jeudi 15 mars 2012

Le vieux....

Un jour que je montais l’escalier d’un immeuble voisin du mien pour rejoindre un copain, une porte s’est ouverte sur le palier.
Un homme de quarante ans environs m’a abordée. – Viens, entre cinq minutes, je voudrais te parler. J’ai hésité puis j’ai accepté. – cinq minutes…
 Il a été direct : - ça fait pas mal de temps que je te vois traîner dans le quartier. Tu crois que je n’ai pas repéré ton manège ? Tu sors avec tous les loustics du coin, je me trompe pas ?
 – Et alors, qu’est ce que ça peut vous faire ? Vous n’êtes pas mon père…
 Non, mais tu m’as l’air d’être une petite salope de première, tu m’excites à force de traîner dans le coin. Je vais te proposer quelque chose, je vais pas y aller par quatre chemins.
Voilà : j’ai envie que tu me suces la bite. Juste ça. J’ai pas beaucoup de temps, seulement quand ma femme va faire les commissions. Alors voilà : tu viens me sucer de temps en temps et je te file 20 € à chaque fois, qu’est ce que t’en penses ? J’étais interloquée. Je réfléchissais à toute allure en le contemplant.
Pas très attirant. Des cheveux grisonnants mal coiffés, un visage fatigué par l’alcool, un ventre que je devinais mou. Oui mais, 20 €, ça me ferait un peu d’argent de poche, et ce n’était pas à négliger. Je n’ai pas réfléchi longtemps.

 J’ai dit – D’accord, mais rien que ça, vous me touchez pas. Il a bien essayé de me peloter les seins, je me suis dégagée. Il a fini par dire : - Ok on fait comme ça. Tiens, voilà ton argent. Maintenant à genoux. Je me suis exécutée. On étais toujours dans le vestibule. Il a sorti une bite noueuse et me l’a fourrée dans la bouche. J’ai fermé les yeux et je me suis laissée faire ce qu’il voulait, sans y mettre du mien. Il a rapidement déchargé son jus, j’ai tout recraché sur le lino. Rouge, haletant, apparemment satisfait, il a rangé son sexe flasque dans son pantalon et m’a dit : - Tu reviens quand tu veux…

J’y suis retournée souvent.

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