mercredi 14 mars 2012

Rachid 2

A poil !

 Il a ponctué son ordre en me collant une gifle. J’en ai été saisie. J’ai hésité quelques secondes entre la révolte ou la soumission. La joue me cuisait. Le sentiment qui m’envahissait était un mélange de crainte, d’humiliation et, je dois l’avouer, d’une étrange et intense excitation. J’avais craint un instant qu’il soit réellement violent.
Il montrait au contraire une attitude étrangement calme, mais terriblement déterminée. Sûr de son pouvoir, sûr de ma soumission. Une deuxième gifle sur l’autre joue a vite maté mes velléités de rébellion. Dans un état de trouble indescriptible, je me suis prestement exécutée, et je me suis retrouvée quasi nue devant lui, toute honte bue. Il a vivement tiré sur ma culotte qui constituait ma dernière et dérisoire protection. Elle est tombée, enroulée autour de mes chevilles. En me tirant encore plus rudement par les cheveux, il s’est mis à me fouiller l’entre cuisses sans ménagement avec son autre main. A quoi bon protester ? Mon sexe ruisselant disait assez à quel point j’étais déjà vaincue, et que j’acceptais par avance tout ce qu’il exigerait… Une traction sur ma chevelure accompagnée d’un ordre sec : - a genoux !

 J’ai glissé le long du mur, je me suis assise sur les talons. Fataliste, je l’ai regardé déboucler sa ceinture, ouvrir son jean, en sortir une bite brune, lourde, épaisse, dense, déjà ferme. Tranquillement, il a aussi sorti ses couilles. – Suce ! Evidemment… Je me suis exécutée. J’ai commencé à lécher doucement son gros gland circoncis, à le prendre en bouche, à le téter. Le rebeu n’a pas tardé à prendre les choses en main. Ce n’est pas ce qu’il voulait. Ce qu’il voulait, c’était ma bouche, s’en emparer, l’investir, la baiser à fond, sans ménagement. Il m’a de nouveau empoigné les cheveux, à deux mains cette fois, et a commencé à me pistonner la bouche.
De plus en plus fort, de plus en plus rudement, de plus en plus loin. Il cherchait le fond de ma gorge. J’avais la bouche complètement remplie par sa bite épaisse, son gland butait tout au fond. Les doigts crispés sur ses cuisses, j’essayais de limiter ses mouvements. Ça n’avait pour effet que de l’inciter à forcer encore plus. J’étais prise de spasmes chaque fois qu’il forçait ma glotte, à la limite de vomir.

Des larmes coulaient sur mon visage. Je ne souhaitais qu’un chose : qu’il stoppe son coït brutal. Mais en même temps, la situation, aussi pénible soit elle, m’excitait terriblement, je dois l’avouer. Alors, je me suis laissé violer la bouche. De toute façon, je n’avais pas le choix. Pour mieux assurer sa prise encore, et aussi pour sentir les effets de son action, il m’a serré la gorge d’une main ferme et m’a pistonné encore plus violemment…

Je l’ai subi longtemps. De temps à autres, il se retirait pour me laisser reprendre mon souffle, expulser la salive qui me coulait sur le menton, et surtout contempler mon visage défait. Le rimmel que j’avais mis sous les yeux avait dû couler, lui aussi. Je ne devais pas être belle à voir. Mais lui arborait un air satisfait. Une paire de gifles encore, pour m’obliger à mettre mes mains derrière le dos, et il recommença à me violer la gorge de plus belle.

 Enfin il a joui. Longuement, abondamment. A grands jets dans ma bouche qu’il obligeait à garder ouverte, sur ma figure aussi. Il a pris beaucoup de soin à frotter rudement sa bite sur mon visage pour y étaler son foutre qu’il ramenait dans ma bouche, il m’ordonnait de bien la nettoyer, puis s’est un peu reculé pour contempler son ouvrage en remontant le zip de son jean
 Je suis longtemps restée prostrée à genoux, n’osant affronter son regard, tentant de reprendre mon souffle et mes esprits après cette rude et humiliante séance, tentant aussi de comprendre pourquoi j’avais pris un sombre plaisir à me sentir utilisée de la sorte…

En me tirant par les cheveux, il m’a obligée à me remettre debout, m’a plaquée contre le mur et forcée à soutenir son regard. Il a murmuré une sorte de compliment : - ça va, t’es une bonne vide couilles, tu vas faire l’affaire… Puis il m’a enfilé d’un seul coup plusieurs doigts dans le sexe, et s’est mis à me masturber très durement, faisant pénétrer ses doigts le plus loin possible dans ma chatte en feu. Il me faisait presque mal, mais je sentais monter en moi les spasmes de la jouissance. J’essayais d’y résister tant bien que mal en plantant mes ongles dans son bras pour le retenir. Je ne voulais pas lui donner ce spectacle, ni cette satisfaction. Mais malgré mes efforts désespérés, j’ai brusquement été prise d’un violent orgasme, dévastateur.

J’ai essayé de cacher ma figure dans son épaule mais d’une brusque traction sur mes cheveux il m’a obligée à lui montrer mon visage défait, à ouvrir les paupières pour qu’il puisse lire dans mes yeux embués l’aveu que j’avais joui sous la rudesse de ses doigts. J’avais honte, je n’avais plus honte, j’étais au-delà de la honte. Il savait que désormais il pourrait tout me faire, tout exiger, tout me faire subir. Je le savais aussi. Je l’acceptais d’avance…

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