jeudi 29 mars 2012

Mercredi 28 mars

En rentrant du boulot, j’avais une demande pour le soir même. Rendez-vous rapidement de pris avec un homme, qui se dit en manque. Il cherchait une fille acceptant de se faire secouer un peu, avec des rapports prolongés, vu son offre, j’ai accepté, m’évitant de devoir prendre d’autres rendez-vous. Le lendemain, je ne devais reprendre le boulot qu'en début d’après-midi, j’avais donc suffisamment de temps.
J’ai mis une petite jupe noire, un haut en cachemire marron et un petit blouson. Dessous, du classique string, soutif noirs et bas noir. Des bottes pour finir. Le sac à baise est prêt et c'est parti.
Ça a été vraiment chaud !

Le client, François, la quarantaine, un peu bedonnant (enfin pas trop non plus, de son âge quoi), brun. D'entrée de jeu, il m'a enlevé mes fringues en me collant contre un mûr et a de suite glissé ses doigts sous mon string. Le message était clair, j'avais bien compris avant, ça faisait longtemps qu'il n'avait pas tiré un coup et il allait en profiter ce soir. Il m'a masturbée jusqu'à temps que ça coule entre mes cuisses, puis il a retiré ses doigts de ma chatte avant de me les faire sucer. Je léchais mes doigts humides de ma cyprine. Mes bas s'humidifiaient le long de mes cuisses. Il m'embrassait toujours en me plaquant contre le mur. C'était brut et sauvage et ça, ça me plaisait. Je me disais que si la soirée se passait comme ça, je finirai par prendre du plaisir.
Je suis arrivée à passer ma main entre nous et je lui caressais son sexe à travers son pantalon. Puis on s'est tourné, il s'est retrouvé le dos à la porte et moi fasse à lui. Cette fois c'est moi qui menais. Je l'embrassais en même temps que je lui déboutonnais son pantalon qui glissait sur ses chevilles. Son boxer suivit le même chemin. Je le sentais se débattre légèrement pour se sortir les pieds de ces deux vêtements. Désormais, je le branlais lentement d'une main, mon autre main lui caressant le visage. Lui, il en profitait pour passer ses mains sous mon pull et me caresser les seins, glissant ses doigts sous la dentelle de mon soutien-gorge venant flirter avec mes tétons qui ont dès lors commencés à durcir. Puis il m'a repoussée légèrement, m'a enlevée mon pull, me laissant en soutif, un sein sortant de la corbeille de dentelle et il m'a demandée ou plutôt ordonnée de le sucer en exerçant une pression sur mes épaules pour me faire baisser.

Je me suis donc mise donc à genoux devant lui et j'ai posé un petit baiser sur son bout de sexe avant de le lui lécher jusqu'aux couilles qu'il avait épilé. J'ai ensuite remonté ma langue de ses couilles à son sexe avant de le prendre dans ma bouche et de faire quelques va-et-vient très lents mais durant lesquels ma langue s'enroulait autour de son chibre, mais aussi le frottais, le caressait. J'ai posé une main sur la base de son sexe et j'ai commencé à le branler tout en gardant son gland dans ma bouche. Dans la position où j'étais, je levais ma tête et le regardais dans les yeux d'un air mutin comme je sais faire.
Cela lui a donné un sursaut d'excitation, j'ai senti son sexe se raidirent encore plus dans ma bouche.
J'ai continué un peu comme cela puis c'est lui qui a pris les choses en main. Jusqu'à ce moment, il se contentait de passer ses mains dans mes cheveux, me caressant le crane, les joues et mon cou. Puis, à parti de ce moment, il a pris ma tête entre ses mains et a commencer à la maintenir fixe avant de mettre de légers coups de bassin. Au fur et à mesure, il accéléra la cadence et finissait littéralement par me baiser la bouche.
Son sexe ressortait très souvent de ma bouche et à chaque fois, il mettait un gros coup de rein et s'enfonçait plus loin qu'il ne le faisait sans tout de fois aller au fond de ma bouche.

Il a fini par venir dans ma bouche en me tenant bien la tête pour pas que je bouge en lâchant un « p***** que c'est bon ». Il m'a lâché une assez grosse quantité dans la bouche, du sperme est sorti de ma bouche pour couler sur mon menton, mes seins et ma jupe.
Quand il m'a lâché la tête, je suis tombée en arrière, assise à ses pieds. François m'a aidée à me relever et m'a amenée jusqu'à son canapé. Et on a discuté tout naturellement, lui juste en chemise et moi les seins à l'air. Il m'a offert un verre de jus d’orange tout en discutant. Il est divorcé depuis 3 mois d'une femme qu'il juge « castratrice ». Il veut maintenant se faire plaisir et en profiter. Il m'a avoué que ça faisait un petit moment qu'il n’avait pas couché avec une femme et très longtemps avec une jeune femme. Puis il m'a interrogé sur mon sac. Je lui ai donc expliqué et montré ce que j'avais dedans: capotes, lubrifiant, huile de massage, gode, menottes, des liens, une cravache, un petit martinet, le tout pour s'amuser et donner du piment à une soirée. Il prit le martinet et me demanda si on pouvait l'utiliser.

Comme j'ai dit oui, il a pris le sac et m'a demandé de le suivre dans sa chambre.
Il reprit le martinet et me demanda où il pouvait frapper, partout sauf mon visage je lui ai dit. Alors il me mit un coup sur le ventre qui me fit un peu tressaillir. Je lui souriais et fit un signe qu'il pouvait continuer. Il me frappa à nouveau sur le ventre puis un coup sur chaque sein. Il me demanda de me retourner et de me mettre à quatre pattes. Il a soulevé ma jupe et frappé mes fesses plusieurs fois. Puis il a arrêté de me frapper. Il a laissé le martinet et a commencé à me caresser les fesses, ses doigts s'aventurant près de ma corolle. Puis il a pris une capote, a écarté mon string et m'a pénétré sans rien dire. Il m'a prise puissamment, me pénétrant profondément, ses couilles venant frapper mon corps à chaque coups de reins..
Puis après quelques minutes, il s'est retiré. Il a ensuite fini de me déshabiller en me retirant le reste de mes vêtements.

J''étais maintenant aussi nue que lui. Et lui, il m'a pénétrée à nouveau et m'a baisée de longues minutes en levrette. Ses mains se sont aventurées de mes hanches à mes fesses, de mes reins à mes seins. Moi, je me suis contentée de rester à quatre pattes, les bras bien posés sur le lit pour me donner un maximum d'appui. François me baisait violement sans qu'il ne donne un indice sur sa future jouissance. Une de ses mains est remontée le long de mon dos jusqu'à mon cou et a agrippée mes cheveux. Au début, il s'est contenté de les tenir, de me caresser la tête, les cheveux. Puis au bout d'un moment, il m'a de nouveau agrippé les cheveux et cette fois, il les a tirés vers lui.

En même temps, il a, avec son autre main, appuyé sur mon bas du dos de sorte que j'étais extrêmement cambrée. En me tirant les cheveux, il me faisait mal et je me suis mise à geindre, je sentais mon plaisir commencer à m'envahir. Des larmes sont apparues dans mes yeux et ont coulé sur mes joues. Cela ne le gênait pas, il continuait à me baiser. Après ça, il a arrêté d'appuyer sur mon dos et a commencé à me donner des claques sur les fesses. Au fur et à mesure, il me claquait de plus en plus fort et il a commencé à m'insulter « prends ça petite p*** », « sal***, t'aimes ça », « espèce de chienne, je vais te défoncer ». Il ne se sentait plus, moi je n’étais pas à ça près, si ça lui faisait plaisir. J étais secouée comme un prunier, voilà un moment que je n’avais subit un tel assaut aussi violent !



J’en avais perdu l’habitude. Et il a enfin joui. Qu'est ce qu'il a été long à venir. 34 minutes selon le radio-réveil dont 17 min de tirage de cheveux, claques et insultes. C'était vraiment long. Je n’ai pas jouie, mais j'avoue qu'à un moment j’en étais pas loin. Il s'est affalé sur moi, je suis tombée sur le ventre, lui sur et en moi, haletant.

 Quelques sanglots me soulevèrent la poitrine et le corps. Il s'est retiré de moi et a enlevé sa capote avant de s'essuyer le sexe avec un mouchoir. Après il est venu se coucher à côté de moi et m'a caressé le dos. Je me tournais vers lui, il a vu que j'avais du pleurer, mon rimel avait coulé sur mes joues. Il me dit juste qu'il était désolé de m'avoir prise comme il a fait mais qu'il avait toujours voulu faire ça et que son ex femme ne lui avait jamais permis. Je lui ai dit que c'était pas grave, que je n'avais pas eu si mal que ça (oui faut éviter de le culpabiliser même si j'ai eu assez mal quand il me tirait les cheveux après le fouet ça fait mal comme les claques mais c'est une douleur différente et érotique). Il m'a longuement caressée pendant plusieurs minutes avant de m'embrasser un peu partout sur le corps. A un moment, il est venu embrasser la zone de mon sexe, je lui ai maintenu sa tête dans la zone de mon bas-ventre pour lui signifier de me faire un peu plaisir. Il a compris, j'ai pas eu besoin de lui parler ni de faire un dessin. Il a commencé par me caresser le sexe avant de commencer à aventurer ses doigts entre mes lèvres intimes.

Puis il a fini par y glisser ses doigts, n'épargnant pas trop mon intimité tellement il y allait généreusement. Il a rapidement glissé 2 doigts, son pouce frottant mon clito. C'était brutal mais très bon. Son autre main a remonté vers mes seins et attrapé mon sein gauche, l'a comprimé, pincé, caressé, bref a bien joué avec. J'avais les yeux fermés pour profiter et je ne l'ai pas vu approché sa bouche de mon sexe. C'est quand il a posé sa langue sur mes lèvres que j'ai réalisé, un petit frisson courant le long de mon dos, signe que j'étais assez émoustillée. Et je n'ai pas mis longtemps avant de jouir sous ses coups de langues bien placés, sous ses caresses bien ciblées sur mon corps. J'ai crié, j'avoue, de plaisir quand mon corps s'est tendu, mon bas du dos se détachant du matelas dans une cambrure de plaisir. J'en ai même serré les draps dans mes mains,  cela faisait un moment que je n'avais pas jouis avec une tel intensité. J'étais essoufflée, mon cœur battait fort dans ma poitrine, mon corps tremblait. Et mon client remonta vers moi, en m'embrassant le ventre, s'arrêtant sur mes seins, les suçant, les mordillant avant de venir embrasser mon cou et mon visage. Il se coucha à nouveau prêt de moi, j'avais la chair de poule, il l'a remarqué et il a remonté les draps sur mon corps. Il me murmura à l'oreille « tu es belle ». Bon normalement, ça devrait me faire très plaisir, mais là, j'en ai eu rien à faire. Pour lui, je n’étais pas trop un être humain mais une sorte de poupée gonflable vivante, alors je pouvais être belle. D'ailleurs sans me vanter, si je suis pas la plus jolie, je suis pas mal physiquement et que si j'étais moche, je ne serai pas là, enfin je pense que pour faire Escort, vaut mieux être jolie que moche. 

Après ça, un silence s'est installé dans la chambre. Puis il me proposa d'aller prendre un bain. Je le suivais dans la salle de bain. La baignoire n'était pas trop grande, ça serait donc un bain collé-serré. Bon évidemment, son objectif n'était pas d'être propre mais juste de me baiser dans la salle de bain. D'ailleurs il avait emmené une capote et du lubrifiant. Il a mis de l'eau chaude et s'est assis puis je l'ai rejoint. Il m'a mouillé le corps, passé du savon sur le corps et en a profité pour me palper, me caresser. Il m'a de nouveau glissé un doigt puis un deuxième et m'a masturbé. Étant encore vaguement excité, j'ai de nouveau joui, moins bruyamment mais peut être plus humide au point que ça couler entre mes cuisses. Puis ses doigts s'aventurèrent vers mon petit trou et l'un d'eux s'y glissa tout doucement. Sans qu'il me le demande, je lui présentais mes fesses pour qu'elles soient plus faciles à atteindre. Son doigt coulissait et je lui ai demandé d'y aller doucement. Faut dire que cela fait un moment que personne aussi membré n'est venu explorer ce trou. Il mit du lubrifiant et posa sa bite recouverte de latex à l'entrer. Je me tenais aux montants de la baignoire, la position n'était pas évidente mais je le laissais faire. Mais il n’arrivait pas à bien se mettre. Alors il me sorti de la baignoire me donna une serviette et m'emmena au lit. Je me mettais à 4 pattes sur la serviette étendue sur le lit. Il remit un peu de lubrifiant, se branla un peu pour se donner de la vigueur et posa de nouveau son sexe sur mon anus. Il poussa et entra dans mon cul tout doucement.
Mes yeux sous la douleur s'embrumèrent et des larmes de douleur coulèrent de nouveau sur mon visage. Son sexe glissait lentement entre mes fesses puis entamait un mouvement de recul et ainsi de suite. Au fil des secondes, puis des minutes, la douleur a disparue au profit d'un sentiment de plaisir sans aller à la jouissance pour moi. Il accéléra son mouvement, je sentais son sexe taper en moi, j’étais complètement détendue, ouverte, et cette fois, il est venu rapidement dans mon cul, moins de 15 minutes. Je suis restée tout le long de cette sodomie à quatre pattes et quand il s'est retiré de moi, je me suis laissée tomber au sol, les bras et cuisses endolories. Il écarta mes fesses, et glissa ses doigts dans mon cul en me faisant remarquer que j’étais bien dilatée pour mon âge, et qu’il avait apprécié de pouvoir me sodomiser sans ménagements. Il rajouta « c'est fini pour ce soir, merci, je te laisse tranquille » puis on est allé se doucher. Je me suis rapidement endormie.

Le lendemain matin, il m'a réveillé par des caresses puis il a voulu tirer un petit coup rapide. J'ai simplement écarté les cuisses et il m'a prise en position de missionnaire. Aucun plaisir pour le matin. Puis une fois son affaire faite, il m'a dit d'aller me doucher. Quand je suis revenue de la salle de bain, il avait préparé le petit déjeuner. Sympa comme intention. On a mangé ensemble, discutant de tout et de rien mais surtout de la nuit. Il m'a offert un petit bracelet puis m'a demandé de partir, il était 9h20. Après ça, je suis passé chez moi. Je me suis changée puis je suis allée au boulot, comme si j'étais une fille normale.J'avais déjà mis un peu d'argent de côté, je pourrai bientôt me chercher un logement.

mardi 27 mars 2012

Mardi 27 mars

De repos ce mardi, et n’ayant pas obtenu de rendez-vous plus lucratif, j’ai décidé de prendre deux clients dans la journée. Après avoir fait la flemmarde au lit, je me suis préparer, enfilé un jean, des bottines et un tee-shirt moulant, sans soutif pour me rendre au premier.

A 15h, j’étais au bar en attendant mon client. Je dégustais un jus d'orange, j’aime ce fruit, et la viscosité de la salive s'en trouve modifier, elle devient plus « gluante ». La bouche et la langue deviennent alors beaucoup plus douce, parait-il !
Et quelle ne fut pas ma surprise en voyant débarquer mon ancien prof de comptabilité, que j’avais eu pendant 2 années. Pas forcément beau mec, dans les 40 ans, un mec tout ce qu’il y a de plus banal. Lui aussi ma reconnu rapidement. Et là, j’hésitais, finalement il prit les devant et me demanda où on allait.
Visiblement, lui ça le gène pas de se faire sucer par une de ses anciennes étudiantes. Je l’emmenais chez moi. A peine arrivé, il enleva directement son pantalon et son caleçon, il était, là devant moi a moitié nu, son sexe à demi gonflé, comme les autres, je le fis s’asseoir sur le clic-clac.

J’ai saisi son sexe doucement dans ma main et commença à le caresser, son sexe pris un beau volume. J’avais du mal à m’enlever de la tête que j'allais sucer un de mes anciens profs. J'ai fermé les yeux, et je m’y suis mise de bon cœur. Ses gémissement et ses mouvement de hanches, me prouvaient qu' il appréciait. Lui me caressait ma tête et il finit par faire glisser sa main dans mon haut et me caressait la poitrine, me pinçait les tétons, me les tortillaient… Il finit par jouir dans ma bouche puis il se retira. Il restait assis et commença par me questionner pourquoi je faisais ça ? Je lui donnais des réponses vagues qui avaient l’air de le contenter. Puis finit par poser cette question : « est ce que tu vas plus loin avec tes clients ? » Je lui demandais « comment ça plus loin » et me répondit « est que tu passes à l’acte sexuel en lui-même, pénétration, sodomie… » Je lui répondis « oui » sans m’épancher sur le sujet et lui me répondit « dommage, si tu baises aussi bien que tu suces, tu dois avoir du succès ! ». Je dois avouer que j’étais sur le cul qu’un prof, quoique client, me dise ça ! Il se leva et parti de chez moi sans oublier de payer et en partant, il me dit, « à une prochaine fois pour te baiser ».

 Après m’être remise de mes émotions, je décidais d’aller faire un tour en ville pour m’aérer et me changer les idées avant mon prochain rendez-vous. Après avoir fait les magasins pendant 1 heure, je rentrais chez moi. Je décidais de rester comme j’étais habillée. Arrive l’heure de mon rendez-vous. Je descendais au bar et me mit à attendre mon client tout en sirotant mon jus d’orange, sur la terrasse ensoleillée de ce début de printemps. Mon client arrive, charmant, habillé assez décontracte avec une chemisette blanche en coton style baroudeur revenant d’Afrique. Je le fis monter chez moi et s’asseoir sur le clic-clac. Je lui déboutonnai son pantalon et lui mit la fameuse capote, goût fraise pour changer un peu. Lui me demanda d’enlever mon haut, Je me suis retrouvée les seins à l’air sous l’œil plutôt ravi de mon client. Je commençai à lui faire une pipe mais j’arrêtais rapidement le goût fraise étant vraiment affreux. Je lui demandais si je pouvais continuer sans la capote et me répondit positivement avec un grand sourire ravi. Je mouillais, carrément excitée, j’ai fini par déboutonner mon jean et j’ai commençé à me caresser. Je n’avais plus le sentiment d’avoir affaire à un client mais à un mec avec qui je pourrai m’envoyer en l’air. M’en activant sur sa queue et sur ma chatte la situation devenait ambiguë. Mon client finit par m’annoncer qu’il allait jouir, j’avais envie qu’il se répande en moi. Il se mit à éjaculer, plusieurs jets assez importants, j’avais la bouche remplie et j’ai laissé le sperme s’échapper et couler sur mes seins et mon ventre. Après quelques minutes où je laissais ma tête posée sur ses cuisses, il me releva pour essuyer le sperme qui avait coulé sur moi. Il s’est rhabillé, puis me paya, en laissant un pourboire. Il a quitté l’appartement rapidement, en me disant qu’il espérait bien me revoir, le plus rapidement possible…

vendredi 23 mars 2012

Jeudi 22 mars

J’ai reçu, à ma grande surprise, beaucoup de demande, il y a vraiment de tout, voir du grand n’importe quoi ! Je sélectionne donc de façon drastique.
Un nouveau rendez-vous de pris, c’est un homme la quarantaine, formateur en déplacement, j’ai hésité car il voulait que je reste toute la nuit, et bien j’ai passée une très bonne soirée.
J’ai mis une robe fourreau noire assez courte achetée la veille. En me regardant dans la glace, je me trouvais très sexy, jolie, loin de la  gamine qui traînait en jean et tee-shirt dans le quartier.

Mon client, Luc, m'attendait à son hôtel. J'ai pris un jus d'orange et il m'a payé, mon prix pour la nuit. Je devais manger avec lui et avec un ami à lui, qui serait accompagné lui aussi d'une fille. Je dois avouer que je me suis demandée s'il n’allait pas me sortir un plan à quatre.
Mais non. Après dîner, il tenait à aller faire un tour pour voir le vieux-Lyon de nuit avant d'aller dans sa chambre dans son hôtel. Nous sommes allés au restaurant, je passe les détails du repas, c'était comme d'habitude, chiant à en crever.

Après ce dîner et avoir quitté son ami et sa compagne, environ 30 ans, très jolie, beaucoup de classe, call-girl pro ( elle parle couramment 4 langues !!!), elle captait tous les regards sur elle, j'en étais presque jalouse. Nous avons fait un tour dans Lyon avec la voiture de location de mon client. C'est vers minuit que nous avons rejoint son hôtel. Un dernier petit vert, whisky pour lui, vodka pour moi. L'alcool ça désinhibe et je crois que si j'en avais un peu besoin, lui, il en avait plus besoin que moi. Bref, après ce verre, on a discuté et là j'ai compris. La quarantaine, jamais couché avec une autre que sa femme depuis qu'il est marié, mais le démon de la quarantaine le rattrape. Je n’avais pas forcément envie de baiser mais j'avais envie de m'amuser un peu. Alors je l'ai chauffé !

De toute façon il fallait aller se coucher, il est allé se changer dans la salle de bain. Moi, j'ai attendu. Une fois libre, j'y suis allée et j'ai laissé la porte ouverte. Le miroir renvoyait mon image, j'ai pris mon temps pour me déshabiller et je voyais du coin de l'œil dans le miroir qu'il me regardait.
La douche de prise, je suis sortie en peignoir et boxer de couleur violette claire avec des touches de dentelle noire, il cachait maladroitement l'effet que cela lui avait fait. Je me suis couchée à coté de lui et je lui ai demandé s'il voulait un petit massage. Il a accepté et j'ai commencé à lui mettre de l'huile de massage sur son dos. Je me mettais au dessus de ses hanches et je le lui ai massé le dos. Puis je lui ai demandé de se retourner pour lui masser son torse. Il s'est retourné et j'ai repris mon massage. Mais très vite j'ai senti que mon massage lui faisait un gros effet au niveau de la ceinture.
Dès que je m'allongeais un peu, je sentais son sexe dressé frotter contre mon ventre. Je m'amusais à descendre le plus bas possible, glissant mes doigts sous l'élastique de son caleçon. Et finalement, il a pris un peu de courage et a posé ses mains sur mes hanches pour les caresser. Et voyant cela, je me mis à le chauffer encore plus. Je le poussais au vice sans prendre l'initiative. C'est le client qui laisse parler ses envies, mais il faut l'encourager.

Je me tournais et me mettais au-dessus de son ventre, il avait mes fesses en gros plan, mon entrejambe à hauteur de son sexe, pour lui masser les jambes. Je glissais mes mains le long de ses jambes poilues, comme le reste de son corps d'ailleurs. Je m'amusais encore à remonter très haut, flirtant avec ses couilles par moment. Lui me caressait les hanches et remontait au fur et à mesure vers mes seins qu'il finissait par atteindre. Je me retournais vers lui et il m'attira vers lui pour m'embrasser. Pendant ce temps, j'avais glissé sa main sous son caleçon et je lui caressai le sexe.
Son sexe n'était pas trop gros mais bien dur, plutôt fin. Je me mettais à quatre pattes à coté de lui, mes fesses vers lui. Il a continué à me caresser les seins mais de temps en temps une de ses mains venait sur mes fesses ou entre mes cuisses. Il était très doux dans ses caresses et du coup, c'était plutôt agréable même si je savais que ce soir, je ne prendrai pas trop mon pied, il était bien trop coincé pour faire des choses qui pourrait m'exciter. Je le branlais toujours et rajoutais de temps en temps quelques coups de langues puis allant crescendo, je finissais par le sucer.
Je le sentais se tendre de plus en plus, signe annonciateur qu'il allait venir. D'ailleurs, il me le dit entre deux respiration « attends, je vais... », et moi j'avalais entièrement son sexe. J’ai senti un flot envahir ma gorge, 4 grosses giclées d'un sperme épais, salé et musqué. A mon avis, ça faisait un moment lui aussi qu'il n'avait pas éjaculé. J'avalais le tout comme d'habitude. Cela l’a surpris et il m’en fit la remarque. D'abord qu'il était désolé d'avoir éjaculé dans ma bouche, avant de me faire » part de son étonnement, d’avoir avalée.

 Je le rassurais en disant que ça ne me gênait pas et que j'étais habitué à avaler, que j'aimais ça. Il me répondit que lui, sa femme faisait rarement des fellations et qu'elle ne voulait pas qu'il vienne dans sa bouche, ni sur elle d'ailleurs. Puis il me fit la remarque qu'à mon âge, ça le surprenais. Je lui répondais que beaucoup de fille de mon âge le faisait. En soupirant, il me dit - « j'espère que ma fille ne fait pas ça... ». Je lui demandé quelle âge avait-elle, 17 me répondit-il. Et je le provoquais légèrement, si elle aime ça, elle le fait forcément. Comme guise de réponse, j'ai eu droit à un grognement et il me mit sur le dos et se glissa entre mes jambes écartées. Il posa son sexe sur le mien et commença à me pénétrer. Mais je l'arrêtais net, et je lui ai dit « capote. Il en prit une en me disant « tu suces sans capotes mais tu baises avec une capote, un peu bizarre non? ».

 Je haussais juste mes épaules en guise de réponses et il me pénétra sans trop de préparation ce qui me fit gémir. Sans forcément mettre de puissance, il me baisa un long moment en missionnaire sans me toucher, juste la pénétration. A un moment, il me bascula sur lui en roulant sur le coté mais il me baisait simplement, sans fioritures. Je n'aimais pas, j'aime bien être caressée, cajolée, ou être bousculée, violentée. Il aurait pu profiter de mon jeune corps mais non. Je lui caressais le torse, je simulais un plaisir qui ne viendrait pas.
Il finit par jouir en criant dans un coup de rein plus puissant que les autres.
 Il se retira bien vite et me poussa sur le coté, se rapprocha de moi, m'embrassa et me dit merci. Je lui laissé le plaisir de balader ses doigts, pendant quelques minutes avant qu’il ne s’endorme en ronflant. Le lendemain matin, ,avant de prendre congé, il m’a offert un parfum de marque, « un petit cadeau pour te remercier de cette nuit ».

Au moins, le client était satisfait. Je suis rentrée chez moi rapidement, ou j’ai pris une douche et filé au boulot, la tête à l’envers ! il faut que j'arrête de prendre des rendez-vous le jeudi soir, mon emploi du temps ne me le permet pas....

mercredi 21 mars 2012

Mardi 20 mars

Sortie du boulot à 17h, je sentais mon cœur battre de plus en plus fort et un sentiment d’appréhension mêlé de honte apparu.

Je suis rentrée, j’ai pris un bain. 18h45, l’heure d’aller au bar, lieu convenu du rendez-vous, je suis descendue jusqu’à celui-ci et mon client n’était pas encore arrivé. A l’heure convenue, il rentra dans la bar et s’approcha de moi. C’était un mec plutôt pas mal avec beaucoup de charme, il me proposa un verre mais je refusais. Je voulais que ça se termine vite. Il s'est assis, on a discuté un peu de banalité et puis il m’expliqua qu’il ne pouvait pas m’emmener à son hôtel, par peur d’être vu par des collègues de travail.
Il me demanda si je connaissais un coin tranquille car il ne souhaitait finalement qu’une simple fellation, que sa femme lui refusait de faire.
Attendrie, et sans trop réfléchir aux conséquences, j'ai  décidé rapidement de l’emmener chez moi.
Il accepta mon prix, et sortit un billet de 100 €, nous sommes sortis, une fois arrivé, je l’ai fait asseoir sur le clic-clac, lui déboutonna le pantalon pour découvrir un sexe d’une vingtaine de cm déjà bien bandé et lui mis une capote.
D’habitude, je ne mets pas de capote, en fait, je déteste sucer une bite recouverte d’une capote, je déteste les goûts des capotes et puis de toute façon j’ai toujours eu l’habitude d’avaler. Il me demanda si je pouvais enlever mon haut, je m’exécutais lui faisant découvrir ma poitrine nue. Je commençais à le sucer en alternant les couilles et le sexe puis j' avalait son sexe. A ce moment-là je me suis détendue et je suis abandonner totalement, je le suçai avec passion. Mes amants m’ont toujours dit que j’étais une véritable petite cochonne quand je suçais, que j’avais un certain talent pour cette chose là et puis c’est simple j’adore ça !

Mon client, lui aussi avait l’air d’apprécier. Il me tenait la tête, imprimait la cadence, me caressait les cheveux et de temps en temps, faisait glisser sa main sur mon dos. Il était doux avec moi et ça, ça me rassurait, lui me respectait et moi en retour, je me devais de lui faire plaisir, juste retour des choses. J’avais envie de sentir sa colonne de chair dans ma bouche, j'ai retiré la capote et le repris en bouche directement. J’ai aimé son gout, sa chaleur, ma langue tournait autour de son gland. Rapidement je l’ai senti se tendre, signe annonciateur d’un plaisir proche. Il agrippa mes cheveux, plongea son sexe au fond de ma bouche puis il éjacula en grognant. Je lui caressais les couilles pendant un moment, gardant son sexe en bouche qui me remplissait de son foutre, puis il se retira, et  se rhabilla rapidement. Je suis restée à genoux à ses pieds, Il m’aida à me relever. Il me dit -« merci, c’était bien, je reviendrai » et il sortit.
Je me suis demandée alors, "que serait-il arrivé", s'il n'avait pas voulu partir !

Demain, j’irai acheter des vêtements plus sexy et classe, il me faut trouver des soirées plus rémunératrices, pour ne pas trop multiplier ces rencontres. J’ai aussi décidé de passer le permis de conduire, mon livre de chevet sera le code Rousseau !
Hervé à mis opposition à ma carte bancaire, je n’ai plus accès au compte et il m’a donné 2 mois pour quitter son appartement…, j’espère pouvoir trouver quelques choses d’ici là. Finalement, c'est une bonne chose, car on ne se comprendra jamais.
Robert m’a de nouveau proposé de venir chez lui, mais je ne peux pas, je ne veux pas le faire souffrir, je ne veux pas gâcher notre complicité.

Demain matin footing, j'ai pris 4 Kilos, il est temps de me reprendre.


lundi 19 mars 2012

Premier Rendez-vous

En quelques jours, j’ai reçu pas mal de demande.

Je n’ai retenue que la proposition d’un homme qui me donnait rendez-vous en ville en début d’après-midi. Son message était clair, il me paraissait sympa, alors j’ai accepté. Je suis allée chez l’esthéticienne, faire un gommage et une épilation totale, bon, me revoilà de nouveau toute lisse.

 Le Jour J, à ma surprise je n’ai pas de stress. Je suis allée bossée, puis je suis rentrée rapidement, prendre une douche, et me préparer. Je me suis habillée simplement, un Tee-shirt, jean, des bottines et en dessous, de la lingerie noire en dentelle. Direction le centre ville en bus.

Sur place, j'ai attendu une dizaine de minutes l'homme avec qui j'avais rendez-vous. Un mélange d'appréhension et d’excitation m'envahit totalement.
C'était un gars dans les 30/35 ans plutôt pas mal, un commercial, beau costume, propre sur lui. Il m'a emmené dans un de ses hôtels sans charmes de grande chaîne hôtelière pour hommes d'affaires. Chambre simple, un grand lit, un meuble sur lequel il y a une télé, un bureau, une chaise, un canapé, une salle de bain avec douche. Le strict nécessaire. L'homme qui s'appelait Stéphane m'a payé de suite, 200€ en billet de 50. On a discuté 5 minutes durant lesquels il m'a demandé, un strip-tease, une pipe avant de terminer dans le lit pour massages, caresses et baise.
 Au moins le programme était clair et net.

 Il s'est assis sur la chaise et j'ai commencé un strip. J'ai d'abord enlevé mes chaussures avant le reste. Entre chaque élément enlevé, je venais me glisser contre lui comme une lap dance. J'ai enlevé mon tee-shirt tout doucement en ayant enjambé ses jambes, de sorte que j'étais proche de lui. Il en a profité pour me toucher, me caresser doucement surtout mes fesses. Après le tee-shirt, je m'attaquais à enlever mon jean et je me retournais pour qu'il découvre en premier mes fesses. Je revenais face à lui et je m'entreprenais à lui défaire sa chemise pour découvrir un torse poilu. J'enlevai mon soutif et gardais mes mains devant mes seins tout en me trémoussant langoureusement avant d'écarter mes mains de ma poitrine. Je voyais son pantalon qui gonflait ne me laissant aucun doute sur l'effet de mon strip sur lui. Je caressais son entrejambe à travers son pantalon avant d'ouvrir les boutons et de sortir son sexe, assez long et épais. Je l’ai trouvé beau, et je n’avais qu’une envie, c’est de la sucer !

J'enlevais mon tanga et lui offrais une vue sur mon anatomie avant de venir prendre position sur lui. Je me frottais à lui puis je le branlais légèrement avant de faire frotter mon sexe contre le sien. Puis je glissais à ses pieds pour me retrouver à genoux devant lui et dans l’enchaînement je prenais son sexe dans ma bouche (enfin) et je commençais à le sucer avec délice. Je léchais d'abord son sexe sur sa longueur puis aspirer entre mes lèvres son gland. J'ai alterné léchage et fellation pendant une dizaine de minute, avant qu'il prenne les choses en main. Il me dit, -« tu suces vraiment bien, on voit que tu aimes ça ».

J’étais fier, au fond de moi de ce compliment, il m'a pris la tête entre ses mains et a commencé à imprimer la cadence, plus rapide que ce que je lui faisais. De temps à autre, il appuyait fort sur ma tête et s'enfonçait profondément dans ma bouche, style gorge profonde mais jamais deux fois de suite. Puis il s'est calmé et j'ai repris les choses en main, une fellation plus classique. Mais juste quelques va-et-vient autour de son sexe car il a fini par venir, se retirant rapidement et venant lâcher une grosse quantité de son jus sur mon visage et mes seins. A mon avis, il n’avait pas éjaculé depuis un moment, ou il était vraiment très excité.

 Après ça, il s'est couché sur lit et m'a fait signe de le rejoindre. Je me suis couchée à coté de lui et il a commencé à me caresser. Ses mains se sont attardées sur mes seins, étalant son foutre, les caressant, les malaxant, il me pinçait les tétons, les tournait légèrement, il les lécha, les prit en bouche, les suça, bref il joua avec. Pendant ce temps, je lui ai caressé son sexe pour qu'il reprenne de la vigueur. Je lui ai donné un préservatif qu'il enfila et il me pénétra en missionnaire. Il me baisa assez puissamment, s'enfonçant en moi par des coups de reins violents. Il s’est retiré de mon vagin, à enlevé la capote, et a lâché à nouveau plusieurs Jets de sperme dans un râle de contentement. Moi je m’étais contentée juste de gémir légèrement et semblant de prendre du plaisir. Puis il est allé se doucher, l'heure ayant atteint sa fin. J’ai essuyé mon visage, ma poitrine et mon ventre de son sperme, je me suis rhabillée et je suis retournée chez moi.

Une fois rentrée j’ai pris une douche, là, j’ai dirigé le jet chaud sur mon sexe. Rapidement, j’ai senti, une grande chaleur m’envahir, monter en moi une vague de plaisirs, prise d’un violent orgasme, les jambes en coton, je me suis écroulée dans le bac. Je suis restée plusieurs minutes comme ça, avant de retrouver mes esprits ! Je ne me sentais ni sale, ni honteuse, même bien, satisfaite d’avoir donné du plaisir. C’était quand même, la première fois, la première fois que je baisais, avec comme première motivations l’argent. Bien sur que, j’avais déjà reçu de l’argent, pour qu’on m’utilise, mais c’était surtout un jeu pour moi, une source de nouvelles expériences, de nouveau plaisirs. J’en avais envie.

Maintenant, je sais, qu’il me faudra aller sur des rendez-vous, sans forcément avoir envie, de me faire baiser. On verra bien. Après cette douche, je suis allée m’allonger, apaisée et je me suis endormie.


Prochain rendez-vous de pris pour demain soir.

vendredi 16 mars 2012

Aujourd’hui, Changement de vie.

Voilà presque 30 mois que je vie avec Hervé.

Un homme élégant, bien élevé, cadre commercial, le bon parti pour beaucoup de femme. Amoureuse, oui très amoureuse. Du moins au début !
 Rapidement, malgré mes sentiments, j’ai senti un fossé se creuser entre nous. Rien ne va plus entre lui et moi, je le savais, mais je refusais de le voir.
Je pensais me ranger dans une vie normale, mais il n’a pas su répondre à mes attentes. Nous nous entendons bien, mais côté sexualité c’est le néant, plutôt coincé, jaloux maladif , peu d’exigence et d’envie, ma vie devient terne, je m’éteins...

 J’ai, je pense essayer de faire changer les choses, son attitude, mais au finale il à été plus choqué qu’autre chose Il ne se remet pas en question et n’essaye pas de me comprendre.
 J’ai retrouvé un travail, à mi-temps, pour m’occuper dans un premier temps, mais largement insuffisant financièrement pour me permettre de reprendre mon envol.
Alors après de longues hésitations je me suis inscrite récemment sur un site de rencontre pour accompagner des hommes souvent marié, à la recherche d’un moment privilégié.

Premières découvertes, premiers émois….Suite

En aout, on est partis en vacances avec nos parents, on était jamais seuls mon frère et moi donc on a arrêté nos petites activités le plus naturellement du monde
 Fin aout, on est allés a un mariage dans la famille. Mon frère et moi avons du partager le même lit. Le soir, en rentrant du mariage vers 3-4h du matin, il s'est collé contre moi et a commencé a se frotter contre moi. Je l'ai repoussé une fois, deux fois... mais j'étais crevée, j'avais envie de dormir, et a la troisième fois je l'ai laissé faire sa petite affaire contre moi, jusqu'a ce qu'il éjacule (sur moi d'ailleurs) et me laisse enfin dormir tranquillement.

Le lendemain matin, je l'ai engueulé plus sérieusement, j'étais sa petite sœur cool, mais je n’étais pas sa copine, et encore moins une poupée gonflable!

 Ca l'a bien calmé. Ensuite il y a eu le retour a la maison, la rentrée des classes, et nos relations se sont normalisées: on partageait toujours la même chambre, on se voyait toujours nus, on se masturbait de temps en temps (chacun de notre coté et très rarement en même temps), mais il n'y a plus eu d'attouchements entre nous.

 Les choses sont redevenues un peu bizarre quand j'ai commencé a sortir avec un mec... Quand j'ai commencé à sortir avec mon copain, on a assez rapidement couché ensemble. Mais on faisait ca plutôt chez lui, ou alors chez moi mais quand on était seuls. Ce n’était pas que je redoute de le faire devant mon frère, non, compte tenu de ce qu'on avait fait ensemble et du fait qu'il me voyait encore nue tous les jours ou presque, j'en avais un peu rien a foutre qu'il puisse me voir ou m'entendre faire l'amour. Mais je n'avais pas envie de mettre mon copain dans une situation qui aurait pu le mettre mal a l'aise, et surtout j'avais un peu peur qu'il ait l'impression d'être tombé dans une famille de dingues, parce que j'avais beau le vivre de façon naturelle, j'avais quand même conscience que l'impudeur permanente dans laquelle mon frère et moi vivions avait quelque chose d'un peu anormal.

Mon copain était un peu intrigué par cette aspect là des choses, et il trouvait ça un peu étrange qu'on partage la même chambre, même si ca s'expliquait parfaitement par des raisons objectives. Il me posait parfois des questions sur comment on vivait ca au quotidien. J'essayais de répondre de façon naturelle, tout en restant évasives quand ses questions devenaient plus précises ou plus ciblées sur la sexualité.

Un après-midi, pendant les vacances de pâques, mon mec a débarqué a la maison avec un film porno. Pas un film érotique comme j'en avais déjà vu des dizaines, non, un vrai film porno. J'avoue que j'étais assez curieuse de voir ce que c'était. Mon frère était là, et il a demandé s’il pouvait le regarder avec nous. Mon mec lui a dit que ca ne le gênait pas si il gardait ca pour lui et si j'étais d'accord. Moi je n’ai pas eu trop le temps de réfléchir, j'ai du penser que si je refusais, ca ferai genre je regarde des films pornos, avec mon mec pour m'exciter, alors que si j'acceptais ca faisait genre j'étais décontractée et on regardait ca pour délirer... bon en tous cas j'ai accepté.

Au début, on a un peu déliré en effet, l'ambiance était détendue, on blaguait, on faisait des vannes...mais au bout de quelques minutes l'ambiance a un peu changé, c'est devenu un peu bizarre. On ne parlait plus trop. J'étais assise sur les genoux de mon mec, et je sentais qu'il commençait a être excité, je le sentais a sa respiration, a la façon qu'il avait de me prendre par la taille pour m'écraser un peu plus contre lui, et puis il me semblait sentir qu'il commençait a bander...

Quand il a glissé une main sous ma jupe, son autre main sous mon pull il a commencé à me caresser, moi aussi j'ai commencé a être très excitée. Il m'a caressée a travers la culotte pendant plusieurs minutes. Quand il a glissé son doigt dans ma culotte j'ai joui presqu'aussitôt. Presqu'aussitôt mais relativement discrètement, je voulais encore préserver les apparences vis a vis de mon frère. Mon mec devait être moins soucieux de les préserver, parce qu’il m'a dit de façons pas du tout ambigüe qu'il aimerait bien que je lui fasse la même chose que ce que faisait la fille dans le film, a savoir une pipe. Par principe, j'ai fait l'offusquée en lui disant que je n’allais pas faire ca devant mon frère, mais mon frère a dit qu'il s'en foutait, qu'il avait plus 5 ans et qu'on pouvait faire ce qu'on voulait. Je sais que mon comportement peu étonner ou choquer, mais j'étais très amoureuse, je venais de jouir et j'étais encore excitée, mes relations avec mon frère étaient telles que le fait qu'il me voit n'avait aucune réelle importance pour moi, alors je l'ai fait. Je me suis accroupie sur le canapé à coté de mon mec, j'ai ouvert sa braguette, sortie son sexe, je l'ai un peu branlé et je l'ai sucé.

 J'ai vite compris aux bruits que j'entendais que mon frère se branlait aussi de son coté, et je l'ai entendu jouir. J'ai préféré penser que c'était le film qui l'avait excité comme ca, mais j'ai encore des doutes a ce sujet, je ne peux pas m'empêcher de penser que j'ai peut être eu une part de responsabilité dans l'excitation qu'il avait. Mon copain a joui dans ma bouche, et est rentré chez lui assez vite après. Mon frère aussi est sorti assez vite. On devait tous être un peu gênés et plus trop savoir comment se comporter entre nous après ca. Mais quand mon copain est revenu a la maison, la gêne avait disparue. Du coup, on a commencé a se laisser aller a nos pulsions, a nos envies, chez moi comme on le faisait déjà chez lui. On a commencé a faire l'amour dans ma chambre, même quand mon frère était là.


Un soir qu’il se caressait sous les draps, il m’a demandé si je voulais continuais à sa place, j’ai un peu hésité et puis j’étais assez contente qu’il me le demande, après quelques va et vient, je ne sais pas ce qui ma prise, mais je me suis mise à le sucer, j’aimais son goût, il n’a pas fallu pour qu’il explose dans ma bouche, d’une grosse quantité de sa liqueur, j’en ai aimé sa saveur.
Par la suite, j’aimais entendre ses supplications pour que je lui laisse à nouveau prendre possession de ma bouche, chose que finalement je ne refusais jamais. Mon copain ne se doutait de rien, et il n’était pas rare qu’une fois partis de la maison, mon frère vienne à son tour chercher à se soulager de la tension accumulée, lors de sa séance de voyeurisme !... Dans les mois qui ont suivi, tout s'est passé sans problèmes. Quand on faisait l'amour et que mon frère était là on le remarquait à peine, il restait très discret et attendait patiemment son départ, je ne devais jamais très longtemps m’appliquer pour qu’il se soulage,… , et tout ce passait très bien.

