vendredi 13 avril 2012

Jeudi un toubib


Ce jeudi soir, j'avais un rendez-vous avec un toubib, il se dit apprécier la rudesse et que j'allais dérouiller. J'appréhendais un peu.

Il m'a demandé de louer un uniforme et de venir  en écolière, jupe écossaise, chemise blanche, cravate bleue marine, cardigan bleu marine, chaussettes montantes, chaussures à talon vernie, culotte en coton rose clair et soutif à motif écossais. J'ai loué un costume en rentrant de chez Anne-Marie et me voilà en tenue, je prends mon manteau et mon sac à baise et c'est parti.
Je suis allée chez le doc en taxi, le conducteur s'est bien rincé l'œil.

Une fois chez mon client, il m'a servi un verre puis on a mangé du Thaï qu'il s'est fait livrer. Il a fallu que j'ouvre la porte au livreur qui comme le chauffeur de taxi s'est rincé l'œil. Après manger, il s'est levé, il est venu à côté de moi, lui debout, moi toujours assise. Il a commencé à me caresser sans douceur. Mister Hyde prenait le pas sur le docteur Jekyll. Il a déboutonné son pantalon et a mis sa queue dans ma bouche, en me disant "Suces ! Tu vas l'aimer !".  C'est lui qui a dirigé la fellation, gorge profonde, très profonde. J'ai eu un haut-le-cœur très rapidement. Après ma bouche et ma gorge se sont habituées. Son sexe venait buter à chaque fois dans le fond de ma bouche. Je ne pouvais pas me dégager car il tenait fermement ma tête avec ses mains. Je subissais et c'est tout.
Bon par moment, il sortait de ma bouche pour que je puisse reprendre ma respiration mais ça ne durait pas 30 secondes au max et après il remettait son sexe en place et recommençait. A d'autres moments, il maintenait son sexe au plus profonds en plaquant ma tête contre son corps. Ca me donnait une sensation d'étouffement horrible mais pourtant je me laissais faire. D'ailleurs toute la soirée, je me suis laissée faire. Je me disais qu'il savait ce qu'il faisait, que je n'étais pas en danger,  je le laissais faire car j'aimais ça. Je n'avais pas mal physiquement, je ne sentais aucune douleur. J'aime me faire maltraiter sans aller dans les coups violents, j'aimé me faire totalement dominer, être dans un état d'abandon total à l'autre,
Ce n'est pas la première fois que je ressens ça. Je suis une soumise, voilà ce que je suis. Donc, il a continué sa fellation (bah oui c'est la sienne pour le coup, moi, j'offre juste ma bouche) plusieurs minutes sur le même rythme. Je bavais, beaucoup, ça me coulait même sur le menton. Puis au bout d'un bon moment, il a commencé à ralentir. J'ai senti son sexe prendre un aspect différent dans ma bouche, signe qu'il allait se lâcher. Il a maintenu ma tête de façon à être le plus profond en moi et il a lâché plusieurs giclée de sperme directement dans ma gorge. J'ai eu un nouveau haut-le-cœur, des larmes se sont ajoutées à celles déjà présentes dans mes yeux et coulaient sur mes joues, entrainant avec elles mon rimmel. J'ai senti et avalé 4 grosses giclées, enfin peut être que 3 car la dernière, il l'a lâchée sur ma joue. Puis, il est allé s'asseoir sur le canapé, la bite à l'air. Moi je suis restée sur ma chaise à table.


Il m'a dit de venir le rejoindre. Il m'a dit « ce soir, j'ai pris une pilule bleu pour être ne forme et comme ça fait depuis un moment que j'ai pas baisé, autant de dire que je compte en profiter et avoir pour mon argent ». J'ai répondu simplement « d'accord », de toute façon qu'est ce que je pouvais lui répondre. Je devinais comment il est, brutal, dominateur mais  pas violent. Moi j'accepte ces conditions. Mais en même temps, j'aime ça. Putain de cerveau. Je sais que certains et certaines diront qu'acceptant ça je ne respecte pas définitivement mon corps, en m'offrant à lui. Et pourtant, s'ils savaient tous que mon corps acceptait ça et que même il le réclamait presque. C'est comme ça. En même temps, je m'en fou du jugement des autres.


