jeudi 26 avril 2012

Inattendue !!!!


Mon client était un espagnol d'environ 45 ans, un beau mec, grand, mince, beaucoup de classe.

Mais en fait après le resto, mon client m'a demandé si on pouvait se balader sur les bords de Saône avant de finir dans un bar du Vieux Lyon.

On a beaucoup parlé, sans qu'il ne pose des questions indiscrètes et puis il m'a expliqué qu'il ne voulait pas coucher avec moi, qu'il aimait sa
femme et qu'il ne voulait pas coucher avec une autre, surtout une qui
pouvait être sa fille....
Il m'a commandé un taxi pour retourner à l'appart. Je me suis plutôt sentie mal-à-l'aise...

1500€ pour manger, se balader et boire un verre, ma soirée a été bien rentable..


dimanche 22 avril 2012

ANNE-MARIE


J’ai compris au bout d’un moment qu’il y avait quelqu’un dans sa vie. J’ai tout de suite pensé à un garçon, mais j’étais très loin d’imaginer ce que j’ai découvert l'autre soir  Je suis rentrée plus tôt que prévu et je n’ai trouvé personne dans l’appartement. Pensant qu’elle était sortie avec son copain, je me suis fait couler un bon bain chaud et je me suis détendue en écoutant de la musique. J’ai fermé les yeux et je me suis assoupie. Lorsque je les ai ouverts, j’ai vu ma colocataire nue face à moi, qui était en d’enjamber le rebord de la baignoire pour me rejoindre dans le bain !
C'est une baignoire d’angle dans laquelle il y a de la place, mais j’étais tout de même gênée. Elle était naturelle et détendue et cela ne semblait pas la troubler outre mesure. J'ai découvert son corps entièrement épilé, ses hanches large contrastant avec une taille très fine que surmontait une belle poitrine. J'ai pensé qu'elle devait avoir beaucoup de succès, vu son physique.
Nous avons discuté, elle ma alors expliqué être lesbienne et que Robert lui avait confier ma bisexualité, puis j’ai senti sa main me caresser la jambe. Je lui ai dit sur le ton de la plaisanterie que cela m’excitait, sauf qu’elle était excitée pour de bon.
Elle s’est approchée de moi et a collé ses lèvres contre les miennes. Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête, mais je lui ai rendu son baiser et nos langues se sont mêlées. Sa main a glissé entre mes jambes et a écarté mes lèvres du bas pour se faufiler un passage dans mon vagin. Ses doigts ont fouillé mon entrejambe pendant que nous échangions des baisers baveux. J’étais très excitée et lorsqu’elle a pris ma main pour la mettre contre son sexe, j’avais le cœur qui battait la chamade. J’ai caressé son sexe et j’ai vu ses yeux se plisser. 
 Beaucoup de choses se sont passées dans ma tête, le visage de Valérie notamment me revenait sans cesse. Elle m’a dit de sortir du bain et de la rejoindre dans sa chambre. Elle s'est  allongée sur le lit, jambes écartées et m’a guidée pour que je lui fasse un cunnilingus. Ma langue a fouillé chacun des recoins de sa  et j’ai découvert le gout sucré de la mouille dans ma bouche. Nous nous sommes mis en position du 69 et nos langues et nos doigts ont fouillé nos orifices humides. Elle a glissé ses doigts dans mon vagin tandis que sa bouche aspirait mon clitoris. J’étais trempée et comblée. Ses mouvements se sont accélérés et j’ai fait de même, car je sentais l’ envahir mon bas ventre. Nous avons jouis ensemble et un flot de mouille a inondé les draps de son lit. Elle m’a proposé de dormir avec moi le temps que les draps sèchent. Nous avons dormi l’une contre l’autre et avons passé la nuit à nous câliner.
J’adore la colocation....
Dois-je lui faire part de mes activités ? Cette question me taraude de plus en plus....

Mauvais plan


Hier au soir j'ai retrouvé deux hommes à un resto du centre. Le premier avait dans les 45 ans, l'autre, plus jeunes entre 30 et 35 ans. Ils sont associés dans une boite. Après avoir mangé, les deux hommes ont tenus à aller dans une boite à strip-tease. On y resté une heure et demie, une heure et demi pendant laquelle ils m'ont tripoté. Puis nous sommes allés à l'hôtel, au passage, une commande de bouteille de champagne à la réception.

Dans la chambre, ils m'ont demandé d'enlever ma robe, je l'ai retirée. Ils ont commencé à me caresser debout, tout en buvant le champagne. Le plus jeunes s'est reculé et s'est déshabillé. L'autre a fait pareil, désormais, les 2 hommes étaient nus autour de moi et moi, j'étais en lingerie. Ils ont fini de me déshabiller en me laissant en bas blancs.

Ils m'ont amenés sur le lit et m'ont demandé de les sucer. J'ai alors pris une bite dans chaque main et je les ai branlé pour qu'ils deviennent bien durs. Pas eu besoin de longtemps. Puis alternativement, j'ai léché les deux sexes qui se présentaient devant ma bouche tout en les branlant. Et dans un mouvement crescendo, j'ai commencé à les prendre dans ma bouche, d'abord juste les bouts de leur sexe, puis de plus en plus. Le sexe du plus vieux était plus grosse que celle du jeune qui était plutôt fine mais à 1 cm prêt, les 2 sexes faisaient la même taille, dans les 17/18 cm. Le plus vieux me caressait la tête, le plus jeune les seins. Le vieux a commencé à mettre des coups de reins quand je le suçais, histoire d'aller plus loin. Je l'ai laissé faire.

Le jeune était plus doux, il se laissait faire. Moi je les suçais simplement, pas de trucs trop poussés, juste les va-et-vient dans ma bouche, un peu de jeu avec ma langue. C'est le jeune qui est venu en premier. Les 2 m'avaient averti de vouloir éjaculer sur mon visage, alors il a arrosé mon visage, mon cou et un peu mes cheveux. J'ai ensuite sucé uniquement le plus vieux tandis que le jeune me caressait le sexe, finissant par me glisser un puis deux doigts en moi. Le vieux me tenait la tête à deux mains, imprimant la cadence et la profondeur de la pénétration. Et il se faisait plaisir, grosse cadence et gorge profonde. J'avais les larmes aux yeux, je bavais, j'avais l'impression de faire du porno. Au bout de 3-4 min, il a lui aussi lâcher son sperme sur mon visage. Je sentais que j'étais maculée de leur sperme. Je me suis essuyée le visage. Les deux hommes me caressaient, le jeune toujours entre mes cuisses, le vieux mon ventre et mes seins. Le plus jeune savait y faire, le vieux était plus brutal. Ils discutaient de ce qu'il voulait faire, le vieux voulait me sodomiser, le jeune voulait se faire ma chatte. Ils se demandaient l'ordre de comment ils allaient me prendre.
J'ai proposé qu'ils me prennent en double. Ils ont accepté, très ravis de cette proposition. Le vieux avait du mal à rebander, il m'a demandé de l'aider. Je l'ai branlé un peu pour qu'il reprenne de la vigueur.
Le jeune, pendant ce temps, s'occupait de mon petit trou pour le dilater un peu. Une fois que le vieux bandé à nouveau, je leur ai dit de se préparer. Le jeune se couchait sur le dos, c'est moi qui lui ai mis sa capote. Moi je me suis glissée sur son sexe, fait quelques va-et-vient en l'embrassant. J'ai dit au vieux de mettre du lubrifiant avant de me sodomiser. Il l'a fait puis s'est positionné derrière moi avant de s'enfoncer lentement en moi. Une fois les bites en moi, je leur ai demandé de ne pas bouger quelques instants, officiellement pour « m'habituer » à leur présence. En fait, c'était plus pour profiter de la situation, je ne fais pas beaucoup de double pénétration et pourtant j'aime cette sensation d'être remplie par mes deux trous. Puis après une vingtaine de secondes, ils ont commencé à faire des va-et-vient. Le plus jeune a posé ses mains sur mes reins pour mieux m'attirer vers lui, le vieux lui avait agrippé mes épaules pour me maintenir en place quand il s'enfonçait en moi. Au début, leurs pénétrations étaient sur le même rythme mais un décalage est vite arrivé, le vieux me sodomisant un peu plus rapidement. Autant vous dire que vu la piètre qualité de mes amants du soir, ça n'a pas duré longtemps. C'est le vieux qui est venu en premier dans mes fesses en moins de 10 minutes. Presque frustrant. Le jeune a du mettre 5 min de plus avant d'éjaculer.

