mercredi 9 mai 2012

Mon ancien prof.

Voilà, un moment qu'il me demandait une nouvelle rencontre, j'ai fini par accepté et j'ai retrouvé mon prof chez lui comme convenu. Il m'a offert un verre puis m'a payé et m'a ensuite emmener au restaurant pour retrouver un couple d'amis à lui. Sur la route, il a vérifié que je n'avais pas de sous-vêtements. Il n'a pas caché que j'étais une de ces anciennes étudiantes mais il leur a dit que c'était une aventure, pas qu'il me payait pour être avec lui. Ce diner a été long, nous sommes allés ensuite prendre un verre avec eux dans un bar lounge. Ensuite nous sommes rentrés chez lui vers minuit.



De suite, il m'a demandé si j'étais toujours d'accord pour faire la soirée de soumission. Je lui ai dit « OK », j'étais préparée psychologiquement. Il m'a mis un collier de cuir, objet pour dire que j'étais sa chose pour la soirée. Puis il m'a dit: « tu m'as déçu, j'avais dit pas de sous-vêtements et toi tu as mis des bas ». J'ai bien essayé de le convaincre que ce n'était pas des sous-vêtements mais rien à faire. Selon lui, je devais être punie. Il me demanda de me mettre à quatre pattes et attacha une laisse en cuir au collier. Me voilà « chienne » comme il disait pour la soirée. Il me dit que les règles ne changeaient pas et me les rappela: compter les coups, interdiction de jouir sans son autorisation, obéissance, l'appeler « maître », le mot pour arrêter « Munich » ou bien si j'étais bâillonnée serrer l'anneau du collier... Je dois en oublier.


Puis il a lancé la soirée. Il s'est passé un long moment sans rien qu'il me dise, il faisait des chose et moi je me contentais de le suivre. A un moment, il a lu un magazine et il m'a ordonné de lui lécher les pieds. Je lui ai lécher les pieds. C'était bizarre, je le regardais faire des actes de son quotidien et lui, il m'ignorait. A un moment, je lui ai demandé d'aller aux toilettes, il a refusé. Plus d'une heure a passé sans que rien ne se passe. Je lui demandais à nouveau d'aller aux toilettes, nouveau refus. Sauf que là, cela devenait de plus en plus pressant. Je me suis vu pisser dans son salon. Je commençais à me tortiller. Enfin il me dit « tu ne dois pas aller aux toilettes de la nuit ». Je lui ai répondu que je ne pouvais plus me retenir qu'il fallait que j'y aille. Et comme réponse, j'ai reçu une claque et il m'a dit « tu parles que quand je te l'autorise. Maintenant si tu veux y aller, tu peux y aller mais je te punirai, mais si tu te fais dessus, je te punis et je te ferai boire ta pisse ». Je suis  aller vers la salle de bain, il me suivait. Il m'a alors demandé de le faire dans la douche mais que je devais me déshabiller complétement. J'enlevais donc mon pull, ma jupe et mes bas avant d'entrer dans la cabine de douche. Puis j'ai enfin fait pipi, j'en en avais mal au ventre. Le faire dans le bac faisait que je sentais mon urine sur mes pieds. J'ai détesté ça, je trouve ça sale. Mais le pire, c'est que je l'ai vu  se déboutonner le pantalon tout en m'annonçant: « voilà ta punition ». Et il s'est mis à rire et à refermer son pantalon. J'ai vraiment cru qu'il allait uriner sur moi, il en était capable. Quand j'ai eu finie, il a fait couler l'eau et s'est amusé à me faire la douche écossaise, un coup d'eau froide, un coup d'eau chaude pendant plus de 5 minutes. Puis il m'a donné une serviette pour que je m'essuie.



