jeudi 29 mars 2012

Mercredi 28 mars

En rentrant du boulot, j’avais une demande pour le soir même. Rendez-vous rapidement de pris avec un homme, qui se dit en manque. Il cherchait une fille acceptant de se faire secouer un peu, avec des rapports prolongés, vu son offre, j’ai accepté, m’évitant de devoir prendre d’autres rendez-vous. Le lendemain, je ne devais reprendre le boulot qu'en début d’après-midi, j’avais donc suffisamment de temps.
J’ai mis une petite jupe noire, un haut en cachemire marron et un petit blouson. Dessous, du classique string, soutif noirs et bas noir. Des bottes pour finir. Le sac à baise est prêt et c'est parti.
Ça a été vraiment chaud !

Le client, François, la quarantaine, un peu bedonnant (enfin pas trop non plus, de son âge quoi), brun. D'entrée de jeu, il m'a enlevé mes fringues en me collant contre un mûr et a de suite glissé ses doigts sous mon string. Le message était clair, j'avais bien compris avant, ça faisait longtemps qu'il n'avait pas tiré un coup et il allait en profiter ce soir. Il m'a masturbée jusqu'à temps que ça coule entre mes cuisses, puis il a retiré ses doigts de ma chatte avant de me les faire sucer. Je léchais mes doigts humides de ma cyprine. Mes bas s'humidifiaient le long de mes cuisses. Il m'embrassait toujours en me plaquant contre le mur. C'était brut et sauvage et ça, ça me plaisait. Je me disais que si la soirée se passait comme ça, je finirai par prendre du plaisir.
Je suis arrivée à passer ma main entre nous et je lui caressais son sexe à travers son pantalon. Puis on s'est tourné, il s'est retrouvé le dos à la porte et moi fasse à lui. Cette fois c'est moi qui menais. Je l'embrassais en même temps que je lui déboutonnais son pantalon qui glissait sur ses chevilles. Son boxer suivit le même chemin. Je le sentais se débattre légèrement pour se sortir les pieds de ces deux vêtements. Désormais, je le branlais lentement d'une main, mon autre main lui caressant le visage. Lui, il en profitait pour passer ses mains sous mon pull et me caresser les seins, glissant ses doigts sous la dentelle de mon soutien-gorge venant flirter avec mes tétons qui ont dès lors commencés à durcir. Puis il m'a repoussée légèrement, m'a enlevée mon pull, me laissant en soutif, un sein sortant de la corbeille de dentelle et il m'a demandée ou plutôt ordonnée de le sucer en exerçant une pression sur mes épaules pour me faire baisser.

Je me suis donc mise donc à genoux devant lui et j'ai posé un petit baiser sur son bout de sexe avant de le lui lécher jusqu'aux couilles qu'il avait épilé. J'ai ensuite remonté ma langue de ses couilles à son sexe avant de le prendre dans ma bouche et de faire quelques va-et-vient très lents mais durant lesquels ma langue s'enroulait autour de son chibre, mais aussi le frottais, le caressait. J'ai posé une main sur la base de son sexe et j'ai commencé à le branler tout en gardant son gland dans ma bouche. Dans la position où j'étais, je levais ma tête et le regardais dans les yeux d'un air mutin comme je sais faire.
Cela lui a donné un sursaut d'excitation, j'ai senti son sexe se raidirent encore plus dans ma bouche.
J'ai continué un peu comme cela puis c'est lui qui a pris les choses en main. Jusqu'à ce moment, il se contentait de passer ses mains dans mes cheveux, me caressant le crane, les joues et mon cou. Puis, à parti de ce moment, il a pris ma tête entre ses mains et a commencer à la maintenir fixe avant de mettre de légers coups de bassin. Au fur et à mesure, il accéléra la cadence et finissait littéralement par me baiser la bouche.
Son sexe ressortait très souvent de ma bouche et à chaque fois, il mettait un gros coup de rein et s'enfonçait plus loin qu'il ne le faisait sans tout de fois aller au fond de ma bouche.

Il a fini par venir dans ma bouche en me tenant bien la tête pour pas que je bouge en lâchant un « p***** que c'est bon ». Il m'a lâché une assez grosse quantité dans la bouche, du sperme est sorti de ma bouche pour couler sur mon menton, mes seins et ma jupe.
Quand il m'a lâché la tête, je suis tombée en arrière, assise à ses pieds. François m'a aidée à me relever et m'a amenée jusqu'à son canapé. Et on a discuté tout naturellement, lui juste en chemise et moi les seins à l'air. Il m'a offert un verre de jus d’orange tout en discutant. Il est divorcé depuis 3 mois d'une femme qu'il juge « castratrice ». Il veut maintenant se faire plaisir et en profiter. Il m'a avoué que ça faisait un petit moment qu'il n’avait pas couché avec une femme et très longtemps avec une jeune femme. Puis il m'a interrogé sur mon sac. Je lui ai donc expliqué et montré ce que j'avais dedans: capotes, lubrifiant, huile de massage, gode, menottes, des liens, une cravache, un petit martinet, le tout pour s'amuser et donner du piment à une soirée. Il prit le martinet et me demanda si on pouvait l'utiliser.