Ils ont vidé les capotes sur ma poitrine, après ça, ils ont décidé que la fête était finie et que je pouvais rentrer chez moi. Je n’ai même pas pris une douche, limite je me suis faite virer de la chambre. En fait, j'ai fait kleenex, on m'utilise, on me jette. Du coup, je me suis retrouvée à 1h30, en pleine nuit, dans la rue. Heureusement, j'avais un numéro de taxi que j'ai appelé. Je suis rentrée à 2h15 à la maison, je sentais le sperme, Heureusement Anne-Marie dormait.

jeudi 19 avril 2012

Mercredi 19/04




Je ne voulais pas de rendez-vous cette semaine, mais mon client devant partir plusieurs semaines, il voulait me rencontrer rapidement. Autant en profiter et mettre un peu d'argent de côté. Je suis étonnée de faire autant de rencontre, aussi facilement, je ne pensais pas avoir autant de demande !


J'ai fini de m'installer et avec Anne-Marie finalement ça se passe très bien. J'ai l'impression de revivre à nouveau, on est un peu folle folle, toute les deux !!! J'apprécie sa gentillesse, sa discrétion et de ne pas juger les personnes.
Bon, revenons à mon client...

Il était très gentil au premier aspect. Il m'a payé d'entrée de jeu et m'a offert un collier, chaine en or et une perle. Le genre de cadeau vraiment très très sympa. Et aussi celui qui te fait obliger de donner une prestation super au top.
On est allé manger dans un resto italien chic avant d'aller chez lui.

En rejoignant sa voiture, il m'a demandé dans une rue de lui faire un fantasme, se faire sucer sous une porte cochère. J'ai accepté. On a trouvé une porte cochère. Il s'est adossé à la porte, je me suis accroupie devant lui, je lui ai ouvert son pantalon, j'ai sorti son sexe encore mou de son caleçon et j'ai commencé à le branler. Il est vite devenu dur et quand il a été bien dur et bien tendu, j'ai approché ma bouche et je lui ai léché sa bite. J'ai pris son sexe en main, le gland dans la bouche que j'aspirais entre mes lèvres. Puis j'ai fini par enlever mes mains et j'ai commencé à faire une vraie fellation comme je sais faire, aspiration, léchage... Je jouais avec son sexe et ses couilles. Il me caressait la tête, passait ses mains dans mes cheveux et ne cessait de répéter « mmmh c'est bon, continue! ». Je l'ai sucé pendant une petite dizaine de minute avant que je le sente se raidir. Il m'avertit qu'il allait venir, j'ai répondu en avalant sa queue assez loin, puis je me suis contentée de lui sucer son bout avant qu'il éjacule dans ma bouche plusieurs giclées d'un sperme épais. J'avais la bouche pleine, je l'ai regardé dans les yeux et j'ai avalé. Il m'a gratifié d'un sourire qui en disait long. Il m'a aidé à me relever puis on a repris la route, comme si de rien n'était jusqu'à sa voiture, puis jusqu'à son appart.

Appart sympa à Calluire. Il vit seul, divorcé, 2 fils.
Une fois chez lui, il m'a servi un verre, j'ai pris du jus d’orange. Puis il a voulu prendre une douche avec moi. On est donc allé dans sa salle de bain, on s'est déshabillé puis on est entré dans sa cabine de douche à l'italienne. Il a commencé par me savonner, puis je l'ai savonné. Il est sorti ensuite en me demandant d'y rester puis il est revenu avec une capote. Il s'est placé face à moi et a mis la capote avant de me pénétrer debout dans la douche. Je me suis retrouvée plaquée contre le mur de la douche et mon client me pénétrer lentement tout en me caressant. J'ai levé une jambe pour faciliter sa pénétration. Puis, il est sorti de moi, il m'a demandé de me retourner puis ma pénétrer à nouveau. Je me suis appuyée au mur et j'ai écarté les jambes pour qu'il me prenne mieux. Il me tenait les hanches et le bas-ventre. Ses coups de reins étaient plus puissants et ses cuisses claquaient contre les miennes. De temps en temps, il venait caresser mes seins. L'eau s'écoulait sur le bas de mon dos et venait couler entre nous le long de mes fesses. C'est dans cette position qu'il a éjaculé. Je lui ai enlevé sa capote et frottais son sexe pour le nettoyer tandis que lui me nettoyer le mien. C'est donc tous propres que nous sommes sortis de la douche. Il m'a demandé de rester nue.

La fraicheur de son appart m'a fait frissonner et m'a donné la chair de poule, faisant durcir mes tétons qui pointaient. Voyant ça, il s'est amusé à les toucher, à jouer avec, me les léchant, mordant et suçant. Il bandait à nouveau et m'a demandé s'il pouvait me sodomiser. J'ai oui. Il m'a alors demandé de me retourner et de m'appuyer sur le dossier de son sofa. Puis il a caressé mon anus avec sa langue en plaquant sa bouche entre mes fesses, puis pour me dilaterà glisser ses doigts. Comme mon sac était à coté de moi, j'ai pu lui passer mon lubrifiant dont il a enduit mon petit trou. Puis, il a pris une capote que j'avais sorti, la mise, l'a enduite de lubrifiant puis a commencé sa sodomie. Il est entré dans mes fesses lentement, laissant mon trou s'habituer à sa présence. Par contre, il s'est enfoncé assez profondément tout de suite. Il a commencé de lent va-et-vient et puis d'un coup, il s'est mis à me pilonner brusquement et violemment. Il me tenait par les épaules, m'amenant vers lui à chaque coup de rein, accentuant l'impact de sa pénétration. Je sentais son corps claquait contre le mien, me chauffant la peau de mes cuisses et mes fesses. Sa pénétration n'était absolument pas douce, et même douloureuse pour moi. A un moment, je me suis mise à gémir puis a gueuler à la fois de douleur et à la fois de plaisir, mais d'un plaisir mécanique plus que de désir. Cela a duré un bout de temps, plus de 20 min, peut être 25 même. Je ne pensais vraiment pas que cela serait aussi long aussi bien physiquement pour lui par le coté bestial et dynamique qu'il donnait, aussi bien que sur la longueur de son plaisir à la vue des éjaculations plutôt rapide qu'il avait eu jusque là. J'ai même fini par m'avachir dans le sofa mais il a continué à me pilonner. A un moment, il a carrément pris mes cheveux et les tirait vers lui, me faisant cambrer et me donnant surtout une nouvelle source de douleur. Il a enfin fini par jouir dans mon cul en s'écroulant sur moi. Puis il est resté la bite plantée dans mon cul et a attendu de débander pour la sortir. J'avais du mal à reprendre mes esprits et mon souffle, j'avais mal au crane, les cheveux tirés, et au cul, martyrisé par cette sodomie. Je suis restée là sans trop bouger pendant quelques minutes.


Lui s'était assis sur un fauteuil et restait à me regarder, un sourire satisfait sur les lèvres. Il finit par se lever et se dirigea vers moi. Il me prit dans ses bras et me porta jusqu'à son lit où il me déposa. Je croyais que c'était pour moi, qu'il avait vu qu'il m'avait mise hors sexe. Mais non, il a commencé par me caresser, me masturber, il a pris ma main et l'a posé sur son sexe et me disant branle moi. Je l'ai branlé tandis que lui, continuant de me masturber, a commencé à me lécher, sucer et mordiller mes seins. Puis, lentement, il a glissé sur moi et m'a forcé à écarter mes jambes. Il glissait son sexe sur le mien puis, après avoir mis une capote, il m'a de nouveau prise, d'abord en missionnaire. Mais bien vite, il m'a relevé les jambes pour me baiser. Puis il est sorti de mon vagin pour venir poser son sexe sur ma rondelle et il a poussé pour de nouveau me sodomiser. Mon anus était encore dilaté et il est entré sans difficulté. Et à nouveau, il m'a pilonné sans douceur. Et moi, j'ai crié de nouveau. Puis il m'a retourné pour de nouveau me sodomiser par derrière. Cette fois, il ne me caressait même pas, se contentant de me tenir d'abord au niveau du ventre, puis il a pris mes bras et les a tirés en arrière. J'avais alors le corps en suspension. Cette position me permettait pas de me reposer mais atténuait la force de sa pénétration. Mais il lâcha mes bras et me sodomisa plus fort, peut-être même plus fort encore que la première fois. Cette fois, j'ai pleuré de douleur quand il me tira les cheveux. Puis il s'arrêta d'un coup, il se retira mais il me tirait toujours les cheveux et je sentis un liquide chaud couler sur le bas de mon dos et sur mes fesses. Il avait retiré sa capote et éjaculé sur moi. En criant un « ah c'est bon ». Il me lâcha enfin les cheveux. Je suis restée le cul en l'air, des sanglots me soulevaient la poitrine. Il me caressait les fesses, étalant son sperme sur moi.


Puis, il glissa encore ses doigts dans mon cul. Un, deux puis trois. J'étais trop faible à ce moment pour l'en empêcher. Il me doigta le cul pendant une ou deux minutes avant de venir y glisser un quatrième doigt, puis son pouce. A ce moment, il poussa pour y faire entrer sa main. C'est à ce moment que j'ai dit stop. Alors il a arrêté et il a retiré ses doigts, me disant: « tu ne veux pas que je te fiste le cul, peut être ta chatte alors? » tout en déplaçant ses doigts vers elle. « Non, pas de fist » fut ma seule réponse. C'était  une pratique que j'ai essayé plusieurs fois, mais là je n’avais pas trop confiance pour être suffisamment détendue. Du coup, il a arrêté de me toucher. Il s'est couché à coté de moi, m'a dit « tu es douée. Tu as un cul parfait à prendre, j'ai adoré ta manière de crier quand je t'ai enculé comme une vulgaire pute ». Dans ma tête, seul le mot « connard » me venait à l'esprit, alors j'ai souris et j'ai dit « merci, mais je ne suis pas une vulgaire pute ». Cela le fit rigoler et dire « c'est vrai au prix que je te paie, mademoiselle » en faisant glisser sa main de mes fesses à ma bouche, forçant mes lèvres pour me faire sucer ses doigts. Mais je les ai mordu, un réflexe de vengeance, je pense. Alors, il s'est mis à me chatouiller et j'ai rigolé. Puis il m'a caressé, embrassé mon corps, m'a léché les seins, le ventre et ma chatte. Puis, il m'a dit qu'il avait sommeil. J'ai regardé le réveil, il était 3h48. En effet, il était temps de dormir.


J'ai ouvert les yeux ce matin vers 8h. Mon client m'a servi le petit-déjeuner au lit. Son attitude en dehors du sexe tranchait avec celle de l'homme qui m'a baisée et enculée violemment hier soir. Dr Jekyll et Mr Hyde. J'ai pris mon petit-déjeuner, nue sous les yeux de mon client. Puis j'ai pris ma douche. Lorsque je partais, il m'a retenu par le bras et m'a donné une enveloppe en me disant « je n'ai pas été très gentleman cette nuit, pour me faire pardonner ». J'ai pris l'enveloppe sans rien dire autre chose que « merci ». Il y avait 500€ supplémentaire. Ce matin, j'ai mal au cul, j'avoue, mais j'ai 2000€ en espèce. Ca vaut tous les mal au cul d'une sodomie violente. Et une sale gueule ce matin, heureusement Anne est partie en cours. Maintenant, je vais aller me coucher pour récupérer un peu.

mardi 17 avril 2012

Les hommes


Suite à ma dernière aventure charnelle un homme m'a demandé ce que je pensais des mecs, il m'a demandé comment je décrirai les mecs en général. Je ne m'étais jamais posée la question – oui je sais il était temps quand à 20 ans on passe sa vie à perdre la tête le corps alangui sur le sexe des mâles – donc je me suis mise en tête de répondre à la question. Déjà décrire les mecs en général ça ne va pas être facile justement parce que c'est général et que contrairement à ce qu'on pourrait penser je n'aime pas faire de généralités.

Donc il y a d'un coté les mec sentimentaux ceux qui par la force de leur amour disent qu'ils peuvent tout comprendre, tout accepter de ma vie et de mes dérapages, mais qui après quelques heures de discussions pensent qu'avec leur amour ils pourrons me changer, y'a les mecs mielleux et collants qui pensent que les sentiments sont la seule chose qu'une fille attende et qui donc en font des tonnes, ceux qui me parlent promenades, de poésies, ceux qui jouent les  galants et qui déclament leurs sentiments en rimes, tous ces romantiques chelous et ces « beaux gosse » au grand cœur qui me parlent avant tout de respect de la femme, de sentiments fidèles, les mecs qui dès les premières discussions me disent qu'ils sont pour le mariage, qu'ils veulent des enfants, bref ceux qui pense que le corps d'une fille est pure et chaste dénué de pulsions charnelles et d'envies torrides, ceux qui n'osent pas dire qu'ils se masturbent ou qu'ils font l'amour à leur compagne, leur femme ou leur maîtresse, ces hommes qui pensent que les sentiments existent sans le corps, sans le rapport physique et qui ont le romantisme poisseux, sucrés, écœurant, mièvre, dépassé, dégoulinant, dégoutant, ostentatoire, tous ces genres d'hommes m'écœurent, rapidement ils me fatiguent me saoul, me gonfle, me blase, me lasse …


 Après y'a les sexes sur pieds, les mecs qui sont là simplement pour me se vider les cou***es dans ma bouches - pourquoi les mecs préfères éjaculer dans la bouche plutôt que dans un vagin ? - ceux là souvent gentils histoire de déculpabiliser de me traiter comme une fille kleenex et finalement je les aime bien parce que généralement avec eux les choses sont claires, directes et sans prises de têtes -sauf quand vient le moment de felation et du plaisir bucale où il n'est pas rare qu'ils m'attrapent par les cheveux pour me guider, comme si je pouvais me perdre, sur le sexe lol - j'aime bien on ne fait pas semblant et on se juge pas, ou pas trop en tout cas. Ils me donnent ce que je cherche, la sensation d'être une femme remplie par leur masculinité et moi je leur donne la chance de faire l'amour à une jeune femme sans prise de tête, juste partagé du plaisir sans tabous.

Après t'a tous les autres, ceux qui savent pas ce qu'ils veulent, ceux qui prétendre être des gros durs, des mecs sans cœur qu'avec une queue mais qui ne sont pas capable de s'abandonner avec moi dans un corps à corps charnel sans me dire « je t'aime », et puis y'a les romantiques guimauves qui jouent les mecs tendres mais qui me font la gueule si je ne les laisse pas me sauter après qu'ils m'ai offert un bouquet de fleur, les mecs qui me couvrent de cadeaux espérant en retour pouvoir se glisser en moi par la porte de derrière.


J'allais oublier les pires, le genre d'homme que je trouve les plus énervants : les donneurs de leçons ! Ceux qui me disent qu'ils me comprennent, qui savent ce que je vis, et qui ensuite me font la leçon pour que tu rentre dans "le droit chemin", ceux qui m'écoutent pas et parce que je suis libertine pensent que je souffre, que j'ai des problèmes, ceux qui veulent me faire parler pour jouer les psys à deux balles sans écouter ce je leur dis, ceux qui me balance leurs certitudes parce qu'ils pensent connaître la vie mieux que toi. Tu vois je préfère encore les vieux pervers, les mecs qui ont l'âge d'être mon père et qui me demande de les appeler papa pendant qu'ils me bouffent la chatte - j'en ai connue que deux -  plutôt que de passer la soirée à me faire sermonner par un connard hautain et méprisant.


Et dans tout ce bordel y'a j'espère le mec idéal, enfin y'a des mecs gentils mais sincères, ceux qui m'écoutent sans me juger, y'a les mecs qui savent me baiser avec courtoisie, qui me remercie quand j'avale, ceux qui sont cool, drôle, subtil et attentif, les mecs comme moi un peu paumé mais sincère, ceux avec qui je peux refaire le monde sans me rependre la tête, ceux que je vois avec plaisir, sans me sentir obligé de jouer un rôle, ceux qui comprennent que ce n'est pas parce que je baisse ma culotte que je suis une fille étrange, une bête de foire ou juste une salope mais que je suis juste une fille normale avec ses doutes et ses réponses.


