jeudi 15 mars 2012

Une drôle d’expérience …..

J’ai un peu hésité à écrire cette histoire vécue, il y a très peu de temps.

Et puis, finalement pourquoi la cacher ? Je devais rencontrer suite à une annonce, une jeune femme, j’étais radieuse, heureuse, notre conversation téléphonique me laissait entrevoir une belle aventure. J’avais pris le temps de soigner mon apparence, je me sentais bien. Nous avions convenue d’un rendez-vous dans un bar, je me suis installée et j’ai patienté….
Elle n’est pas venue, pas d’appel, pas de message, je me sentais seule, déçue, sans désir, sans projet, sans envie.

 J’étais tranquillement assise derrière la vitrine de façade, à rêvasser devant un café, tout en regardant passer les gens,. Parmi eux, un gros bonhomme d'une cinquantaine d'années, plutôt laid, ventre proéminent, est passé en jetant un coup d’œil rapide sur la vitrine du café. Je n’y avais pas spécialement fait attention. Mais quelques instants plus tard, il était réapparu, et s’était mis à me regarder avec insistance. Ça m’a troublée. J’avais baissé les yeux. Que me voulait-il ? Je n’ai pas tardé à le savoir….

Pendant un long moment, il avait continué à me scruter sans vergogne. Puis il est entré d’un pas décidé, et m'a abordée avec des intentions non dissimulées. Manifestement, il avait jeté son dévolu sur moi, et il commença à me baratiner, à me raconter comment il m’avait remarquée à travers la vitre du bistrot, qu’il avait tout de suite eu envie de moi…

Au lieu de l'envoyer paître, je me suis laissée draguer. Je ne sais pas pourquoi. J’étais désœuvrée, sans plus rien envie de faire en particulier, et j’étais un peu curieuse, en même temps que légèrement dégoûtée par ce gros type quil ne doutait de rien.
 Avait-il l’habitude de draguer ouvertement les femmes, malgré son physique peu engageant et sa personnalité grossière ? Quand il a vu que je ne le repoussais que mollement il s'est enhardi. Très vite il est devenu plus direct, plus grossier, s’est mis à me tutoyer. Il m'a dit : je veux te baiser… Comme si je n’étais qu’une pute avec qui on ne prend pas de gants…
 Comme je ne disais toujours rien, il a insisté en disant je te paye si tu veux. Il m'a royalement proposé 20 euros. J’étais interloquée. Une somme aussi dérisoire… Je ne valais vraiment pas plus que ça ? Alors, troublée, je me suis laissée convaincre.

 Sans un mot, je me suis levée, et je l’ai suivi, quelques pas derrière lui. Il m'a vite entrainée dans un petit hôtel minable. A peine arrivés dans la chambre, tout aussi minable, il m’a tout de suite ordonné : mets-toi à poil, vite ! Je me suis exécutée comme un robot. J’ai juste eu le temps d’enlever mon chemisier il s'est emparé de mes seins qu’il a malaxés rudement, a brusquement relevé ma jupe froissée en chiffon sur ma taille, et m’a arraché mon slip. Il s’est servi de moi comme il a voulu.

Comme il me payait, il s'est montré très exigeant et autoritaire. Il voulait tout, tout de suite. J'ai dû me mettre à genoux pour le sucer. Légèrement dégoûtée, je me suis appliquée sur sa petite bite, surplombée par son ventre proéminent. Alors il s’est installé sur le lit sans même le défaire, et m’a de nouveau enfilé sa bite dans la bouche en me tenant par les cheveux. Puis il est monté sur moi en soufflant fort. Il s’est vautré en me traitant de putain, de traînée. Il devait faire au moins 90 kg, je sentais sa sueur poisseuse coller à ma peau... Puis il m’a retournée brutalement, et il m'a prise sans ménagement, Il m’a bourrée durement en crochetant ses doigts dans le gras de mes fesses. Il essayait de m’arracher des gémissements de douleur, mais j’ai serré les dents et gardé un silence obstiné. Je ne voulais pas lui donner ce plaisir-là

 Ça n’a heureusement guère duré longtemps. Il a eu rapidement eu envie de jouir. Il m’a tirée par les cheveux pour décharger son sperme sur ma figure avant de m’obliger à le nettoyer soigneusement avec la bouche. A peine soulagé, il m’a lancé une poignée de billets froissés, et m'a aussitôt poussée brutalement hors de la chambre comme une malpropre, nue, poisseuse. J’ai vite enfilé mon chemisier, mon manteau et ma jupe, qu’il m’avait jeté à la figure en me lançant une bordée d’injures, et je me suis nettoyée sommairement avec un kleenex dans le couloir sombre, avant de retrouver la lumière de la rue, légèrement nauséeuse, légèrement honteuse…

 Ce gros salaud m’avait traitée comme une pute de bas étage. En regardant les billets il y avait quatre billets de 50 euros !!! J’étais troublée, au fond, il avait eu raison d’essayer, il avait bien perçu ce que j’étais réellement…

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