voulais plus le revoir, ni sa bande. Je n’avais pas la moindre intention de rester sous sa coupe, ni de faire le trottoir pour lui. J’avais eu ce que je voulais, ce que je méritais, trouvé ce que je cherchais, et d’assumer ma condition de fille à tout le monde. J’ai remis ma jupe et mon blouson, et je suis partie dans la rue telle quelle, dans l’état où ils m’avaient laissée.

 Je suis allée chez Amandine, elle était complétement affolée de me voir dans l’état ou j’étais. Elle ne me posa aucunes questions, mais me dit durement que j’allais trop loin, et qu’un jour je finirai sur le trottoir, qu’elle tenait trop à moi, pour me laisser me détruire… Ses mots m’ont apaisés, je pris une rapide douche très chaude pour me laver de leurs saloperies, et j’ai dormi 24 heures…

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