Après à coté de tout cela il y a les filles mais ça c'est une autre histoire.

Merci de votre attention et de votre lecture !



samedi 14 avril 2012

Lundi 16 avril




A 13h, j'ai retrouvé mon Client, Stéphane à son hôtel.
Il m'a demandé de mettre nue. J'avais fait quelques efforts esthétiques, vêtements un peu sexy, dessous très sexy. Ça tombe bien qu'il me demande de me mettre nue. Je n'aurai pas forcément le temps de retourner chez moi, alors si mais vêtements restent propre, c'est bien. Il s'est mis nu lui aussi et attends sur le lit. Je le rejoints. Il m' demandé une fellation. Je l'ai sucé comme à mon habitude, alternant léchage, aspiration, va-et-vient, caresse, branlette. Il bandait dur. Une vingtaine de minutes de pipe et il est venu dans ma bouche, par de petites giclées liquide. A mon avis, il a du lâcher du sperme très récemment. Si ça se trouve, il a tiré son coup avec sa femme ce matin. Ensuite, il m'a demandé de me mettre sur le dos. Il s'est mis sur moi et m'a embrassé le corps, surtout mon ventre et mes seins. 

Puis une fois qu'il a du se sentir prêt, il m'a demandé une capote et je lui ai mise. Il m'a rapidement pénétré sans me préparer, heureusement que je me suis un peu caressée quand je le suçais et quand il me caressait, sinon j'aurai été sèche. Il m'a donc prise en missionnaire, simplement. Au bout d'un moment, je lui ai fait comprendre de changer de position, alors, je suis passée sur lui, face à lui, les cuisses écartées autour de lui. C'est lui qui s'est chargé des coups de reins. Je le regardais, me mordais la lèvre inférieure en gémissant et me caressais les seins. Lui, il me tenait les cuisses et remontait de temps en temps ses mains sur mon corps, venant les mélanger aux miennes sur mes seins. Petit à petit, je me penchais en arrière, ce qui permettait de mieux sentir sa pénétration. Mais il a voulu revenir sur moi et je me suis retrouvé à nouveau sur le dos, mais les jambes pliées vers le haut. Enfin au moment d'éjaculer, il s'est retiré, a enlevé d'un geste sa capote et a éjaculer sur mon ventre par encore des giclées liquide mais là en importance. J'en avais de mes cuisses à mes seins.

Il m'a « inviter » à prendre une douche avec lui. On s'est lavé tout en se caressant. Il s'est assis dans la douche, et m'a fait venir sur sa bouche. je sentais langue fouiller mon intimité, et par moment se glisser entre mes fesses. Ses mains me malaxait les fesses, et les cuisses, j'ai fermé les yeux, son doigts c'est introduit entre mes fesses, pendant qu'il aspirait mon clito et mes lèvres, j'ai saisi sa tête entre mes mains, pour plaquer sa bouche plus fort contre mon sexe, et j'ai joui, j'ai senti un flot de cyprine couler de mon sexe. Lui continuer à me manger la chatte, visiblement excité, mais il ne bandait pas.

Après on s'est habillé puis on est reparti ensemble de l'hôtel avant de se quitter dans le quartier.

Je suis allée directement chez Robert, pour qu’on aille prendre mes affaires. Cet après-midi, j’emménage chez Anne-Marie.Je ne prendrai pas de rendez-vous ces prochains jours, le temps de m’installer.

vendredi 13 avril 2012

Jeudi un toubib


Ce jeudi soir, j'avais un rendez-vous avec un toubib, il se dit apprécier la rudesse et que j'allais dérouiller. J'appréhendais un peu.

Il m'a demandé de louer un uniforme et de venir  en écolière, jupe écossaise, chemise blanche, cravate bleue marine, cardigan bleu marine, chaussettes montantes, chaussures à talon vernie, culotte en coton rose clair et soutif à motif écossais. J'ai loué un costume en rentrant de chez Anne-Marie et me voilà en tenue, je prends mon manteau et mon sac à baise et c'est parti.
Je suis allée chez le doc en taxi, le conducteur s'est bien rincé l'œil.

Une fois chez mon client, il m'a servi un verre puis on a mangé du Thaï qu'il s'est fait livrer. Il a fallu que j'ouvre la porte au livreur qui comme le chauffeur de taxi s'est rincé l'œil. Après manger, il s'est levé, il est venu à côté de moi, lui debout, moi toujours assise. Il a commencé à me caresser sans douceur. Mister Hyde prenait le pas sur le docteur Jekyll. Il a déboutonné son pantalon et a mis sa queue dans ma bouche, en me disant "Suces ! Tu vas l'aimer !".  C'est lui qui a dirigé la fellation, gorge profonde, très profonde. J'ai eu un haut-le-cœur très rapidement. Après ma bouche et ma gorge se sont habituées. Son sexe venait buter à chaque fois dans le fond de ma bouche. Je ne pouvais pas me dégager car il tenait fermement ma tête avec ses mains. Je subissais et c'est tout.
Bon par moment, il sortait de ma bouche pour que je puisse reprendre ma respiration mais ça ne durait pas 30 secondes au max et après il remettait son sexe en place et recommençait. A d'autres moments, il maintenait son sexe au plus profonds en plaquant ma tête contre son corps. Ca me donnait une sensation d'étouffement horrible mais pourtant je me laissais faire. D'ailleurs toute la soirée, je me suis laissée faire. Je me disais qu'il savait ce qu'il faisait, que je n'étais pas en danger,  je le laissais faire car j'aimais ça. Je n'avais pas mal physiquement, je ne sentais aucune douleur. J'aime me faire maltraiter sans aller dans les coups violents, j'aimé me faire totalement dominer, être dans un état d'abandon total à l'autre,
Ce n'est pas la première fois que je ressens ça. Je suis une soumise, voilà ce que je suis. Donc, il a continué sa fellation (bah oui c'est la sienne pour le coup, moi, j'offre juste ma bouche) plusieurs minutes sur le même rythme. Je bavais, beaucoup, ça me coulait même sur le menton. Puis au bout d'un bon moment, il a commencé à ralentir. J'ai senti son sexe prendre un aspect différent dans ma bouche, signe qu'il allait se lâcher. Il a maintenu ma tête de façon à être le plus profond en moi et il a lâché plusieurs giclée de sperme directement dans ma gorge. J'ai eu un nouveau haut-le-cœur, des larmes se sont ajoutées à celles déjà présentes dans mes yeux et coulaient sur mes joues, entrainant avec elles mon rimmel. J'ai senti et avalé 4 grosses giclées, enfin peut être que 3 car la dernière, il l'a lâchée sur ma joue. Puis, il est allé s'asseoir sur le canapé, la bite à l'air. Moi je suis restée sur ma chaise à table.


Il m'a dit de venir le rejoindre. Il m'a dit « ce soir, j'ai pris une pilule bleu pour être ne forme et comme ça fait depuis un moment que j'ai pas baisé, autant de dire que je compte en profiter et avoir pour mon argent ». J'ai répondu simplement « d'accord », de toute façon qu'est ce que je pouvais lui répondre. Je devinais comment il est, brutal, dominateur mais  pas violent. Moi j'accepte ces conditions. Mais en même temps, j'aime ça. Putain de cerveau. Je sais que certains et certaines diront qu'acceptant ça je ne respecte pas définitivement mon corps, en m'offrant à lui. Et pourtant, s'ils savaient tous que mon corps acceptait ça et que même il le réclamait presque. C'est comme ça. En même temps, je m'en fou du jugement des autres.


Il a allumé la chaine hi-fi. Musique dansante. Il m'a demandé de danser. Je me suis levée et j'ai dansé lascivement. Il s'est levé puis a commencé à danser en se frottant contre moi. Il me caressait puis ses mains ont carrément soulevées ma jupe pour me caresser à travers le coton de ma culotte. Il a fini par me pousser vers la table où il m'a couché sur le dos. Il s'est glissé entre mes jambes et a entrepris de caresser mes cuisses en relevant ma jupe sur mon ventre. Puis avec ses pouces, il caressa mon sexe à travers le coton. Puis c'est avec son sexe qu'il caressa le mien toujours à travers le tissu de ma culotte. Par moment, il l'enfonçait en moi en poussant le coton en moi. Puis il a fini par enlever ma culotte sèchement. Il me la jeta au visage. Il faisait tourner son sexe autour du mien, venant le frotter contre le mien.
Au bout d'un moment, il s'accroupit et me lécha le sexe, faisant glisser sa langue entre mes lèvres, venant titiller mon clito. Mais il poussa le vice à le faire durer, ce qui m'excita, je commençais à sentir un petit orgasme arrivait, mais quand je commençais à me tortiller de plaisir, signe avant-coureur de l'orgasme, il s'arrêta net. Le sac étant au pied de la tête, je n'avais pas fait attention qu'il avait enfilé une capote. Et quand il s'est relevé, il m'a pénétré directement, sans rien dire et toujours avec froideur. J'avais posé mes pieds sur le rebord de la table. Il me tenait les jambes pliées tout en me baisant, toujours aussi mécaniquement.




Puis il a déboutonné ma chemise et m'a sorti les seins des corbeilles de mon soutif. Il a quand même pris le temps de me féliciter pour le choix de mon soutif. Il s'est lui même déshabillé. Il me caressait le ventre, les seins. Il commençait à être moins froid. Il m'a embrassé sur la bouche, sur mon visage, dans mon cou et sur mes seins. Il me souleva le bassin de façon à me cambrer et du coup mes fesses ne touchaient plus la table, seules mes épaules me permettaient de garder de la stabilité. Puis il me reposa sur la table pour lever ma jambe droite et d'écarter ma jambe gauche, lui ouvrant complétement ma chatte. Son corps claquait contre le mien. J'étais de nouveau excitée, le désir renaissait en moi. Tellement que j'ai fini par avoir un orgasme et cette fois, il n'a pas réussi à me contrôler. D'ailleurs, il ne s'est pas contrôler lui-même car juste après moi, il a fermé les yeux et j'ai senti la capote se remplir chaudement. Par contre, il bandait toujours. Il s'est retiré, a enlevé sa capote.


Je me suis levée. Le temps que je sois sur mes pieds, il avait déjà remis une capote. Il m'a retourné, enlevé ma jupe, ma chemise et mon soutif et m'a repoussée vers la table. J'ai posé mes coudes et mes avant-bras sur la table. Il m'a pénétré très rapidement et il a pris une cadence rapide. Ses cuisses claquaient contre mes fesses et je sentais ses couilles claquer mon sexe. Il me tenait par la taille assez fermement au début mais bientôt une de ses mains est venue autour de mon anus. Il a commencé à me titiller l'anus pour me le détendre un peu. Il a fini par y glisser un doigt en lubrifiant mon trou en crachant dedans. Et il a fini par se retirer de mon sexe pour venir dans mon cul. Il n'a pas rajouté de lubrifiant. Sa pénétration a été pourtant facile, presque pas douloureuse. Faut dire aussi qu'il n'a pas été brutal en me pénétrant par l'anus. Il l'a fait très lentement. Puis il a fait quelques va-et-vient lents avant d'accélérer la cadence. Ce début de sodomie était doux et agréable. Je gémissais à la fois pour mieux supporter la petite douleur qu'une sodomie me procure mais aussi pour lui montrer mon plaisir. Mes « mmmmh » et « an » étaient accompagnés par des mordillements de ma lèvre inférieure. Puis il m'a claqué les fesses plusieurs fois d'affilé, 5 ou 6 fois avant d'entamer des va-et-vient brutaux. Il s'enfonçait en moi tellement fortement et puissamment que c'était difficile pour moi de me maintenir sur la table. A chaque coups de rein dans mes entrailles, mon corps avançait et mes bras glissaient sur la table en s'écartant. Lui, il a fini par lâcher ma taille pour venir me presser les seins, me les malaxer. Puis après mes seins, mais toujours en me sodomisant ardemment, il me prit par les cheveux pour me tirer vers lui. Je me suis mise à crier à cause de la douleur. Il a fini par me lâcher les cheveux pour mieux me tenir les épaules. Il m'attirait vers lui à chaque coup de rein, les rendant plus violents dans l'impact, ce qui me faisait toujours crier. Puis au bout de quelques minutes, il m'a lâché les épaules, a appuyé sur mon dos pour que je sois couchée sur la table et il a fini par éjaculer dans mon cul. Il s'est alors retiré tout aussi sèchement qu'il s'était introduit et il s'est dirigé vers la salle de bain. Moi je suis restée un peu sur la table pour me remettre de la baise. Puis j'ai attendu qu'il sorte de la salle de bain. Quand il est sorti, il m'a dit d'aller prendre une douche et de venir le rejoindre dans son lit.
Il était nu, allongé, il se masturbé, et il m'a demandé de lui tailler une pipe. Il s'est laissé faire, se contentant de me caresser le corps . Il a jouit rapidement, genre en 10 minutes. Puis on a un peu parlé avant de nous endormir.


Ce matin, je me suis réveillée avant lui. On était nus et enlacés. J'ai attendu qu'il se réveille puis je suis partie.

Le propriotaire


Le jeudi, je me suis rendue chez elle, finalement plutôt que prévu, le propriétaire ayant avancé l'heure du rendez-vous.. J'ai visité l'appartement, que j'ai trouvé sympa. Visiblement, elle était soulagée et contente que je sois là.
A peine la visite de terminée, on a sonné à la porte, elle est allée ouvrir, et un type la cinquantaine, grisonnant, assez petit, bedonnant est rentré. Il s’est assis, avant qu'il n'est eu de dire quoi que ce soit, j’ai pris les devant, en lui disant qu’on souhaitait  faire une co-location,  qu’on était d’accord sur le nouveau montant du Loyer, donc on pouvait signer le nouveau bail !

Pour le coup, il paru décontenancé, intimidé et gêné, puis rapidement il rajouta doucement « et pour les services ? »
Amusée par sa gêne, je lui ai demandé ce qu’il entendait par là, et de nous expliquer, qu’il était seul, et qu’il n’avait plus de relations sexuelles…, et qu’il souhaitait qu’on s’occupe de lui de temps à autres, mais que l’autre, en parlant d’Anne, ne voulait pas.

Je ne lui ai pas laissé plus de temps, et je lui ai dit que moi, j’étais d’accord, mais que ce serait une seule fois par mois. Anne-marie, lui à donné le bail et lui a  demandé de signer le document, ce qu’il  fît. Puis il s’est levé, pressé de partir, les yeux fuyant mon regard. Moi qui apprécie les hommes entreprenant, et bien là avec lui, c’est pas gagné ! J’ai donc décidé de prendre les choses en main.
Je me suis alors approché de lui, et j’ai posé la main sur sa braguette, je sentais son sexe dur a travers l’étoffe du pantalon.
J’ai ouvert sa braguette, déboutonné le bouton, son pantalon est tombé sur ses chevilles, il est devenu rouge, ma main a plongé dans son slip, ou j’ai trouvé un sexe certes dur, mais minuscule !
Pour venger Anne-Marie, j’ai alors baissé son slip. Il était là, pantalon et slip baissé, le sexe droit, fin, pas très long, le sexe d’un garçon avant la puberté.
Anne était assise, visiblement, elle était décontenancée par la situation et mon attitude !
 J’ai saisi son sexe et j’ai fait glissé ma main sur son pénis, et là il a éjaculé en 30 secondes, son sperme coulait sans jets, j’en avais plein la main et je continuai à le masturber, les spasmes le faisait se pencher en avant, ça ne devenait plus agréable pour lui..
J’ai essuyé ma main de son jus sur ses fesses, en lui disant : - « c’est pour ce mois, la prochaine fois je viendrai chez vous », il bafouilla, « oui, oui » et après avoir remonté son pantalon, il est parti prestement.

Anne-Marie était toujours assise, pendant que je me lavais les mains, elle éclata de rire et me dit « tu ne manques pas de culot, toi ! »
En tout cas, on a un bail de 3ans, j' allais pouvoir déménager.
Nous avons convenu que je pourrai m’installer dés la semaine prochaine, je demanderai à Robert de me donner un coup de main pour transférer mes affaires.
J'ai pris congé d’Anne, il était temps de rentrer et de me préparer, pour mon rendez-vous de ce soir.

mercredi 11 avril 2012

Anne-Marie


Lors de visite hier, chez robert, connaissant mes problèmes actuels pour trouver un logement, il m’a présenté Anne-Marie.
Elle est rentrée avec un grand « BONJOUR », sans frapper, sans prévenir, nous surprenant moi entre les jambes de Robert et lui son sexe dans ma bouche. Instantanément Il éjacula au fond de ma gorge, surprise par l’entrée de la demoiselle, je me suis quasiment étouffée, du sperme est même ressortie par le nez !

Je me suis relevée brusquement les seins à l’air, la bouche barbouillée, étonnée de me trouver en face de cette fille, elle enleva son blouson, sans plus prêter à la situation.
Robert se leva, remonta son pantalon, et il fit les présentations. Anne-Marie est étudiante, 21a, pas très grande, très féminine, de beaux cheveux blond, une taille très marquée, une fille paraissant très sympathique, mais plutôt réservée.

Je suis allée à salle de bain faire un brin de toilette et j’ai enfilé un pull, avant de les rejoindre à table pour prendre le café.
Robert à fait sa connaissance dans une exposition, et depuis elle pose régulièrement pour lui. Elle avait un job chez Mac-Donald, mais ils ont baissé sont nombres d’heures de travail, et maintenant elle arrive difficilement à régler toute seule le loyer de l’appartement.
Son propriétaire ne veut pas lui renouveler son bail, sauf contre des services. J’ai eu très vite fait de comprendre de quoi il pouvait s’agir ! Un grand silence s’installa, puis Robert dit : - «  tu cherches un logement, vous pourriez le faire en Colocation ! »  Je m’adressai à Anne-Marie pour lui demander les conditions, elle murmura « 350 », à quoi je répondis « ça me va ! »
Robert rajouta en me regardant « réjouissez-vous pas trop vite, il y a le problème du proprio et Anne refuse ses demandes… »

Sans réfléchir, j’ai lancé : » je m’en occupe !»

Elle m’expliqua que le proprio devait passer la voir, le jeudi vers 17h, pour des travaux à effectuer, et bien je serai là….

mardi 10 avril 2012

Week-end de Pâques

Je suis partie les 3 jours en week-end dans les collines de l’ouest Lyonnais avec mes clients. Après une journée de travaille ordinaire, J'ai quitté le boulot à 15h. Le temps de prendre une douche et de faire un sac où j'ai mis un maximum d'affaires. Une voiture m’attendait en bas...
J’imagine la tête d’Hervé, quand il va rentrer et que je ne serai pas là.

 Mes clients, un couple, Xavier, 47 ans et sa compagne, Anne, 41 ans m'ont amené dans leur résidence secondaire, une très belle maison. Un peu plus de 1 heures de route dans un luxueux 4x4 allemande, sièges en cuir... Et tout ça avec chauffeur, une armoire à glace pas causante, prénommé Farid et comme son prénom l'indique typé du Maghreb, brun, peau mat, cheveux très courts presque rasé, Un physique énorme, genre 2m et 120 kg, des bras gros comme ma cuisse, un ancien militaire de la Légion m'a dit Xavier. Dans la voiture, on a parlé de ce qui allait se passer dans ce week-end, de leurs attentes, mais ils n'avaient rien prévu de particulier, juste une sortie au restaurant pour ce soir. Quand on est arrivé à la demeure (oui à ce niveau c'est une demeure, pas une simple maison), j'ai eu droit à une visite: la pièce à vivre immense, les chambres, la salle de sport, le sauna, le jacuzzi 8 places, les salles de bain... Bref tout était luxueux et sentait l'argent terriblement. Après cette visite, on s'est préparé pour aller au resto. On est allé dans un resto très chic. Au retour du restaurant, les choses se sont enfin décantées.

Oui j'attendais ça, un week-end de sexe. Et ça a commencé dans le 4x4, sous les yeux du chauffeur, qui ma foi s'est bien rincé les yeux. C'est Xavier qui a commencé par me caresser, passant ses mains dans mon décolleté. Sa femme regardait puis s'est mise, elle aussi à me toucher, remontant ma jupe, au niveau de ma taille. Bien entendu, je me laissais faire, les aidants au possible. Puis Xavier m'a demandé de le sucer. Il bandait bien, un beau sexe, bien proportionné, ni trop gros, ni trop petit, j'ai posé mes lèvres dessus. J'ai avalé doucement son sexe jusqu'à la garde (et donc pour moi jusqu'au fond de ma bouche) avant de remonter mes lèvres sur le gland pour le sucer et le lécher. En même temps, je lui ai caressé ses couilles. Je prenais la cadence pour le sucer, le lécher, l'exciter, le caresser. Je l'entendais souffler et à un moment, il finit par dire à sa femme: « on ne nous a pas menti, c'est une vraie bonne suceuse » puis il rajouta « doigtes la, je veux qu'elle soit bien exciter ». Et Anne a glissé ses doigts sous mon string et a commencé a me caresser le clito, puis à enfoncé un puis deux dans ma chatte qui s'est rapidement humidifiée. Xavier, lui, a défait le nœud de ma robe de sorte que maintenant ma poitrine était offerte aux regards.

Quand nous sommes arrivés à leur maison, il n'avait toujours pas joui. Farid est sorti de la voiture. On s'est encore amusé un peu avant que Xavier ne vienne dans ma bouche par grosses giclées épaisses et musquée. Alors, nous sommes sortis de la voiture, moi à moitié nue, pour entrer dans la maison pour aller directement dans leur chambre. Anne m'a alors déshabillé complètement puis je l'ai déshabillée. Nous étions désormais nue, pour le plus grand bonheur de Xavier. On s'est touchée, caressée, embrassée. Je me suis amusée à lui lécher les seins, puis elle les miens. On a fini en faisant un petit 69, elle sur moi et on s'est donné du plaisir et c'était agréable. Xavier nous regardait et se caressait lui aussi. Sa femme lui a fait signe de nous rejoindre et il n'a pas tardé. Il a pénétré sa femme à quelques centimètres de mon visage, en levrette. Par moment, je mettais un petit coup de langue sur leurs sexes mélangés pendant qu'Anne me bouffait littéralement la chatte. C'était bon et je lui faisais comprendre par de petit gémissement. Xavier éjaculat dans la chatte de sa femme, mais il jouit en se retirant et du coup, du sperme coula sur mon visage.

Il glissa sur le coté et nous, nous avons repris notre 69. De son sexe s'écoulait alors un mélange de cyprine et de sperme qui n'était pas mauvais et donc j'appréciais la saveur. Elle a fini par jouir et quelques minutes après ça été à mon tour. C'est ainsi que nous avons clôt la soirée. Ils ont tenus à ce que je dorme avec eux, entre eux, une nuit où j'ai senti des mains se baladées sur mon corps. On s'est réveillé bien tard ce matin. C'est Xavier qui m'a réveillée en me caressant. Anne dormait toujours à coté de moi. Il m'a embrassé avant de venir sucer mes tétons qui n'ont pas mis longtemps à montrer le bien que cela me faisait. J'ai commencé à branler Xavier et son sexe n'a pas mis longtemps pour trouver de la vigueur. Xavier a pris une capote, l'a enfilé et est venu entre mes cuisses pour me pénétrer. Il me baisa doucement, sa femme dormant toujours à coté de nous, et longuement. Pendant qu'il me baisé, je caressais son dos et ses fesses qui étaient plutôt musclées. A un moment, j'ai vu que sa femme s'était réveillée et qu'elle nous regardait. J'ai alors approché mon visage du sien et nous nous sommes embrassées, avant qu'elle n'embrasse son mari. Elle s'est alors mise à nous caresser, surtout pour moi, mon sein droit, le plus proche d'elle. Elle finit par poser sa bouche dessus, pour me le lécher, le téter, le mordiller, le sucer. Autant vous dire que cette fois mon désir a explosé dans une explosion dans mon ventre qui s'est traduite par un cri de plaisir pour la plus grande joie de mes hôtes. Xavier lui aussi n'a pas longtemps à venir dans le latex. Quand il s'est retiré de moi, Anne est venue lui lécher son sexe pour le nettoyer et je les ai regardé en me caressant le corps. Après cela, nous nous sommes lavés ensemble dans la grande douche à l'italienne de la salle d'eau de leur chambre.