 On est retourné dans son salon où là, il m'a punie. Il m'a offert le choix de l'instrument pour une première punition: 5 coup de l'instrument que je voulais pour avoir mis des bas.
J'ai choisi la cravache. Il m'a fait mettre sur le dos, écarter les jambes et les bras puis il m'a frappé. Les coups qu'il m'a donnés étaient forts et sont tombés uniquement sur mon sexe. Avec le premier coup, j'ai eu le réflexe de fermer mes cuisses alors après il bloquait mes jambes, les écartant avec son bras de libre. Ca a fait mal mais sans plus, la peau ne chauffant pas trop avec 5 coups. Puis il s'est déshabiller pour passer selon ses termes aux choses sérieuses. Il a été chercher un gros gode dans une boite et me l'a enfoncé brusquement dans mon sexe. J'ai crié quand il l'a introduit, ça m'a valu deux claques sur les joues, un aller-retour. J'ai eu mal, j'ai eu envie de pleurer. Il m'a retourné brusquement et m'a craché sur mon petit trou avant d'y glisser un doigt. Il m'a doigté le cul pendant 2 minutes a peu près puis il y a glissé un gode avec des lanières de cuir au bout comme pour me faire une queue animale. Je l'ai sucé simplement, pas de super truc à lui faire, il profite assez de mon corps comme cela. Mais lui, il a décidé autre chose. En fait, il m'a foutu sa queue jusque dans la gorge, pas la peine de me faire un dessin pour comprendre qu'il voulait une gorge profonde. Il me foutait des coups de bassin pour s'enfoncer loin à chaque fois. J'ai bavé, je sentais ma salive coulait sur mon menton, dans mon cou et descendre sur ma poitrine. Par moment, il bloquait ma tête, son sexe enfoncé dans ma gorge pendant un temps, presque une minute, me provoquant une sensation d'étouffement. Mais comme il maitrisait, je ne m'inquiétais pas, je ne devais pas être la première a subir ça. Par contre, j'avais quand même du mal a respirer, à reprendre mon souffle. Je bavais de plus en plus et lui il continuait à me défoncer la bouche. Il a fini par tout lâcher dans le fond de ma bouche, direct pour la gorge. Après il m'a ordonné de le nettoyer avec ma langue et j'ai donc lécher son sexe pour qu'il n'y ait plus de trace de sperme.


Une fois ce nettoyage fait, il m'a brusquement repoussé pour que je tombe au sol et même si j'ai tenté de résister, il m'a projeté au sol. Quand je me suis relevée, il s'était assis sur un fauteuil et moi, j'ai repris ma position à ses pieds,  il me dit -« c'est bien, t'as compris ton rôle de petite chienne ». En même temps vu que je voulais éviter les coups, il valait mieux que je sois très obéissante. Au bout d'un moment, il s'est levé et est allé dans la pièce où il avait toutes ses choses. Il est revenu avec des pinces pour seins, qu'il m'a mise. C'était horrible au niveau de la douleur. Il m'a aussi mis une boule bâillon dans la bouche. Et je suis restée une heure, bâillonnée, pincée et avec un gode dans chaque orifice.


Et au bout d'une heure, il a retiré d'un coup le gode que j'avais dans l'anus. Mais, c'était pour le remplacer par sa queue. Pour lubrifier, il s'est contenté de cracher dans mon anus et s'est enfoncé en moi sans douceur. J'étais alors à quatre pattes. Il m'a ramoné, je vois que ça comme terme. Et moi j'essayais juste de ni gémir, ni bouger pour ne pas me faire punir. Au bout de quelques minutes, il s'est arrêté pour me faire changer de position. Il ma mis sur le dos et à soulever mon corps de sorte que seul le haut de mon dos touché le sol. Il m'a plié en rabattant mes jambes au dessus de ma tête et ainsi, il avait de nouveau l'accès à ma rondelle qu'il s'empressait de remplir à nouveau. C'est dans cette position qu'il a fini par éjaculer. Au dernier moment, il s'est retiré de mon cul, enlever la capote, s'est branlé pour éjaculer sur moi. Des jets de spermes s'écrasèrent sur mon ventre, ma poitrine et mon visage. 


Ce fut la fin pour la partie sexuelle de la soirée. Je suis resté à ses pieds, avec son sperme sur moi pendant une heure de plus. A ce moment, après la sodomie, il s'est amusé à tirer sur les pinces que j'avais sur les seins, me faisant mal. J'ai pleuré et fini par serrerr l'anneau. Il a arrêté. Il m'a prise sur ses genoux et j'ai reçu 10 claques sur les fesses que j'ai du compter après qu'il m'ait enlevé le baillon. Autant vous dire, ces claques n'étaient rien par rapport au supplice des pinces sur les seins. Puis il a décidé d'aller se coucher, mais avant, il m'a mis un nouveau plug anal, mais je n'ai rien dit. Pour dormir, il a quand même était sympa, il m'a retiré les pinces. La nuit a été difficile.

Le réveil a été aussi difficile que la nuit. Il m'a retiré  le Plug anal qu'il a retirer d'un coup sec. Quand il m'a enlever le collier, signe de la fin de son délire pervers, j'ai pu aller me doucher avant de repartir. En sortant, il ajouta qu'il continuerait à faire appel à mes services car j'en valait la peine. Je ne  donnerai pas de suite a cette rencontre.


Je suis rentré chez moi exténuée. J'ai dormi tout cet après-midi, histoire de récupérer.


Je passe mon code bientôt, et je vais pouvoir attaquer les cours de conduite, j'ai hâte !

3 commentaires:

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      Nath

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