 Au bout de quelques mois, un soir on ne peut plus normal, mon copain est rentré chez lui après que nous ayons fait l'amour, pour une fois mon frère c’est couché rapidement sans me sollicité, et je me suis endormie très vite.

 D'un coup je suis réveillée en sursaut, par un râle juste au dessus de moi et une sensation que quelques filles ici doivent connaitre, je venais de me faire éjaculer au visage! Je me suis sentie souillée, presque violée. Je n'aime déjà pas beaucoup les "faciales", alors par surprise pendant mon sommeil et par mon frère, je vous laisse imaginer! J'étais en rage, je l'ai frappé, insulté, et je suis allée dormir dans le salon.

 La colère passée, je lui ai trouvé des circonstances atténuantes. On a eu une discussion, et tout est rentré dans l'ordre, mais plus jamais on ne s’est touché. Peu de temps après, mon copain et moi avons rompu (sans que ca ai de lien avec tout ça). Mon frère s'est trouvé une copine, et les rôles se sont inversés. Au début elle était toute timide mais rapidement, elle a compris la situation et elle s'y est faite.

 De mon coté ca ne me gênais pas, c'était une fille que j'appréciai beaucoup, alors je faisais en sorte qu'elle se sente a l'aise….

Premières découvertes, premiers émois….

Nous sommes en 2001, j'ai 13 ans, et mon frère a 2 ans de plus que moi, nous sommes donc très proches au niveau de l'âge, mais tout en aillant une différence suffisante pour que sa position de "grand frère" ait toujours été claire, avec ce que ca suppose d'autorité sur moi, de chamailleries parfois, de protection aussi. Par autorité, je ne veux pas dire qu’il me dicte ma conduite, mais que dans la vie courante, c’est plutôt moi qui décide pour les petites choses, et que quand je dis non a quelque chose il le respecte.



Ce qui est je pense très important pour bien comprendre comment ont évolué nos relations, c’est que nous avons toujours partagé la même chambre: une petite chambre dans un appartement. La nudité de l'un et de l'autre a donc été une chose a laquelle nous avons été habitués depuis toujours, quelque chose de totalement intégré et normal. J'ai de vagues souvenirs de léger agacement du fait de cette situation quand on avait 10-11 ans, de vagues tentatives de dissimulation, mais ca n'a duré que quelques jours, les habitudes et l'indifférence a la nudité ont vite repris le dessus.
Compte tenu de ce contexte, on a développé une sexualité normale pour des mômes de notre âge, je crois. Rien d'extravagant ou d'anormal il me semble. J’ai commencé a me masturber très jeune, mais discrètement, juste en serrant mes cuisses l'une contre l'autre sur un rythme régulier. J’ai des souvenirs de mon frère se frottant contre son matelas mais c'est tout, je n’ai pas de souvenirs d'attouchements entre nous a cette époque.

Quand j'ai eu 12-13 ans j'ai commencé à me masturber à la main, avec des caresses un peu plus précises et ciblées, et mon frère a suivi la même évolution.
On enregistrait le film (érotique) sur M6 le dimanche soir et on le regardait le mercredi après-midi quand on était seuls a la maison. Avec ces petites séances ciné du mercredi après-midi, on a pris l'habitude de se masturber en même temps sans la moindre gêne. Ca me posait aucun problème, j'avais déjà pris l'habitude de me masturber dans notre chambre (sous les draps il est vrai) alors le faire dans le salon, habillée, ce n’était pas pire. Le voir se branler, au début ca m'a fait un peu bizarre par contre, j'avais beau être habituée a le voir nu et parfois en érection, ca restait quand même mon grand frère, et le voir se branler frénétiquement et jouir, c'était quand même un peu spécial. Mais bon, je me suis habituée et très vite cette situation est devenue naturelle, pour lui comme pour moi, et on s'est un peu plus laissés aller, lui comme moi.

 Les vacances d'été sont arrivées et comme chaque année on est allés passer le mois de juillet chez nos grands parents, à la campagne. Moi je bouquinais pas mal, là-bas. Mon frère c'était plutôt vélo et pèche avec mon grand père ses occupations favorites.
Sauf qu'il devenait ado et que ca commençait a le faire un peu chier ce genre de trucs. Du coup il restait davantage à la maison avec moi, a se faire un peu chier. Un après-midi, on était seuls, et on en a profité pour boire notre premier verre d'alcool. C'était peut être psychologique, je ne sais pas, mais on a juste bu un petit verre et on s'est tout de suite sentis un peu pompettes.
Il a commencé à me dire qu'il se faisait trop « chier » en ce moment, et que sa libido était complètement en berne (enfin il l'a pas dit comme ca, il a du me dire un truc du style "depuis qu'on est la je n’ai pas eu la gaule une seule fois"). Ca a du me faire rire bêtement, et je lui ai dit un truc du genre "je suis sure que si je m'en occupais j'arriverais à te faire bander". Il m'a dit " ok essaie", sur un ton comme si il me mettait au défi.

A l'époque de mes 13 ans, j'étais plutôt réservée, complexée et que j'avais absolument rien fait avec un mec. Je n’étais pas le genre à aller vers eux, et il faut croire que je n’étais pas non plus le genre à attirer leur attention. Mais j'étais quand même curieuse de tout ca, ce qui doit expliquer en partie que quand mon frère m'a mise au défi, je ne me suis pas défilée... On était dans le salon, chez nos grands parents. Je me suis rapprochée de lui, dans le canapé, et j'ai glissé ma main dans son jean et son caleçon, par la taille. Il fallait vraiment que je me contorsionne un peu le bras, alors il a ouvert les boutons pour me laisser plus d'espace. J'ai posé ma main sur son sexe. J'ai été surprise par la chaleur qui s'en dégageait et par la douceur de l'engin. Il était mou, mais sa libido devait pas être si anéantie que ca parce que j'avais a peine refermé ma main dessus qu'il a commencé a durcir. Honnêtement, j'ai bien aimé cette sensation de sexe qui durcissait dans ma main. Ca me donnait un petit sentiment de puissance, et peut être aussi me suis je sentie plus "femme" et plus sensuelle ou excitante que d'habitude
 J'ai commencé à le masturber doucement. Très vite, il m'a demandé d'arrêter. Je lui ai demandé ce qui n'allait pas. Il m'a dit qu’il n’allait pas pouvoir tenir. J'avoue que ca m'a un peu déçue, au point ou on en était, j'étais curieuse de voir ce que ca faisait, de faire jouir un mec. Je lui ai donc dit que ce n’était pas grave.
Mais lui était gêné, mais il était d’accord pour que je continue à condition que lui puisse faire pareil sur moi après. Je ne sais pas si ca gêne était réelle ou si c'était juste une manœuvre pour le laisser me toucher après, mais je lui ai dit « d'accord ».

J'ai repris mon activité, et en effet il n'a pas tenu très longtemps. Très vite j'ai entendu son râle caractéristique, et j'ai senti les spasmes de son sexe dans ma main. J'ai vite retiré ma main et il a éjaculé dans son caleçon. J'ai eu droit a mon premier conseil: il m'a dit que ca aurait été mieux si j'avais continué un peu plus longtemps. J'ai du rire un peu nerveusement, et on est allé lui changer de caleçon, et moi me laver les mains (j'ai eu beau la retirer rapidement, je n’avais pas pu tout éviter quand même)
Quand on s'est retrouvés dans le salon, bien sur il s'est souvenu de ce que je lui avais dit 10 minutes plus tôt, et il m'a dit que c'était son tour. J'étais un peu anxieuse, et en même temps un peu curieuse. Jamais personne d'autre que moi n'avait posé ses mains sur moi, et je me demandais si les sensations seraient les mêmes.
Je me suis allongée sur le canapé, et comme il l'avait fait pour moi j'ai ouvert le bouton et la braguette de mon jean, et je lui ai dit d'y aller. Les premières secondes, il a été comme un éléphant dans un magasin de porcelaine! Il a mis sa main dans ma culotte et est allé droit vers mon vagin, sans aucune délicatesse, et a commencé à m'enfoncer un doigt! J’ai aussitôt serré les cuisses et bloqué sa main en lui criant d'arrêter. Il a retiré sa main, avec un air un penaud qui m'a fait un peu pitié. Je lui ai dit que ce n’était pas grave, qu’il ne pouvait pas savoir, mais qu'il fallait y aller avec beaucoup plus de douceur. J'ai pris sa main et je l'ai guidée vers mon clitoris. Je lui ai dit de juste caresser dans cette zone pour l'instant, juste du bout du doigt.

C’était très approximatif au début, mais au bout de quelques minutes ses caresses sont devenues plus précises, et plus efficaces. La sensation était agréable, mais pourtant je ne décollais pas. Il était évident que le fait de servir de "cobaye" et le fait que ce soit mon frère rendait la chose pas du tout sexy et me bloquait un peu (et même beaucoup).On aurait pu arrêter la, mais ca aurait eu quelque chose de frustrant. Alors j'ai fermé les yeux et j'ai commencé a penser aux choses auxquelles je pensais quand je me masturbais, en l'occurrence a un mec sur qui je fantasmais.
Ca m'a permis de m'isoler psychologiquement, a me couper de la réalité "fraternelle», et a me laisser aller a mon plaisir. J’ai senti ma jouissance arriver, et je ne l'ai pas retenue. Quand j'ai ouvert les yeux, j'ai vu le visage de mon frère, tout sourire, visiblement fier. Moi, sur le coup je n'ai pas pu m'empêcher de culpabiliser. Mais mon sentiment de culpabilité ne devait pas être si grand que ca puisqu'on a remis ca a peu prés tous les jours jusqu'a la fin de notre séjour chez nos grands parents, fin juillet...

 Pendant cette grosse semaine de séjour qui nous restait chez nos grands parents, on a essayé un peu prés tout fait en matière de masturbation, chacun à notre tour ou mutuellement, assis, allongés ou debout, habillés, en sous-vêtements ou nus.... Mais bon a la fin de notre séjour, on avait un peu fait le tour de la question et je commençais a en avoir marre, donc ce n’était pas trop mal que cela s'arrête.

Le photographe Suite ....

Nous avons établi une tendre connivence, qui a duré des années.