Il a allumé la chaine hi-fi. Musique dansante. Il m'a demandé de danser. Je me suis levée et j'ai dansé lascivement. Il s'est levé puis a commencé à danser en se frottant contre moi. Il me caressait puis ses mains ont carrément soulevées ma jupe pour me caresser à travers le coton de ma culotte. Il a fini par me pousser vers la table où il m'a couché sur le dos. Il s'est glissé entre mes jambes et a entrepris de caresser mes cuisses en relevant ma jupe sur mon ventre. Puis avec ses pouces, il caressa mon sexe à travers le coton. Puis c'est avec son sexe qu'il caressa le mien toujours à travers le tissu de ma culotte. Par moment, il l'enfonçait en moi en poussant le coton en moi. Puis il a fini par enlever ma culotte sèchement. Il me la jeta au visage. Il faisait tourner son sexe autour du mien, venant le frotter contre le mien.
Au bout d'un moment, il s'accroupit et me lécha le sexe, faisant glisser sa langue entre mes lèvres, venant titiller mon clito. Mais il poussa le vice à le faire durer, ce qui m'excita, je commençais à sentir un petit orgasme arrivait, mais quand je commençais à me tortiller de plaisir, signe avant-coureur de l'orgasme, il s'arrêta net. Le sac étant au pied de la tête, je n'avais pas fait attention qu'il avait enfilé une capote. Et quand il s'est relevé, il m'a pénétré directement, sans rien dire et toujours avec froideur. J'avais posé mes pieds sur le rebord de la table. Il me tenait les jambes pliées tout en me baisant, toujours aussi mécaniquement.




Puis il a déboutonné ma chemise et m'a sorti les seins des corbeilles de mon soutif. Il a quand même pris le temps de me féliciter pour le choix de mon soutif. Il s'est lui même déshabillé. Il me caressait le ventre, les seins. Il commençait à être moins froid. Il m'a embrassé sur la bouche, sur mon visage, dans mon cou et sur mes seins. Il me souleva le bassin de façon à me cambrer et du coup mes fesses ne touchaient plus la table, seules mes épaules me permettaient de garder de la stabilité. Puis il me reposa sur la table pour lever ma jambe droite et d'écarter ma jambe gauche, lui ouvrant complétement ma chatte. Son corps claquait contre le mien. J'étais de nouveau excitée, le désir renaissait en moi. Tellement que j'ai fini par avoir un orgasme et cette fois, il n'a pas réussi à me contrôler. D'ailleurs, il ne s'est pas contrôler lui-même car juste après moi, il a fermé les yeux et j'ai senti la capote se remplir chaudement. Par contre, il bandait toujours. Il s'est retiré, a enlevé sa capote.


Je me suis levée. Le temps que je sois sur mes pieds, il avait déjà remis une capote. Il m'a retourné, enlevé ma jupe, ma chemise et mon soutif et m'a repoussée vers la table. J'ai posé mes coudes et mes avant-bras sur la table. Il m'a pénétré très rapidement et il a pris une cadence rapide. Ses cuisses claquaient contre mes fesses et je sentais ses couilles claquer mon sexe. Il me tenait par la taille assez fermement au début mais bientôt une de ses mains est venue autour de mon anus. Il a commencé à me titiller l'anus pour me le détendre un peu. Il a fini par y glisser un doigt en lubrifiant mon trou en crachant dedans. Et il a fini par se retirer de mon sexe pour venir dans mon cul. Il n'a pas rajouté de lubrifiant. Sa pénétration a été pourtant facile, presque pas douloureuse. Faut dire aussi qu'il n'a pas été brutal en me pénétrant par l'anus. Il l'a fait très lentement. Puis il a fait quelques va-et-vient lents avant d'accélérer la cadence. Ce début de sodomie était doux et agréable. Je gémissais à la fois pour mieux supporter la petite douleur qu'une sodomie me procure mais aussi pour lui montrer mon plaisir. Mes « mmmmh » et « an » étaient accompagnés par des mordillements de ma lèvre inférieure. Puis il m'a claqué les fesses plusieurs fois d'affilé, 5 ou 6 fois avant d'entamer des va-et-vient brutaux. Il s'enfonçait en moi tellement fortement et puissamment que c'était difficile pour moi de me maintenir sur la table. A chaque coups de rein dans mes entrailles, mon corps avançait et mes bras glissaient sur la table en s'écartant. Lui, il a fini par lâcher ma taille pour venir me presser les seins, me les malaxer. Puis après mes seins, mais toujours en me sodomisant ardemment, il me prit par les cheveux pour me tirer vers lui. Je me suis mise à crier à cause de la douleur. Il a fini par me lâcher les cheveux pour mieux me tenir les épaules. Il m'attirait vers lui à chaque coup de rein, les rendant plus violents dans l'impact, ce qui me faisait toujours crier. Puis au bout de quelques minutes, il m'a lâché les épaules, a appuyé sur mon dos pour que je sois couchée sur la table et il a fini par éjaculer dans mon cul. Il s'est alors retiré tout aussi sèchement qu'il s'était introduit et il s'est dirigé vers la salle de bain. Moi je suis restée un peu sur la table pour me remettre de la baise. Puis j'ai attendu qu'il sorte de la salle de bain. Quand il est sorti, il m'a dit d'aller prendre une douche et de venir le rejoindre dans son lit.
Il était nu, allongé, il se masturbé, et il m'a demandé de lui tailler une pipe. Il s'est laissé faire, se contentant de me caresser le corps . Il a jouit rapidement, genre en 10 minutes. Puis on a un peu parlé avant de nous endormir.


Ce matin, je me suis réveillée avant lui. On était nus et enlacés. J'ai attendu qu'il se réveille puis je suis partie.

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