Un jour que je montais l’escalier d’un immeuble voisin du mien pour rejoindre un copain, une porte s’est ouverte sur le palier.
Un homme de quarante ans environs m’a abordée. – Viens, entre cinq minutes, je voudrais te parler. J’ai hésité puis j’ai accepté. – cinq minutes…
Il a été direct : - ça fait pas mal de temps que je te vois traîner dans le quartier. Tu crois que je n’ai pas repéré ton manège ? Tu sors avec tous les loustics du coin, je me trompe pas ?
– Et alors, qu’est ce que ça peut vous faire ? Vous n’êtes pas mon père…
Non, mais tu m’as l’air d’être une petite salope de première, tu m’excites à force de traîner dans le coin. Je vais te proposer quelque chose, je vais pas y aller par quatre chemins.
Voilà : j’ai envie que tu me suces la bite. Juste ça. J’ai pas beaucoup de temps, seulement quand ma femme va faire les commissions. Alors voilà : tu viens me sucer de temps en temps et je te file 20 € à chaque fois, qu’est ce que t’en penses ? J’étais interloquée. Je réfléchissais à toute allure en le contemplant.
Pas très attirant. Des cheveux grisonnants mal coiffés, un visage fatigué par l’alcool, un ventre que je devinais mou. Oui mais, 20 €, ça me ferait un peu d’argent de poche, et ce n’était pas à négliger.
Je n’ai pas réfléchi longtemps.
J’ai dit – D’accord, mais rien que ça, vous me touchez pas. Il a bien essayé de me peloter les seins, je me suis dégagée. Il a fini par dire : - Ok on fait comme ça. Tiens, voilà ton argent. Maintenant à genoux. Je me suis exécutée. On étais toujours dans le vestibule. Il a sorti une bite noueuse et me l’a fourrée dans la bouche. J’ai fermé les yeux et je me suis laissée faire ce qu’il voulait, sans y mettre du mien. Il a rapidement déchargé son jus, j’ai tout recraché sur le lino. Rouge, haletant, apparemment satisfait, il a rangé son sexe flasque dans son pantalon et m’a dit : - Tu reviens quand tu veux…
J’y suis retournée souvent.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire