vendredi 23 mars 2012

Jeudi 22 mars

J’ai reçu, à ma grande surprise, beaucoup de demande, il y a vraiment de tout, voir du grand n’importe quoi ! Je sélectionne donc de façon drastique.
Un nouveau rendez-vous de pris, c’est un homme la quarantaine, formateur en déplacement, j’ai hésité car il voulait que je reste toute la nuit, et bien j’ai passée une très bonne soirée.
J’ai mis une robe fourreau noire assez courte achetée la veille. En me regardant dans la glace, je me trouvais très sexy, jolie, loin de la  gamine qui traînait en jean et tee-shirt dans le quartier.

Mon client, Luc, m'attendait à son hôtel. J'ai pris un jus d'orange et il m'a payé, mon prix pour la nuit. Je devais manger avec lui et avec un ami à lui, qui serait accompagné lui aussi d'une fille. Je dois avouer que je me suis demandée s'il n’allait pas me sortir un plan à quatre.
Mais non. Après dîner, il tenait à aller faire un tour pour voir le vieux-Lyon de nuit avant d'aller dans sa chambre dans son hôtel. Nous sommes allés au restaurant, je passe les détails du repas, c'était comme d'habitude, chiant à en crever.

Après ce dîner et avoir quitté son ami et sa compagne, environ 30 ans, très jolie, beaucoup de classe, call-girl pro ( elle parle couramment 4 langues !!!), elle captait tous les regards sur elle, j'en étais presque jalouse. Nous avons fait un tour dans Lyon avec la voiture de location de mon client. C'est vers minuit que nous avons rejoint son hôtel. Un dernier petit vert, whisky pour lui, vodka pour moi. L'alcool ça désinhibe et je crois que si j'en avais un peu besoin, lui, il en avait plus besoin que moi. Bref, après ce verre, on a discuté et là j'ai compris. La quarantaine, jamais couché avec une autre que sa femme depuis qu'il est marié, mais le démon de la quarantaine le rattrape. Je n’avais pas forcément envie de baiser mais j'avais envie de m'amuser un peu. Alors je l'ai chauffé !

De toute façon il fallait aller se coucher, il est allé se changer dans la salle de bain. Moi, j'ai attendu. Une fois libre, j'y suis allée et j'ai laissé la porte ouverte. Le miroir renvoyait mon image, j'ai pris mon temps pour me déshabiller et je voyais du coin de l'œil dans le miroir qu'il me regardait.
La douche de prise, je suis sortie en peignoir et boxer de couleur violette claire avec des touches de dentelle noire, il cachait maladroitement l'effet que cela lui avait fait. Je me suis couchée à coté de lui et je lui ai demandé s'il voulait un petit massage. Il a accepté et j'ai commencé à lui mettre de l'huile de massage sur son dos. Je me mettais au dessus de ses hanches et je le lui ai massé le dos. Puis je lui ai demandé de se retourner pour lui masser son torse. Il s'est retourné et j'ai repris mon massage. Mais très vite j'ai senti que mon massage lui faisait un gros effet au niveau de la ceinture.
Dès que je m'allongeais un peu, je sentais son sexe dressé frotter contre mon ventre. Je m'amusais à descendre le plus bas possible, glissant mes doigts sous l'élastique de son caleçon. Et finalement, il a pris un peu de courage et a posé ses mains sur mes hanches pour les caresser. Et voyant cela, je me mis à le chauffer encore plus. Je le poussais au vice sans prendre l'initiative. C'est le client qui laisse parler ses envies, mais il faut l'encourager.

Je me tournais et me mettais au-dessus de son ventre, il avait mes fesses en gros plan, mon entrejambe à hauteur de son sexe, pour lui masser les jambes. Je glissais mes mains le long de ses jambes poilues, comme le reste de son corps d'ailleurs. Je m'amusais encore à remonter très haut, flirtant avec ses couilles par moment. Lui me caressait les hanches et remontait au fur et à mesure vers mes seins qu'il finissait par atteindre. Je me retournais vers lui et il m'attira vers lui pour m'embrasser. Pendant ce temps, j'avais glissé sa main sous son caleçon et je lui caressai le sexe.
Son sexe n'était pas trop gros mais bien dur, plutôt fin. Je me mettais à quatre pattes à coté de lui, mes fesses vers lui. Il a continué à me caresser les seins mais de temps en temps une de ses mains venait sur mes fesses ou entre mes cuisses. Il était très doux dans ses caresses et du coup, c'était plutôt agréable même si je savais que ce soir, je ne prendrai pas trop mon pied, il était bien trop coincé pour faire des choses qui pourrait m'exciter. Je le branlais toujours et rajoutais de temps en temps quelques coups de langues puis allant crescendo, je finissais par le sucer.
Je le sentais se tendre de plus en plus, signe annonciateur qu'il allait venir. D'ailleurs, il me le dit entre deux respiration « attends, je vais... », et moi j'avalais entièrement son sexe. J’ai senti un flot envahir ma gorge, 4 grosses giclées d'un sperme épais, salé et musqué. A mon avis, ça faisait un moment lui aussi qu'il n'avait pas éjaculé. J'avalais le tout comme d'habitude. Cela l’a surpris et il m’en fit la remarque. D'abord qu'il était désolé d'avoir éjaculé dans ma bouche, avant de me faire » part de son étonnement, d’avoir avalée.

 Je le rassurais en disant que ça ne me gênait pas et que j'étais habitué à avaler, que j'aimais ça. Il me répondit que lui, sa femme faisait rarement des fellations et qu'elle ne voulait pas qu'il vienne dans sa bouche, ni sur elle d'ailleurs. Puis il me fit la remarque qu'à mon âge, ça le surprenais. Je lui répondais que beaucoup de fille de mon âge le faisait. En soupirant, il me dit - « j'espère que ma fille ne fait pas ça... ». Je lui demandé quelle âge avait-elle, 17 me répondit-il. Et je le provoquais légèrement, si elle aime ça, elle le fait forcément. Comme guise de réponse, j'ai eu droit à un grognement et il me mit sur le dos et se glissa entre mes jambes écartées. Il posa son sexe sur le mien et commença à me pénétrer. Mais je l'arrêtais net, et je lui ai dit « capote. Il en prit une en me disant « tu suces sans capotes mais tu baises avec une capote, un peu bizarre non? ».

 Je haussais juste mes épaules en guise de réponses et il me pénétra sans trop de préparation ce qui me fit gémir. Sans forcément mettre de puissance, il me baisa un long moment en missionnaire sans me toucher, juste la pénétration. A un moment, il me bascula sur lui en roulant sur le coté mais il me baisait simplement, sans fioritures. Je n'aimais pas, j'aime bien être caressée, cajolée, ou être bousculée, violentée. Il aurait pu profiter de mon jeune corps mais non. Je lui caressais le torse, je simulais un plaisir qui ne viendrait pas.
Il finit par jouir en criant dans un coup de rein plus puissant que les autres.
 Il se retira bien vite et me poussa sur le coté, se rapprocha de moi, m'embrassa et me dit merci. Je lui laissé le plaisir de balader ses doigts, pendant quelques minutes avant qu’il ne s’endorme en ronflant. Le lendemain matin, ,avant de prendre congé, il m’a offert un parfum de marque, « un petit cadeau pour te remercier de cette nuit ».

Au moins, le client était satisfait. Je suis rentrée chez moi rapidement, ou j’ai pris une douche et filé au boulot, la tête à l’envers ! il faut que j'arrête de prendre des rendez-vous le jeudi soir, mon emploi du temps ne me le permet pas....

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