J'ai ensuite enfilé ma tenue pour le samedi, mon pantalon et mon haut hyper sexy avec mon shorty noir. Au petit déjeuner, ils m'ont annoncé le programme de la journée. En fait rien de particulier pour la journée en elle-même, en gros jacuzzi, sieste, ne rien faire... La soirée, par contre allait être plus animée. Des amis à eux devaient venir manger, un traiteur apportera la nourriture et moi je serais présentée comme une nièce à Anne. Après avoir mangé et mettre fait une beauté, je me suis baladée dans la maison. C'était parfait comme maison, il y avait tout ce qu'on pouvait avoir besoin. Je suis allée au jacuzzi avec Anne tandis que Xavier est parti faire du golf. On s'est baignée nue. Dans le jacuzzi, Anne m'a demandé un massage. Elle s'est installée devant moi et je lui ai massé le dos, les épaules avant d'aller lui masser le ventre. J'ai fini par lui masser ou plutôt caresser les seins. Vu que je me suis assise sur le rebord du jacuzzi, Anne était entre mes cuisses, et elle se frottait à moi, sa nuque sur mon sexe. Je ne suis pas allée plus loin dans l'érotisme, si elle voulait plus, alors elle n'avait qu'à prendre la main. Comme je n'avais pas si chaud, je suis retourné dans l'eau. Puis nous avons discuté fringues, chaussures... comme si rien ne c'était passé juste avant. Au final, on a passé l'après-midi dans le jacuzzi puis dans le sauna. C'est Xavier qui nous a dit qu'il était temps de se préparer pour ce soir. Je mettais ma robe pull qui a une allure très sage avec ma lingerie blanche moins sage mais donc personne ne pourrait connaître l'existence. La nièce parfaite en apparence.

Ce soir il y avait en fait deux couples avec leurs enfants. Un des couples, des parisiens avaient une fille de 18 ans, Emma avec qui je me suis bien entendue. Nous avons échangé nos numéros et autres mails. On s'est dit qu'on allait se revoir.
Quand ils sont partis, nous sommes montés dans les chambres, la femme de ménage s'occuperait de tout nettoyé le lendemain. Ils m'ont dit de venir dormir avec eux. Xavier s'est quasiment jeté sur moi pour enlever ma robe et m'a laissé ensuite en lingerie en disant « magnifique ». Puis il m'a demandé de les regarder faire l'amour. Alors, je suis restée au bout du lit, et eux ils se sont envoyés en l'air sous mes yeux pendant de longues minutes. C'était vraiment sympa mais difficilement supportable car plutôt excitant et l'envie d'y aller était au final forte. Heureusement, ils ont fini à un moment de faire leurs galipettes et ils m'ont demandé de me déshabiller devant eux. Une fois que j'étais nue, ils m'ont invité à les rejoindre. Je me suis mise entre eux, couchée sur le dos. Immédiatement, leurs mains et leur bouche se sont mises à explorer mon corps, jusqu'à ce que leur bouche ne s'arrêtent sur mes seins, chacun le leur. Et avec leurs doigts, ils me caressaient l'entrecuisse. Les doigts d’Anna s’enfonçaient de plus en plus loin en moi. Je me laissai totalement faire, son mari mis de l’huile sur la main de sa femme, et peu à peu sa main à pénétrée totalement mon intimité. C'était trop bon. Ils ont continué comme ça jusqu'à ce que je jouisse. J’ai complètement explosé, j’inondais les draps du lit, emprisonnant la main d’Anna dans mon vagin. Le temps que je reprenne mes esprits et ils sont passés de nouveau à l'offensive, surtout Xavier.

Il s'est glissé entre mes cuisses et m'a pénétré sans que je puisse voir qu'il avait mis une capote. Le latex glissa facilement entre mes lèvres intimes et Xavier me baisa assez rudement sous les yeux de sa femme. Autant il avait été doux avec sa femme et dans ses caresses avec moi, autant là, il me prit brutalement, sèchement. Ses coups de reins étaient puissants. Ses mains me tenaient fermement et quand il me lâcha, ça été pour mieux s'attaquer à mes seins en les écrasant, les pressant et pas de façon douce. Bon ce n’était pas violent non plus. Il a rapidement joui et s'est retiré aussi vite qu'il m'avait pénétrée. J'étais « out » pour un petit moment car cette baise m'avait épuisée. Je dois manquer d'entrainement. Mais comme lui aussi était out, j'ai été tranquille pour le reste du soir. Anne m'a caressée un petit peu mais je me suis endormie.

 Dimanche

 C'est Anne qui m'a réveillée en me caressant. Une fois que j'étais bien réveillée, elle m'a demandé de faire un 69. Je me suis mise au-dessus, la tête au pied du lit. Xavier qui s'était réveillé nous a regardé d'abord sans rien faire, puis en se branlant. Quand il a été au moment d'éjaculer, il s'est mis en face de mon visage et à lâcher plusieurs giclées sur moi et sur le sexe de sa femme. Puis il a été essuyé son sexe sur mes fesses avant de partir de la chambre. J'ai fini par jouir puis Anne quelques minutes après. Je suis allée me doucher avant de descendre manger, un brunch. Après manger, ce fut tranquille.

Lundi

 Anne et Xavier sont sortis ensemble, me laissant seule dans cette grande maison. J’ai décidé d’utiliser le Jacuzzi, je me suis laissée envahir par cette douce torpeur. Farid est rentré sans que je ne l’entende. Il était devant moi nu, son sexe dressé fièrement. Un sexe à l'image de son physique, c'est à dire imposant, je dirai presque une poutre, plus de 20 cm et plus de 5cm de diamètre. Je vous laisse imaginer l'ensemble. Mais bon, ce n’est pas ça qui m'arrête. J’ai vite compris ce qu’il attendait de moi.

Il m'a tendu la main que j'ai saisie et il a tiré pour me sortir du bassin. Sans un mot, il s'est mis a genoux, et a coller sa bouche sur les lèvres de mon sexe, en me malaxant les fesses. Très vite, j’ai senti mon sexe s’ouvrir, rapidement et contre toute attente, un premier orgasme déferla dans mon corps. Je tremblais sur mes jambes qui ne supportaient péniblement. Il se redressa et me souleva du sol, me reposant sur son sexe qui me pénétra sans difficulté. Je mis mes bras autour de son coups, lui passa ses mains sous mes fesses pour me maintenir et il commença des mouvements de bassins, de plus en plus ample, de plus en plus rapide et violent .
Lui, ne s’occupait pas de moi, il continuait à me besogner à grand coup de rein, toujours aussi rapidement, toujours aussi intensément.  Prise par un nouvel orgasme encore plus violent, je me cramponnais fermement à son coup, je tremblais de tout mon corps. Son sexe continuait à renter et à sortir de moi, toujours avec autant d'intensité, je respirais difficilement et un autre orgasme tout aussi violent ma saisie de nouveau.
Puis il s'arrêta brusquement, en grognant et en serrant fortement mes fesses entre ses mains, j’ai senti son foutre couler à flot de mon vagin.
Il m'a reposé au sol,  il est parti sans un mot, me laissant seule, sans force, totalement vidée, a mes pieds une mare de nos fluides mélangés. Dieu ! Quelle quantité ! Pour une seule éjaculation, impressionnant !

 Retour sur Lyon. 1H de route. J'ai dormi dans la voiture, assise à coté du chauffeur. On s'est arrêté chez Xavier et Anne avant que le chauffeur ne me ramène. Farid n’a pas dit un mot, et une fois arrivé, il me demande de le sucer dans la voiture.  Autant vous dire que j'ai pas tout pris dans la bouche, c'était pas trop possible. Je l'ai sucé une dizaine de minute puis il m'a prévenu qu'il allait éjaculer, j’ai continué et j’ai senti son liquide chaud envahir ma bouche, que j’ai rapidement avalé de peur d'en recevoir trop. Il me demanda si j'étais intéréssé pour participer a des soirées coquines, avec des bourgeois, et que je pouvais me faire pas mal de fric, puis Il a rajouté « tu es une vrai bonne salope, une pute qui jouie, je n’avais pas vue encore ». J’ai haussé les épaules et il m'a donné sa carte, au cas où j'ai besoin d'un chauffeur. Je lui ai donné la mienne s’il veut une fille et il est parti.