Lui me tutoyait, moi, je n’ai jamais cessé de le vouvoyer. Robert, avec ses quarante ans, aurait largement pu être mon père. Ça ne me gênait pas, malgré mes seize ans. Au contraire. Ça avait un petit goût d’interdit, incestueux, délicieux. Mais ce n’était pas pour ça que je ne voulais pas qu’il me baise. C’était parce qu’il était différent de tous ceux que j’avais connus, parce que je ne voulais pas que notre relation très tendre s’abime. Longtemps il a essayé de me convaincre d’accepter. J’ai toujours résisté.
J’ai dû finir par lui avouer que j’étais une traînée, que tout le quartier me passait dessus, que je n’étais qu’un vide couilles pour tous ces gars-là, et que je ne méritais pas les sentiments qu’il semblait me porter, qu’il ne fallait pas qu’il se trompe sur mon compte. Il avait du mal à accepter d’être le seul à ne pas y avoir droit. C’est parce que je l’aimais beaucoup, moi aussi, et que c’était la meilleure façon que j’avais de lui prouver. Chaque fois que je suis allée le voir, tous les dimanches pendant des années, ça a toujours été le même rituel. Je me mets nue, lui doit toujours rester habillé, toujours dans ses vêtements noirs.
Je ne l’ai jamais vu nu, c’est mieux comme ça. J’ai toujours craint d’être déçue. Il me couche sur le lit, prend possession de mon corps, joue avec mes seins, me fouille profondément la chatte, mettait des doigts dans mon cul. Il sait s’y prendre, pincer mon clitoris, il me fait jouir à chaque fois. C’est bien le seul. Il le sait, je lui ai dit souvent. C’est sa fierté et sa consolation. Et bien sûr je le suce longuement. Ça peut durer une bonne heure parfois. Parfois, il s’allonge sur le lit avec moi et me baise la bouche tout doucement, par petits coups. J’aime sentir sa grosse queue un peu molle me remplir la bouche, la sentir palpiter. J’aime quand il se répand à gros bouillons dans ma bouche et sur ma figure. Et j’aime quand il m’embrasse aussitôt après, partageant avec moi sa semence. Et puis après, après seulement, il trouve le temps et l’envie de faire de moi quelques photos. Il ne veut pas que je me lave. Il aime me prendre comme ça, barbouillée de sperme, l’entrecuisse luisante de ma jouissance. C’est notre plaisir à tous les deux.

Souvent, je lui ai demandé si il sautait les autres filles qui lui servent de modèle. Quelquefois, oui, bien sûr. Je n’étais pas jalouse, sauf de leur beauté. Lui m’a toujours rassurée. Il dit que je suis une des filles les plus excitantes qu’il ait connues, et qu’il aimerait me baiser enfin un jour. Jamais ! Il le savait. En contrepartie, il voulait absolument tout savoir sur mes frasques. Gênée au début, j’ai fini par prendre un plaisir pervers à lui décrire par le menu toutes mes baises de la semaine, les garçons qui défilaient, un par un ou à plusieurs pour se faire sucer, m’enfiler dans la chatte ou m’enculer.
Ça l’a toujours rendu fou. Alors je reprenais sa queue pour la sucer… Notre longue liaison ne s’est presque jamais interrompue. En seulement trois occasions, nous avons cessé de nous voir pendant quelques mois. Une première fois quand il m’annonça qu’il allait faire vivre chez lui une des filles qui posaient devant son appareil. Elle au moins avait accepté de se laissait baiser. J’en ai ressenti de la jalousie. Je la connaissais pour l’avoir vue sur photos.
Une grande blonde presque rousse, vingt-quatre ans, plantureuse, avec de gros seins. Plutôt belle même si j’avais du mal à l’admettre. J’ai bien dû convenir que je devais céder la place, le cœur gros. Mais je lui ai dit que malgré tout je voulais bien venir le voir de temps en temps, quand elle ne serait pas là. On a fait comme ça. Lui me tenait au courant de l’évolution de sa relation avec la fille. Au fil des mois elle s’effilochait. Elle n’était pas si un bon coup que ça… Elle le suçait, mais avec beaucoup moins de talent que moi. Elle refusait obstinément qu’il lui jouisse dans la bouche. Elle était agréable à baiser à ses dires, mais refusait tout obstinément de se laisser sodomiser. L’aventure s’est bientôt terminée, Robert l’a renvoyée dans ses foyers et j’ai repris auprès de lui ma place de favorite. Il en a sauté bien d’autres depuis, mais ça ne me dérange pas.
 Je sais que c’est moi qu’il préfère !!!

Un jour qu’il était assis sur le divan à côté de moi allongée, cuisses largement écartées, il me doigtait profondément comme il en avait l’habitude. Les yeux fermés, je goûtais la caresse savante. Soudain, il changea brusquement de position et se coucha sur moi. Surprise, je n’ai pas eu le temps d’éviter ce que je redoutais. Il était entré en moi d’un seul coup, profondément. Furieuse, j’ai essayé de me dégager, en vain. Il pesait de tout son poids sur moi. Impuissante, je l’ai laissé me besogner. Il a essayé de m’embrasser. J’ai tourné la tête, d’un côté puis de l’autre. Il n’a pas insisté. Il n’a même pas joui. Il a débandé, est sorti de mon vagin et s’est relevé. Robert était désolé. Je suis restée prostrée sur le divan, puis je me suis relevée, je n’ai pas eu un regard. – Excuses moi, Nathalie, j’ai perdu la tête. – Vous n’auriez jamais dû, Robert. Je suis terriblement déçue. Vous ne me reverrez plus. Je suis partie sur le champ, bien décidée à ne plus jamais le revoir. J’ai tenu parole pendant six mois, puis j’ai craqué. Je suis retournée le voir. Il n’attendait que ça. Il était malheureux. Je lui ai fait promettre de ne plus jamais recommencer. Il a reconnu qu’effectivement ça ne valait pas le coup de détruire notre belle relation. Je me suis mise à ses genoux, j’ai ouvert son pantalon, j’ai revu avec plaisir sa bite sombre et épaisse, et je l’ai de nouveau sucé amoureusement.

Les années ont passé. Aujourd’hui, j’ai mûri, il a vieilli. Il est toujours resté mon fidèle ami/amant. Depuis presque dix ans, je le suce longuement, profondément, tendrement, consciencieusement. Il prend toujours autant de plaisir de ma bouche, et je me repais de son foutre épais et onctueux. Après les rudes épreuves que j’avais vécues, j’éprouvais le besoin d’un peu de douceur. J’étais loin de détester leur rudesse, mais pour l’heure j’avais eu largement mon compte. C’est ainsi que je repris le chemin de l’atelier de Robert, mon vieil ami le photographe que, je l’avoue, j’avais pas mal négligé ces derniers temps. Il fut surpris de me revoir. Ravi aussi. Il me fit entrer, et aussitôt me fit des reproches en se plantant devant moi, plaquée contre les murs.
 Il grondait sourdement. Je l’avais laissé tombé comme une vieille chaussette, sans même lui faire un signe. Et où j’étais encore allé traîner ? Avec tous les petits salopards du quartier ? Je préférais aller me faire tirer dans les caves par des lascars qui me méprisaient plutôt de venir voir quelqu’un qui savait me comprendre, m’aimer et me respecter ? Ben oui, murmurais-je, vous savez bien que je suis faite pour ça, que je suis une traînée. Je vous l’ai dit souvent, ce n’est pas une surprise pour vous… Salope ! Le mot avait claqué en même temps que la gifle qui me brûlait la joue. J’en étais stupéfaite. Lui, si doux... Robert était aussi interdit que moi, comme paralysé par ce qu’il venait de faire. Oh excuse-moi ! Ça m’a échappé, je ne voulais pas… Il me prit la tête à deux mains, caressa doucement ma joue brûlante. Excuse- moi Nathalie. C’est que je t’aime, moi, et je n’aime pas imaginer ce que tu as fait pendant tout ce temps. Il m’embrassa doucement. Je me laissai embrasser en m’appuyant mollement contre le mur. Je me laissai envahir par sa tendresse, et c’était délicieux. Je ne lui en voulais déjà plus de son geste. Je dirais même que je l’avais aimé et apprécié. Toujours alanguie, je le laissai caresser mes seins à travers ma robe, puis la relever, me l’ôter doucement. Je me retrouvai bientôt nue devant lui, offerte à ses caresses inquisitrices. Sa main s’était glissée entre mes cuisses, qui se sont écartées presque naturellement, sans que je le veuille vraiment. Je me suis laissé fouiller. J’étais déjà humide…

 Robert m’entraîna sur le lit, se coucha contre moi, repris ses caresses lentes sur tout mon corps, sa fouille de mon sexe détrempé de ses doigts avides. Alors, je portai ma main sur son pantalon. Je sentais sa bite bander à travers l’étoffe. Je baissai la fermeture éclair, et je retrouvai avec plaisir entre les doigts l’épaisseur, la lourdeur que j’avais un peu oubliée ces derniers temps. Je me penchai pour le prendre en bouche, le sucer doucement, lentement, tendrement. Je sentais son gland gonfler, son membre durcir encore, envahir ma bouche. Robert s’empara de ma nuque d’une main ferme et commença des mouvements de va et vient, lents, longs, profonds. Il m’a baisé la bouche comme ça, longtemps, très longtemps. Enfin, j’ai ressenti les spasmes de plus en plus nerveux qui annonçaient la montée de sa jouissance. Je n’ai pas cherché à me dégager.
D’ailleurs, sa main fermement agrippée sur ma nuque ne me laissait guère le choix. Il jouit enfin, à gros bouillons. J’ai tout avalé, consciencieusement, à petites gorgées, le liquide chaud et épais. Il est encore resté de longues minutes dans ma bouche, le temps que je le sente ramollir, puis se retirer enfin. Robert me bascula en arrière pour m’offrir un regard reconnaissant. Il me dit : Enfin je te retrouve, ma petite salope préférée… Il m’embrassa à pleine bouche pour partager ce qui restait de sa liqueur…

jeudi 15 mars 2012

Le photographe....

Je l’ai rencontré un dimanche après midi, c’était l’hiver, il y a bien longtemps
J’avais seize ans, je me promenais, solitaire, dans un parc. Je remarquai un homme qui photographiait des pigeons. Je me suis assise sur un banc pour l’observer tranquillement. Au bout d’un moment, il m’a remarquée et est venu me parler. Conversation banale. - Je suis photographe amateur. Que du noir et blanc. Vous aimez ? Je n’en savais rien. Je ne m’étais jamais posé la question. Il poursuivit : - J’aime photographier beaucoup de choses, des atmosphères, des gens… Je fais du nu artistique aussi. J’ai tout de suite compris où il voulait en venir. Je le regardai du coin de l’œil. Grand, une quarantaine bien sonnée, des cheveux grisonnants, tout habillé de noir, plutôt bel homme. Il me paraissait gentil et sympathique. Discret et pas trop lourd, ça me changeait des gars du quartier. Bien sûr, il m’a proposé de poser pour lui. En tout bien tout honneur évidemment…
J’ai eu beau lui dire que je ne me trouvais pas jolie, que je n’y connaissais rien, que je n’avais jamais fait ça. Il a insisté en me disant que j’apprendrais vite. Et que lui me trouvait très jolie, un visage et un physique intéressants. Je me suis laissée persuader facilement. Au fond, je n’avais pas vraiment de raison à lui opposer. Surtout pas une pudeur déplacée. Et puisqu’il me trouvait jolie… Et j’aimais bien l’idée. Je l’ai suivie chez lui. Il habitait un pavillon à l’ancienne, en pierres meulières. Il m’a fait entrer dans une grande pièce un peu sombre, juste éclairée par une fenêtre surplombant un lit. Il me dit qu’il aimait travailler en lumière naturelle, en clair-obscur. Je ne comprenais pas bien ce que ça voulait dire. Qu’importe. Il a préparé son appareil, mis en place un panneau réfléchissant, et montré aussi les photos de nus qu’il avait déjà faites. J’ai trouvé ça très beau. Il y avait beaucoup de modèles différents, souvent des filles très belles. Il m’a dit de me déshabiller. J’ai enlevé ma blouse. J’étais intimidée.
J’ai toujours aimé devoir me mettre nue devant des hommes. Surtout habillés. Je ne crois pas être exhibitionniste, mais ça m’a toujours profondément troublée d’être sous le regard des hommes, convoitées. Là, c’était pire parce que cet homme mûr, photographe qui en avait vu bien d’autres et de bien plus belles, m’examinait sans complaisance, jugeait mon corps d’un œil critique. Angoissée, j’attendais son verdict. Je m’attendais à ce qu’il me renvoie d’un ton désabusé.