Comme j'ai dit oui, il a pris le sac et m'a demandé de le suivre dans sa chambre.
Il reprit le martinet et me demanda où il pouvait frapper, partout sauf mon visage je lui ai dit. Alors il me mit un coup sur le ventre qui me fit un peu tressaillir. Je lui souriais et fit un signe qu'il pouvait continuer. Il me frappa à nouveau sur le ventre puis un coup sur chaque sein. Il me demanda de me retourner et de me mettre à quatre pattes. Il a soulevé ma jupe et frappé mes fesses plusieurs fois. Puis il a arrêté de me frapper. Il a laissé le martinet et a commencé à me caresser les fesses, ses doigts s'aventurant près de ma corolle. Puis il a pris une capote, a écarté mon string et m'a pénétré sans rien dire. Il m'a prise puissamment, me pénétrant profondément, ses couilles venant frapper mon corps à chaque coups de reins..
Puis après quelques minutes, il s'est retiré. Il a ensuite fini de me déshabiller en me retirant le reste de mes vêtements.

J''étais maintenant aussi nue que lui. Et lui, il m'a pénétrée à nouveau et m'a baisée de longues minutes en levrette. Ses mains se sont aventurées de mes hanches à mes fesses, de mes reins à mes seins. Moi, je me suis contentée de rester à quatre pattes, les bras bien posés sur le lit pour me donner un maximum d'appui. François me baisait violement sans qu'il ne donne un indice sur sa future jouissance. Une de ses mains est remontée le long de mon dos jusqu'à mon cou et a agrippée mes cheveux. Au début, il s'est contenté de les tenir, de me caresser la tête, les cheveux. Puis au bout d'un moment, il m'a de nouveau agrippé les cheveux et cette fois, il les a tirés vers lui.

En même temps, il a, avec son autre main, appuyé sur mon bas du dos de sorte que j'étais extrêmement cambrée. En me tirant les cheveux, il me faisait mal et je me suis mise à geindre, je sentais mon plaisir commencer à m'envahir. Des larmes sont apparues dans mes yeux et ont coulé sur mes joues. Cela ne le gênait pas, il continuait à me baiser. Après ça, il a arrêté d'appuyer sur mon dos et a commencé à me donner des claques sur les fesses. Au fur et à mesure, il me claquait de plus en plus fort et il a commencé à m'insulter « prends ça petite p*** », « sal***, t'aimes ça », « espèce de chienne, je vais te défoncer ». Il ne se sentait plus, moi je n’étais pas à ça près, si ça lui faisait plaisir. J étais secouée comme un prunier, voilà un moment que je n’avais subit un tel assaut aussi violent !



J’en avais perdu l’habitude. Et il a enfin joui. Qu'est ce qu'il a été long à venir. 34 minutes selon le radio-réveil dont 17 min de tirage de cheveux, claques et insultes. C'était vraiment long. Je n’ai pas jouie, mais j'avoue qu'à un moment j’en étais pas loin. Il s'est affalé sur moi, je suis tombée sur le ventre, lui sur et en moi, haletant.

 Quelques sanglots me soulevèrent la poitrine et le corps. Il s'est retiré de moi et a enlevé sa capote avant de s'essuyer le sexe avec un mouchoir. Après il est venu se coucher à côté de moi et m'a caressé le dos. Je me tournais vers lui, il a vu que j'avais du pleurer, mon rimel avait coulé sur mes joues. Il me dit juste qu'il était désolé de m'avoir prise comme il a fait mais qu'il avait toujours voulu faire ça et que son ex femme ne lui avait jamais permis. Je lui ai dit que c'était pas grave, que je n'avais pas eu si mal que ça (oui faut éviter de le culpabiliser même si j'ai eu assez mal quand il me tirait les cheveux après le fouet ça fait mal comme les claques mais c'est une douleur différente et érotique). Il m'a longuement caressée pendant plusieurs minutes avant de m'embrasser un peu partout sur le corps. A un moment, il est venu embrasser la zone de mon sexe, je lui ai maintenu sa tête dans la zone de mon bas-ventre pour lui signifier de me faire un peu plaisir. Il a compris, j'ai pas eu besoin de lui parler ni de faire un dessin. Il a commencé par me caresser le sexe avant de commencer à aventurer ses doigts entre mes lèvres intimes.

