mercredi 14 mars 2012

Une bande de copains....

La première fois j’avais 15 ans et demi et cette petite bande de copains se sont partager mes faveurs. Ça s’était fait tout naturellement, sans se poser de question. Surtout, sans me demander mon avis. C’est comme si ça allait de soi. Même si je n’étais pas la plus attirante, j’étais une fille pratique au fond, qui ne disait jamais non chaque fois qu’ils avaient besoin de se soulager. Ils draguaient bien des nanas plus âgées, plus sexy, avec des plus gros seins. Seulement ce n’était pas si simple.
Si elle acceptaient à la rigueur un flirt un peu poussé, elles refusaient d’aller plus loin, de se laisser sauter ou même de s’abaisser à les sucer.
Des allumeuses, encore pas assez mures pour sacrifier leur précieuse virginité. Alors, faute de mieux, ils se rabattaient sur la petite salope, la petite bonne à tout faire, toujours disponible pour les satisfaire. Il ne se passait guère de soir où je n’en suçais pas un ou deux avant que chacun rentre à la maison. Ils en avaient pris l’habitude, c’était comme un dû.
Je m’y pliais de bonne grâce. J’aimais vraiment ça, m’accroupir, me sentir dominée par leur queue gonflée, les masturber doucement, passer mes doigts dans leurs poils, caresser leurs couilles, me laisser envahir la bouche. Je me laissais faire passivement, je les laissais faire des petits mouvements de bassin, prendre leur plaisir dans ma bouche docile.
Ils y jouissaient sans vergogne, puis s’essuyaient leur bite sur mon visage. Je recrachais par terre leur sperme chaud et visqueux. Je commençais à en aimer le goût. J’aimais aussi de plus en plus ce sentiment un peu honteux qui m’envahissait chaque fois que je prenais conscience que j’étais vraiment une traînée de me laisser faire ça, si jeune encore…

 Un samedi, un des gars a eu la place libre chez lui, ses parents s’étant absentés. Aussitôt il a invité ses potes à venir boire une bière à la maison. Et bien sûr, ils sont venus me chercher et m’ont dit : toi, tu viens. C’était un ordre. Ça ne se discutait même pas.
D’ailleurs je n’ai pas envisagé une seconde de refuser, de faire des manières, puisque je ne leur refusais jamais rien. Je devinais facilement quels projets ils avaient pour moi. Ça m’allait. Je ne fréquentais pas trop de copines,  j’étais une fille solitaire. Je préférais de loin la compagnie des trois garçons qui s’étaient déjà bien servi de moi, et avec qui je me sentais bien.
Arrivés dans l’appart, le plus vieux m’ordonna d’aller chercher des bières dans le frigo, ce que j’ai fait, sans me rebiffer. J’aimais déjà obéir aux hommes. Ils se sont vautrés dans les fauteuils pour regarder la télé, puis ont commencé à sortir leur queue l’un après l’autre et à se branler.
Allez ma petite salope, viens faire ton boulot ! ça non plus ça ne se discutait pas. J’ai obéi. Je me suis mise à genoux à leurs pieds et j’ai commencé à leur faire ce que j’avais déjà fait souvent. C’était pourtant la première fois que j’avais affaire aux trois en même temps.
La situation me troublait énormément. J’étais tendue, fébrile, déjà humide entre mes cuisses. 