Mais il a eu l’air intéressé. Il m’a dit – côté lingerie, ça laisse à désirer, mais on arrangera ça. Le reste, ça va : joli petit corps, mignons petits seins, ajouta t’il en les flattant d’une main négligente. Enlève ta culotte maintenant. Très bien… Il m’a fait prendre des poses, plutôt soft d’abord. Sa voix était douce, ses gestes délicats quand il rectifiait ma position, prenait ma taille pour me faire tourner. Ça me changeait terriblement de la rudesse des garçons avec qui je traînais. Puis comme il a vu que je me prêtais au jeu docilement, il a essayé de me faire prendre des poses plus osées. A genoux, fesses levées. J’ai obéi sans rien dire. Encouragé par mon silence et ma maniabilité, il m’a demandé d’écarter les cuisses plus largement. Je n’ai pas protesté. Ses doigts se sont posés sur ma fente, ont commencé à écarter mes grandes lèvres, sous le prétexte qu’on verrait mieux mon sexe en détail.
Je me suis laissée faire. Ses doigts se sont fait plus insistants, pénétrant plus profondément ma chatte déjà mouillée, pinçant mon clitoris, allant et venant de plus en plus énergiquement dans mon vagin, et même dans mon anus palpitant. Je me sentais toute rouge dans mon oreiller… Il m’a dit que ce serait très beau sur la photo, ce sexe ouvert et ruisselant d’excitation. Mais je n’entendais plus le ronronnement de l’appareil. J’ai juste entendu un bruit de zip. J’ai deviné qu’il ouvrait sa braguette. Alors, d’un seul coup je me suis dégagée de sa prise. Je me suis relevée devant lui, à genoux sur le lit. Les joues en feu, je lui ai dit non.
Je ne voulais pas qu’il me prenne. Qu’il pourrait me faire tout ce qu’il voulait, mais pas me prendre. J’ai pris sa main maculée de ma cyprine et je l’ai portée à ma bouche. J’ai sucé tous ses doigts, consciencieusement. Lui aussi était congestionné. Il a protesté : - mais pourquoi ? Pourquoi ? Je ne le savais pas moi-même. Moi qui d’habitude ne fais jamais de manière pour me laisser baiser par tout le monde et n’importe qui, j’avais envie d’autre chose avec lui. Sa douceur, sa délicatesse était à mille lieues de ce que je connaissais. J’avais pris l’habitude d’être baisée rudement, brutalement même. J’avais le sentiment qu’avec lui, ce serait plus doux sans doute, mais peut-être plus frustrant. En un éclair, j’avais décidé qu’il pourrait disposer de moi comme il voudrait, mais qu’il ne me baiserait pas. J’avais envie d’établir avec lui une relation particulière, un peu tendre, un peu distante. Le sucer, d’accord. Oh oui. Je le ferais avec cœur.
J’avais juste envie de sentir sa queue palpiter dans ma bouche, mais pas ailleurs…

J’ai fini d’ouvrir son pantalon. J’en ai sorti une bite longue, brune, épaisse, posée sur de grosses et belles couilles. Il ne bandait pas. Je l’ai prise dans mes mains. J’ai commencé à la masturber doucement, en le regardant dans les yeux. Il s’est laissé faire sans rien dire. Puis je l’ai introduite dans ma bouche, je l’ai sucé lentement. D’habitude, je préfère offrir passivement ma bouche aux assauts. Là, pour une fois, c’est moi qui faisais tout, qui lui léchais le gland avec ma langue, qui essayais d’engloutir au maximum sa longue bite. Lui s’est contenté de poser une main légère sur ma tête.
 Je l’ai sucé très longtemps. Lentement. Je prenais tout mon temps. J’y mettais tout mon cœur, tout mon savoir faire. Enfin, j’ai senti monter son plaisir, les soubresauts annonciateurs de sa jouissance. Il a joui en haletant sourdement une grande quantité de sperme qui m’a rempli la bouche. J’en ai avalé une partie et j’ai laissé le reste couler de mes lèvres. Le menton maculé de son sperme que je sentais couler dans mon cou, j’ai continué à le sucer un long moment, jusqu’à ce que sa bite ramollisse complètement. Elle est sortie toute seule de ma bouche. J’ai continué à la masser doucement, les mains pleines de son sperme. Je l’ai essuyée sur mon visage en cherchant ses yeux. Son regard était troublé et reconnaissant. Il m’a pris par le menton, s’est penché sur moi et m’a embrassée à pleine bouche, langue contre langue, partageant avec moi son liquide visqueux et odorant.
 Il s’est couché près de moi et m’a longuement caressée tout le corps, replongé ses doigts dans mon sexe, moi totalement nue, lui toujours habillé. Il m’a remerciée tendrement, ce qui ne m’était encore jamais arrivé, m’a dit qu’il voulait que l’on continue à se voir, qu’il me voulait entièrement. Je lui ai redit qu’il pourrait faire de moi ce qu’il voudrait, mais que je ne voulais pas qu’il me baise, que c’était ma condition pour que je revienne régulièrement. Il a eu bien du mal à l’accepter, mais il a fini par se ranger à mes étranges exigences.

Mes errances : Le trottoir 2

 L’épisode m’avait troublée plus que je ne pensais.

J’avoue que m’être laissée embarquer par un inconnu dans sa voiture comme une pute ramassée au bord du trottoir pour une poignée de monnaie, devoir me pencher sur son sexe pour le satisfaire entre deux voitures, au risque d’être découverts, m’avait provoqué une montée d’adrénaline.
Surtout que le type n’était pas vraiment attirant. Ça m’avait rappelé le temps où j’allais sucer des hommes qui auraient pu être mon père, chez eux, entre deux portes, pour mon argent de poche. Que le type m’ait pris pour une putain était assez humiliant. Mais à bien y réfléchir, j’avais déjà été pendant longtemps le vide couilles de tout le monde dans mon ancien quartier.
C’était finalement assez normal. Je n’ai jamais eu beaucoup d’amour propre, et j’ai toujours accepté de me faire sauter par tout le monde. Et le fait d’avoir vécu pendant quelques temps une vie de couple presque » conventionnelle » n’y changeait rien. Finalement, c’est vrai que je suis un peu une putain. J’avais accepté en quelques secondes que ce type me considère comme telle… Je suis restée plusieurs semaines à repenser à cet épisode.

J’avais envie d’y retourner, sans oser le faire. Et puis je me suis décidée. Un vendredi soir en sortant des cours, je suis retournée sur le boulevard. Ça n’a pas traîné. Une voiture s’est arrêtée près de moi. Je suis montée. A peine un quart d’heure plus tard, je me suis retrouvée sur le trottoir, la bouche pâteuse. Je n’ai guère eu le temps d’attendre qu’un autre type m’abordait pour me demander une pipe. En moins d’une heure, trois hommes m’avaient successivement joui dans la bouche. Un autre encore s’est arrêté auprès de moi. Lui voulait me baiser. Je n’ai pas osé. Et il ne me plaisait pas. Il était gros et moche. Je lui ai demandé 100 euros, il a trouvé que c’était trop cher, il n’a pas insisté. J’ai trouvé que ça suffisait pour ce soir-là.

 Et puis je n’avais pas envie d’être embarquée par la police. Je me suis dépêchée de rentrer chez moi. Les filles qui faisaient le trottoir en professionnelles ne me voyaient pas d’un bon œil. Je leur donnais l’impression de leur faire concurrence. Leur bout de trottoir leur appartenait, et la plupart m’en chassaient en m’injuriant. Je m’en foutais. Je n’avais pas l’intention de m’incruster, au risque de me faire attraper par les flics ou pire encore par les types louches qui traînaient dans le coin en voiture. J’avais vite compris que c’étaient les macs de ces dames, et je n’avais pas envie d’entrer dans leur écurie et de travailler pour eux. Je m’arrangeais pour rester le moins longtemps possible dans un endroit, et je n’y revenais pas avant longtemps.

C’était un jeu pour moi et je ne voulais pas que ça dégénère…

Mes errances : Le trottoir 1

J’ai connu une période d’abstinence plutôt reposante, Amandine me suffisait, une autre façon de vivre une relation, plus respectueuse, plus tendre. .. Les chaudes soirées en boîte ou en cave au cours desquelles j’étais prise d’assaut par la meute en rut ne me manquaient pas.
De ça, j’avais eu largement mon compte, et j’appréciais de rester seule à la maison, vautrée devant la télé.

Puis un soir de printemps, alors que je marchais sur le boulevard en rentrant des cours, une voiture s’est arrêtée près de moi. La vitre s’est abaissée et un type s’est penché pour me héler. Je croyais qu’il allait me demander un renseignement pour trouver sa route. Je me préparais déjà à lui dire que je connaissais mal le quartier. Mais j’ai entendu un « combien pour une pipe ? ». Je croyais avoir mal compris. Mais le type a insisté : « combien tu prends ? Tu suces sans capote, j’espère ? ». J’ai jeté un œil rapide dans la voiture : un homme d’une quarantaine d’années, moustachu, l’air pas commode. J’étais déstabilisée, je ne savais que répondre. Je venais de comprendre qu’il me prenait pour une prostituée. J’ai voulu lui dire qu’il y avait erreur, que je n’étais pas ce qu’il croyait. Mais, j’en ai été surprise moi-même, j’ai bafouillé un chiffre inaudible. « combien ? Je n’ai pas entendu. » Je me sentais rouge de confusion. J’ai répété « vingt euros ». « ok, monte ! » Il a démarré la voiture aussitôt, cherchant un coin tranquille où s’arrêter. J’étais silencieuse et comme paralysée. Je n’en menais pas large.