Puis il a fini par y glisser ses doigts, n'épargnant pas trop mon intimité tellement il y allait généreusement. Il a rapidement glissé 2 doigts, son pouce frottant mon clito. C'était brutal mais très bon. Son autre main a remonté vers mes seins et attrapé mon sein gauche, l'a comprimé, pincé, caressé, bref a bien joué avec. J'avais les yeux fermés pour profiter et je ne l'ai pas vu approché sa bouche de mon sexe. C'est quand il a posé sa langue sur mes lèvres que j'ai réalisé, un petit frisson courant le long de mon dos, signe que j'étais assez émoustillée. Et je n'ai pas mis longtemps avant de jouir sous ses coups de langues bien placés, sous ses caresses bien ciblées sur mon corps. J'ai crié, j'avoue, de plaisir quand mon corps s'est tendu, mon bas du dos se détachant du matelas dans une cambrure de plaisir. J'en ai même serré les draps dans mes mains,  cela faisait un moment que je n'avais pas jouis avec une tel intensité. J'étais essoufflée, mon cœur battait fort dans ma poitrine, mon corps tremblait. Et mon client remonta vers moi, en m'embrassant le ventre, s'arrêtant sur mes seins, les suçant, les mordillant avant de venir embrasser mon cou et mon visage. Il se coucha à nouveau prêt de moi, j'avais la chair de poule, il l'a remarqué et il a remonté les draps sur mon corps. Il me murmura à l'oreille « tu es belle ». Bon normalement, ça devrait me faire très plaisir, mais là, j'en ai eu rien à faire. Pour lui, je n’étais pas trop un être humain mais une sorte de poupée gonflable vivante, alors je pouvais être belle. D'ailleurs sans me vanter, si je suis pas la plus jolie, je suis pas mal physiquement et que si j'étais moche, je ne serai pas là, enfin je pense que pour faire Escort, vaut mieux être jolie que moche. 

Après ça, un silence s'est installé dans la chambre. Puis il me proposa d'aller prendre un bain. Je le suivais dans la salle de bain. La baignoire n'était pas trop grande, ça serait donc un bain collé-serré. Bon évidemment, son objectif n'était pas d'être propre mais juste de me baiser dans la salle de bain. D'ailleurs il avait emmené une capote et du lubrifiant. Il a mis de l'eau chaude et s'est assis puis je l'ai rejoint. Il m'a mouillé le corps, passé du savon sur le corps et en a profité pour me palper, me caresser. Il m'a de nouveau glissé un doigt puis un deuxième et m'a masturbé. Étant encore vaguement excité, j'ai de nouveau joui, moins bruyamment mais peut être plus humide au point que ça couler entre mes cuisses. Puis ses doigts s'aventurèrent vers mon petit trou et l'un d'eux s'y glissa tout doucement. Sans qu'il me le demande, je lui présentais mes fesses pour qu'elles soient plus faciles à atteindre. Son doigt coulissait et je lui ai demandé d'y aller doucement. Faut dire que cela fait un moment que personne aussi membré n'est venu explorer ce trou. Il mit du lubrifiant et posa sa bite recouverte de latex à l'entrer. Je me tenais aux montants de la baignoire, la position n'était pas évidente mais je le laissais faire. Mais il n’arrivait pas à bien se mettre. Alors il me sorti de la baignoire me donna une serviette et m'emmena au lit. Je me mettais à 4 pattes sur la serviette étendue sur le lit. Il remit un peu de lubrifiant, se branla un peu pour se donner de la vigueur et posa de nouveau son sexe sur mon anus. Il poussa et entra dans mon cul tout doucement.
Mes yeux sous la douleur s'embrumèrent et des larmes de douleur coulèrent de nouveau sur mon visage. Son sexe glissait lentement entre mes fesses puis entamait un mouvement de recul et ainsi de suite. Au fil des secondes, puis des minutes, la douleur a disparue au profit d'un sentiment de plaisir sans aller à la jouissance pour moi. Il accéléra son mouvement, je sentais son sexe taper en moi, j’étais complètement détendue, ouverte, et cette fois, il est venu rapidement dans mon cul, moins de 15 minutes. Je suis restée tout le long de cette sodomie à quatre pattes et quand il s'est retiré de moi, je me suis laissée tomber au sol, les bras et cuisses endolories. Il écarta mes fesses, et glissa ses doigts dans mon cul en me faisant remarquer que j’étais bien dilatée pour mon âge, et qu’il avait apprécié de pouvoir me sodomiser sans ménagements. Il rajouta « c'est fini pour ce soir, merci, je te laisse tranquille » puis on est allé se doucher. Je me suis rapidement endormie.

Le lendemain matin, il m'a réveillé par des caresses puis il a voulu tirer un petit coup rapide. J'ai simplement écarté les cuisses et il m'a prise en position de missionnaire. Aucun plaisir pour le matin. Puis une fois son affaire faite, il m'a dit d'aller me doucher. Quand je suis revenue de la salle de bain, il avait préparé le petit déjeuner. Sympa comme intention. On a mangé ensemble, discutant de tout et de rien mais surtout de la nuit. Il m'a offert un petit bracelet puis m'a demandé de partir, il était 9h20. Après ça, je suis passé chez moi. Je me suis changée puis je suis allée au boulot, comme si j'étais une fille normale.J'avais déjà mis un peu d'argent de côté, je pourrai bientôt me chercher un logement.

2 commentaires:

  1. hummmm j'aimerai te prendre ainsi mais moins durement.. humm pas mal...

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  2. Mais vous êtes une fille normale!!))
    J'aime bien cette expérience.
    Steph

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