Je me suis appliquée de mon mieux pour les satisfaire, l’un après l’autre. Pendant que je m’occupais de l’un, les deux autres s’impatientaient : allez dépêche toi, viens me sucer la bite, en me la mettant de force dans la main.
 La bière aidant, ils commençaient à s’exciter, à me houspiller sans ménagement. L'un d’eux m’a rudement retroussé la robe en me disant : enlève-moi ça, à poil, vite… je me suis retrouvée presque nue, avec juste ma culotte. Une protection bien dérisoire. Ils me l’ont prestement rabattue sur les genoux et des doigts se sont enfoncés sans précaution dans ma chatte.
Oh la salope, t’es déjà mouillée, ça t’excite hein ? Oui, j’avoue… J’avoue que j’étais vraiment excitée par la situation, par le pressentiment de ce qui allait m’arriver, que j’acceptais par avance. Ils ricanaient bruyamment en me tripotant rudement les seins et en tirant sur mes tétons : dis donc quand est-ce qu’ils vont pousser, quand est-ce que t’auras des vrais nichons ? Les plaisanteries désobligeantes fusaient à mon propos. J’acceptais tout sans protester.
Déjà, je n’avais pas beaucoup d’amour-propre. Heureusement qu’elle suce bien c’est déjà ça, disait l’un en me pinçant fermement par les joues, Un autre faisait des commentaires salaces sur ma bouche dans laquelle c’était si agréable de se vider. Et elle est bonne à tirer en plus, ajoutait le troisième…

 Le chef de la bande, celui qui m’avait dès le début généreusement partagée avec ses deux copains, se mit à crier : putain, j’y tiens plus, j’ai envie de la tringler ! Retirant brusquement sa bite de ma bouche, il me tira brutalement jusqu’au canapé pour m’y coucher. Il s’est allongé sur moi et m’a écarté les cuisses sans ménagement. Il m’a enfilé sa bite d’un seul coup, profondément. J’étais déjà humide. Heureusement je mouille facilement. Il m’a labourée nerveusement, rudement même, sans se préoccuper de moi. Il ne cherchait que son plaisir à lui. Mais j’aimais ça, vraiment ça, être prise sans ménagement, sentir l’homme tirer son plaisir de moi, égoïstement.
J’aimais me sentir objet passif. Et j’aimais me sentir remplie, sentir sa bite me pistonner. Les deux autres s’énervaient maintenant. Ils voulaient la place, prendre leur tour. Ils disaient : vas-y, dépêche, qu’on en profite aussi ! L’autre gueulait en haletant : allez vous faire foutre, allez donc en trouver une autre salope comme celle-là ! Je vous la prête, c’est déjà ça, mais faut attendre pour en profiter, les petits gars… Ils ne se sont pas préoccupés une seconde de moi, de ce que je pouvais penser ou vouloir. Ils m’utilisaient, c’était tout. Au bout d’un moment, le premier jouit en beuglant, en partie dans mon vagin, en partie sur mon ventre. Heureusement que je prenais la pilule maintenant !
Les autres se sont mis à gueuler : t’es dégueulasse t’en as foutu partout ! Puis un d’eux dit : oh après tout je m’en fous, j’y vais quand même… il s’est vautré sur mon ventre maculé du sperme de son copain et m’a enfilé à son tour. Il me labourait de manière nerveuse et désordonnée. Rapidement il a joui, et il s’est retiré, aussitôt remplacé par le troisième. Lui non plus n’était plus gêné par mon sexe poisseux du sperme des deux autres, auquel il a assez vite ajouté le sien. Je n’avais pas joui, mais j’avais terriblement aimé cet après-midi torride, être baisée tour à tour par les trois garçons. Je suis longtemps restée inerte sur le canapé, les cuisses ouvertes, offerte, collante de leur liquide visqueux qui maculait mon ventre, coulait de mon vagin, attendant qu’ils me reprennent.
Mais ils avaient eu ce qu’ils voulaient. Ils étaient retournés s’affaler dans leurs fauteuils, les yeux vagues rivés sur la télé, une bière à la main…

2 commentaires:

  1. Tu es vraiment le pompier au féminin de service qui éteind le feu à tous les étages, et tout ça sans ménagement, sans remerciement, sans douceur...soumission totale.
    C'est drôle de prendre autant de plaisir, sans jouir soi même...Sans doute le soir venu, en te rémémorant la journée, comme tu l'as dit, une fois...

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  2. Mais bien sûr que j’y trouve mon compte et mon plaisir… Sinon, croyez-vous que je me laisserais faire aussi facilement par tous les mâles en rut qui passent par là ? J’assume tout, sans état d’âme…

    Nath

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