 Hervé m’attendait, je n’ai rien dit, juste que je quitterai l’appartement prochainement. J'ai pris une douche, puis j'ai rangé mes affaires, fait une lessive et j'ai fini par manger avant d'aller me coucher.

mardi 3 avril 2012

Lundi 2 avril

L'homme que je devais accompagner était un anglais, il bosse pour une agence de tourisme.
Il m'a payé tout de suite, le prix d'une prestation pour la nuit. Plutôt jeune, entre 30 et 35 ans, bien british, blond, assez grand, mignon, appelé David.
Nous sommes allés dans un restaurant avec d'autre hommes, eux aussi accompagnés de filles qui ne devaient pas être ni leurs petites amies ou femmes. Après ça, itinéraire classique, un bar puis l'hôtel. Chambre assez simple, un lit, un bureau, une chaise, une salle de bain avec douche. Je me suis assise sur le lit. A partir de là, nous avons parlé en anglais. Il s'est couché sur le lit à coté de moi et m'a attiré vers lui. Il m'a embrassé longuement, et il m' a demandé de lui enlever sa chemise. Je l'ai déboutonné et j' ai embrassé son torse. Je suis descendue plus bas avec ma main et j'ai commencé à lui caresser son sexe à travers son pantalon. J'adore ce moment là, cette découverte m émoustille toujours.

Autant vous dire qu'il a pris rapidement du volume. J'ai alors passé ma main dans son pantalon, puis sous le caleçon pour sentir un sexe lisse sans poils. Il a fini par se relever, debout face au lit, il a ôté son pantalon et son caleçon, pour se retrouver sexe tendu vers moi. Son sexe était long, très courbé avec un gros gland, très gonflé, visiblement il était très excité.
Je me suis assise sur le rebord du lit et j'ai commencé à le branler très doucement, ma main se faisait légère sur son membre, ou pointait déjà une goutte se sperme. Alors il m'a pris la tête entre ses mains et m'a dit « suck me! ».

J'ai commencé à lui lécher son sexe, avec mon bout de langue, puis de passer ma langue sur ses bourses rasées. J'ai pris son gland dans ma bouche et j'ai fait des va-et-vient en l'aspirant, tout en le branlant doucement. Je le fixais du regard, en prenant mon regard de « cochonne ». Il a fini par me caresser les cheveux d'une main et de partir, avec l'autre main, à la découverte de mon corps, plus particulièrement de ma poitrine, d'abord au-dessus du pull, puis en dessous en passant par le décolleté. Ses doigts ont fini par passer sous mon soutif pour venir titiller mes tétons qui ont durcis dès le contact.
Après une dizaine de minute de fellation que j'ai menée comme je voulais, entrecoupée de quelques coups de reins de sa part, histoire d'aller bien au fond de ma bouche, il a fini par lâcher des grosses giclées de foutre épais dans ma bouche, que j'ai avalée sous ses yeux étonnés. Son sperme me rappelait celui de Robert, il en avait la même consistance, la même saveur.
Je me suis laissé tomber en arrière, le dos sur le lit. Lui, il s'est mis à genoux et à passer sa tête sous ma jupe. Il a commencé à me caresser et m'embrasser à travers mon shorty avant de l'enlever. Puis il a commencé à me caresser intimement, en s'attardant bien sur mon clito avec ses doigts puis avec sa langue. Il a relevé ma jupe sur mon ventre avant de poser sa bouche sur les lèvres de mon sexe. Et franchement, il se démerdait vraiment bien. Je lui caressais les cheveux d'une main et de l'autre je me caressais le ventre puis les seins. Il a fait rapidement monter l'excitation en moi, de manière sûre et efficace.
J'ai rapidement su que l'orgasme ne m'épargnerait pas, je m'abandonnais totalement. C'était bon. J'en ai eu des cunnis mais celui de l'anglais doit faire parti du top 5, voir du top 3. J'ai sentir le plaisir m'envahir, mon corps me trahir, se tendre, mon dos se courber, sous les spasme. J'ai crié de plaisir dans un long « yesssssssss » en serrant le dessus de lit dans mes mains. Je sentais ma cyprine coulaitentre mes fesses. J'étais toute essoufflée. Il est venu à coté de moi et m'a embrassé, la bouche pleine de ma liqueur. Il me fit remarquer que les le drap sous mes fesses était trempé, visiblement très fière d'avoir su me donner du plaisir,  On s'est câliné quelques minutes en s'embrassant et en se caressant. Puis, il a pris une capote et m'a regardé en souriant et en me disant « doggystyle ».

Après ce qu'il venait de me faire, je n’allais pas lui priver de sa levrette (et puis j'allais pas m'en priver non plus). Alors j'ai voulu me déshabiller, mais il m'a arrêtée. Il voulait me baiser habillée, drôle de mœurs l'Anglais. J’ai donc remis mes vêtement, sans ma culotte, et je me suis mise à quatre pattes sur le lit. Il m'a attiré vers le rebord, lui étant debout. Il s'est enfoncé très facilement en moi, faut dire que j'étais bien préparée. Il m'a prise tout en douceur, lentement au début. Il me tenait fermement par mes hanches nues, ma jupe  relevée sur le bas de mon dos. Puis ses mains se sont aventurées sur mon corps avant de se fixer sur mes seins, d'abord par dessus mon pull puis en dessous. Il a alors enlevé mon pull, puis mon soutif, puis ma jupe par le haut. Une fois déshabillée à sa convenance, il a accéléré son mouvement, me mettant des coups de reins à la fois sûrs et puissants, s'enfonçant bien en moi, n'hésitant pas à me tirer vers lui quand il s'enfonçait en moi.

De temps en temps, il me claquait les fesses assez fort ou bien glissé un doigt dans mon anus où il crachait dedans pour mieux s'y introduire, il me malaxait les seins sans aucune douceur. J'étais sa pute. Sa dernière touche finale fut magistrale. Il m'a pris les bras, les a mis derrière moi en me prenant pas les poignés et a commencé à accélérer, dans une cadence très rapide. L’impression n’était pas trop agréable,  il  me pilonnait et je n'avais aucun point d'appui. Quand il a lâché mes bras, je suis tombée la tête la première dans le matelas. A peine, remise sur mes bras qu'il m 'a saisie par les épaules pour me défoncer la chatte (oui je ne vois pas d'autre mot). C'était très puissant, très rapide et très excitant. Je ne me retenais pas de crier, et j’ai de nouveau jouie voilement, tout mon corps tremblé. Brusquement, il s'est arrêté, retirée de moi et  j’ai senti alors son sperme gicler sur mon dos et mes fesses. Il s'est laissé tomber à côté de moi, moi j'étais vidée par l’orgasme que je venais d’avoir, j'étais dans état cotonneux. Il m’a embrassé en me disant « thanks, It was awesome! ».

Puis il m'a demandé si je voulais partir ou bien rester pour la nuit tout en me précisant que si je restais, il n'y aurait plus de sexe. Je me sentais bien , j'ai préféré rester pour la nuit. On a sagement pris une douche chacun notre tour puis on s'est couché. On a discuté un long moment de tout et de rien avant de s'endormir chacun de notre côté. C'est lui qui m'a réveillé ce matin. Il a pris mes coordonnées au cas où, m'a-t-il dit. J’ai pris le bus pour retourner à l'appart, puis je me suis allongée pour prendre du repos avant de retourner au boulot. Avant de partir j'ai consulté mes nouvelles demandes, pas grand choses pour le restant de la semaine. Juste un couple la quarantaine, qui me demande de les appeler, je les contacterai demain.

J’ai mis une annonce pour trouver une colocation, demain j’irai voir Robert, après ma première leçon de code.

lundi 2 avril 2012

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