Je me demandais ce qui m’avait pris, pourquoi j’avais accepté ça. Lui jetait de temps en temps un regard sur moi comme pour m’évaluer, me jauger. Enfin il a arrêté la voiture dans une petite rue qui donnait sur un parc. Il faisait sombre, l’endroit était désert, on était garé entre deux voitures qui nous protégeaient. Sans un mot, il a sorti un billet que j’ai enfoui dans une poche de mon manteau. Sans perdre de temps, il a ouvert sa braguette. Il m’a pris par le cou, m’a rapidement peloté les seins et les cuisses, puis il m’a forcée à se pencher sur son sexe.

Je me suis exécutée sans enthousiasme. Sa bite était molle, ce n’était pas très agréable. Puis elle a commencé à durcir, tandis qu’il me flattait la croupe. Ça n’a pas duré longtemps. Il a joui rapidement, me remplissant la bouche d’un goût amer. J’ai tout recraché. Il s’est rapidement essuyé avec un kleenex, a ouvert ma porte sans un mot, me faisant comprendre que je devais descendre. Il a démarré sans tarder, je me suis retrouvée sur le trottoir, la bouche pâteuse, troublée par ce qui venait d’arriver...

Je suis retournée quelques fois faire le trottoir en fin de journée. Pas vraiment pour l’argent, non. Je n’avais pas l’intention de devenir prostituée professionnelle. Ce qui m’attirait, c’était ce côté sombre, un peu glauque, qui me rappelait mes descentes à la cave. J’aimais me sentir confrontée à ces inconnus qui m’abordaient directement, sans discours inutile, qui m’achetaient mes services pour se servir de moi. Les types trop timides, trop moches, qui ne semblaient pas très bien savoir ce qu’ils voulaient, je me débrouillais pour les dissuader en leur proposant un tarif trop élevé. Ils repartaient comme ils étaient venus, à la recherche d’une autre fille plus abordable. Aux autres, je proposais un tarif dérisoire. L’argent qu’ils me donnaient leur donnait l’impression qu’ils pouvaient tout exiger, puisqu’ils payaient. Que mes tarifs soient en dessous de ce qui se pratiquait habituellement leur donnaient le sentiment que j’étais une débutante docile dont ils pourraient se servir comme ils voulaient. Ils ne s’en privaient pas. C’est vrai qu’avec un peu d’argent ils se croyaient tout permis. Ils auraient eu tort de se gêner. Il n’était pas rare que pour le prix d’une simple pipe, ils enfilent leurs doigts brutalement dans ma chatte ou dans mon cul avant de décharger leur sperme dans ma bouche.

J’avoue que ça m’excitait assez d’être ainsi traitée uniquement comme objet sexuel.

Les transports en commun.

Une matinée de grève, j'ai pris le Tram vers 9h00, le wagon était plein comme une boîte à sardine; je me suis glissée dans le wagon et me suis retrouvée derrière un homme de 30 ans environ nos regards se sont croisés un bref instant ne laissant aucunement présager ce qui allait se produire...

 le Tram ne démarre toujours pas, voilà plus de 10 minutes que nous sommes tous coincés à l'intérieur la chaleur monte, ma robe colle à mes cuisses humides et chaudes.
Tout à coup je sens une main sur mes fesses moulées, j'esquisse un petit sourire évitant de me retourner (j'ai toujours trouvé le fait de ne pas mettre 1 visage sur la personne qui vous procure du désir assez excitant) , la main de l'inconnu caresses mes fesses puis s'attarde fermement, je respire de façon haletante, l'inconnu continue l'exploration en tâtant mes 2 fesses de ses mains puis une de ses mains glisse entre mes cuisses, son doigt se dresse appuie sur mon vagin...je me cambre brusquement et ondule des fesses , je prends feu. l'inconnu vient se coller à moi je sens son sexe durcir et se dresser au contact de mes fesses humides , il plante son sexe plus fort contre moi je me retiens à la barre de fer au milieu du wagon et me cambre de plus en plus excitée.
Le Tram démarre brusquement l'inconnu descend à la première station: on se regarde certains de conserver pour toujours ces quelques minutes d’éternité.

En rentrant, il y avait des traces blanches sur ma robe, il avait éjaculé sur moi !

Comment je suis physiquement ?

Vous le savez déjà un peu par mes photos.
Châtain clair, les yeux marrons aux reflets vert, 1,65 m pour 52 kilos aujourd’hui, j’ai quelques tâches de rousseurs sur le visage.
 J’ai toujours pensé que je n’étais pas la plus belle, loin de là. J’aurais voulu être plus ceci, moins cela. Il a bien fallu faire avec. C’est sans doute pourquoi j’ai toujours été avide d’être désirée, convoitée, et que je n’ai presque jamais refusé une avance.
Mais je n’ai jamais rien fait pour jouer les bimbos. J’ai toujours détesté le maquillage trop voyant. Je mets juste un trait d’eyeliner noir autour des yeux, très rarement du rouge à lèvres. Je crois que ça les excite, et plus encore quand ils font venir les larmes quand ils me baisent profondément la bouche et que le noir coule sur mon visage… J’ai longtemps attendu de voir mes seins pousser. Ils sont longtemps restés désespérément petits, quand je voyais ceux des copines grossir à vue d’œil. J’en étais jalouse. Et puis j’ai atteint un petit 90 B dont j’ai dû me satisfaire. Je les aimes finalement bien, mes petits seins. Et puis je me dis que celles dont j’étais jalouse à l’époque, leurs gros nichons commencent à leur tomber sur les genoux…
 J’ai une silhouette dans laquelle je me sens bien. Gamine, j’avais un tout petit cul. Depuis, j’ai pris un peu de fesses, et ce n’est pas plus mal. Je crois que les hommes aiment bien les agripper fermement, les claquer rudement. Je dois attirer ça. Mon pubis, je l’ai longtemps laissé nature, puis je l’ai taillé (le maillot comme on dit), puis rasé et épilé selon la mode actuelle. Ça m’a fait drôle de sentir comme un vent froid couler entre mes cuisses, sur mon sexe dénudé.
J’ai toujours eu du mal à m’y habituer. Les hommes adorent ça paraît-il. Mais je m’en fous. Ils me prennent comme je suis. Je leur consens déjà beaucoup. Je me suis de nouveau laissé repousser un petit tapis de poils. Voilà, je m’aime bien comme ça.

C’est le principal, non ?

Le phantasme du routier.

J’ai été surprise, à surfer sur le net, de voir beaucoup de femmes nourrir le fantasme du routier. Et très peu, en fait, oser le réaliser. Moi, oui. Je m’étais mis ça dans la tête. J’avais cru l’inventer de toutes pièces, sans imaginer que ce fantasme fait partie de l’imaginaire érotique d’autres femmes, plus nombreuses qu’on ne pense.

 Ce fantasme, je l’avais retourné dans ma tête pendant de nombreuses semaines, sans trop savoir comment le réaliser, sans trop oser non plus le tenter.
Et puis un jour je me suis décidée. J’avais vu quelques temps auparavant des auto-stoppeurs prendre position au bord de la route, avec un carton à la main, sur lequel était écrit en gros la destination qu’ils souhaitaient atteindre. Ça m’avait donné l’idée…

Et un jour, j’ai osé faire comme eux, avec mon carton. Ça n’a pas traîné. Je n’ai presque pas attendu. Un petit camion s’est arrêté et m’a embarqué. J’étais tendu, très excitée. Le gentil chauffeur, un jeune homme d’une trentaine d’années, s’est engagé sur le périphérique, a commencé par me faire la conversation, puis s’est engagé sur l’autoroute du sud.

Mais j’ai été plutôt déçue… Le gentil chauffeur est resté très gentil tout au long du trajet, sans émettre la moindre intention de profiter de la fille qu’il avait embarquée, et il m’a déposée sans encombre à la sortie correspondant à la destination que je m’étais choisie.
J’étais déconfite, ne sachant guère que faire. Il se faisait tard, il ne m’était rien arrivé, je n’avais plus qu’une envie : celle de rentrer chez moi. Je me suis postée de l’autre côté de l’autoroute et en début de soirée, je me suis mise au lit… seule…

Vengeance…..

Sucer à la sauvette l’homme au gros ventre, accroupie contre sa porte d’entrée, pour assurer mon argent de poche, et quelques autres à qui il avait passé le mot.
 Ça me dispensait de chercher du boulot et ça me laissait beaucoup de liberté, n’étant pas très assidue au cours.

 Alerté par ma réputation dans le quartier, un vieux type m’a abordée. Lui aussi voulait « louer » mes services. Je n’étais pas très chaude. Il était déjà assez âgé, sûrement plus de soixante ans, si ce n’est plus. Vieux, sec et ridé, il ne me plaisait guère et je n’avais pas très envie de me laisser sauter par celui-là. Je l’écoutais d’une oreille polie, prête à décliner ses avances. Mais il m’a précisé ses intentions. Il ne chercherait pas à me baiser, tout simplement parce qu’il ne pouvait plus. Il voulait juste contempler et toucher le corps frais d’une jeune femme. Sa seule exigence était qu’il voulait me lécher le sexe, c’est tout le plaisir qu’il lui restait. Rien d’autre… Sa proposition pécuniaire a fini de me laisser convaincre

 Je suis allée régulièrement chez lui. Je n’avais pas envie de lui laisser prendre d’initiatives. Pour une fois, c’était moi qui menait le jeu. C’était ma condition. Quelquefois je me mettais nue, quelques fois non, pour le faire rager. Il était bien obligé d’en passer par mes caprices, ou bien je partais. Je le faisais s’allonger, puis j’allais m’asseoir sur sa figure. Je posais mon sexe sur son visage et je laissais sa langue fouiller ma chatte avec vigueur, y pénétrer le plus loin possible. Quand je devenais humide, je me frottais de tout mon poids sur sa figure, sur son nez, sa bouche, pour le barbouiller de mes sécrétions. Il adorait ça.

Un jour, il a eu un mot malheureux. Il m’a confié qu’il n’aimait pas les arabes qui infestaient dans le quartier, que c’était de la racaille. Je ne lui ai pas dit que je traînais avec eux dans les caves de la cité.
Soudain, j’ai eu une idée pour le punir. La fois suivante, juste avant d’aller chez lui, je me suis laissée prendre dans la cave. Dès qu’il s’est vidé dans mon vagin, je l’ai quitté pour monter voir le vieux. Je lui ai dit de se coucher et de m’attendre sans essayer de me toucher. Je ne portais pas de culotte. Je me suis mise à califourchon sur lui, lui ai enfoui la tête sous ma robe, et je me suis frottée sur sa figure en m’appuyant fortement. J’étais déjà humide du sperme..
Le vieux m’a léchée, sucée, aspirée avec encore plus d’ardeur que d’habitude. Il s’est véritablement régalé, le vieux salaud, avec ce qu’il croyait être des sécrétions plus abondantes que d’habitude. Quand je me suis dégagée, il était tout rouge, d’étouffement et de plaisir, sa figure et sa bouche étaient entièrement barbouillée de foutre. Il s’en pourléchait les babines. Ravi, il m’a demandé de revenir encore plus souvent.

Je n’y ai pas manqué…