mardi 27 mars 2012

Mardi 27 mars

De repos ce mardi, et n’ayant pas obtenu de rendez-vous plus lucratif, j’ai décidé de prendre deux clients dans la journée. Après avoir fait la flemmarde au lit, je me suis préparer, enfilé un jean, des bottines et un tee-shirt moulant, sans soutif pour me rendre au premier.

A 15h, j’étais au bar en attendant mon client. Je dégustais un jus d'orange, j’aime ce fruit, et la viscosité de la salive s'en trouve modifier, elle devient plus « gluante ». La bouche et la langue deviennent alors beaucoup plus douce, parait-il !
Et quelle ne fut pas ma surprise en voyant débarquer mon ancien prof de comptabilité, que j’avais eu pendant 2 années. Pas forcément beau mec, dans les 40 ans, un mec tout ce qu’il y a de plus banal. Lui aussi ma reconnu rapidement. Et là, j’hésitais, finalement il prit les devant et me demanda où on allait.
Visiblement, lui ça le gène pas de se faire sucer par une de ses anciennes étudiantes. Je l’emmenais chez moi. A peine arrivé, il enleva directement son pantalon et son caleçon, il était, là devant moi a moitié nu, son sexe à demi gonflé, comme les autres, je le fis s’asseoir sur le clic-clac.

J’ai saisi son sexe doucement dans ma main et commença à le caresser, son sexe pris un beau volume. J’avais du mal à m’enlever de la tête que j'allais sucer un de mes anciens profs. J'ai fermé les yeux, et je m’y suis mise de bon cœur. Ses gémissement et ses mouvement de hanches, me prouvaient qu' il appréciait. Lui me caressait ma tête et il finit par faire glisser sa main dans mon haut et me caressait la poitrine, me pinçait les tétons, me les tortillaient… Il finit par jouir dans ma bouche puis il se retira. Il restait assis et commença par me questionner pourquoi je faisais ça ? Je lui donnais des réponses vagues qui avaient l’air de le contenter. Puis finit par poser cette question : « est ce que tu vas plus loin avec tes clients ? » Je lui demandais « comment ça plus loin » et me répondit « est que tu passes à l’acte sexuel en lui-même, pénétration, sodomie… » Je lui répondis « oui » sans m’épancher sur le sujet et lui me répondit « dommage, si tu baises aussi bien que tu suces, tu dois avoir du succès ! ». Je dois avouer que j’étais sur le cul qu’un prof, quoique client, me dise ça ! Il se leva et parti de chez moi sans oublier de payer et en partant, il me dit, « à une prochaine fois pour te baiser ».

 Après m’être remise de mes émotions, je décidais d’aller faire un tour en ville pour m’aérer et me changer les idées avant mon prochain rendez-vous. Après avoir fait les magasins pendant 1 heure, je rentrais chez moi. Je décidais de rester comme j’étais habillée. Arrive l’heure de mon rendez-vous. Je descendais au bar et me mit à attendre mon client tout en sirotant mon jus d’orange, sur la terrasse ensoleillée de ce début de printemps. Mon client arrive, charmant, habillé assez décontracte avec une chemisette blanche en coton style baroudeur revenant d’Afrique. Je le fis monter chez moi et s’asseoir sur le clic-clac. Je lui déboutonnai son pantalon et lui mit la fameuse capote, goût fraise pour changer un peu. Lui me demanda d’enlever mon haut, Je me suis retrouvée les seins à l’air sous l’œil plutôt ravi de mon client. Je commençai à lui faire une pipe mais j’arrêtais rapidement le goût fraise étant vraiment affreux. Je lui demandais si je pouvais continuer sans la capote et me répondit positivement avec un grand sourire ravi. Je mouillais, carrément excitée, j’ai fini par déboutonner mon jean et j’ai commençé à me caresser. Je n’avais plus le sentiment d’avoir affaire à un client mais à un mec avec qui je pourrai m’envoyer en l’air. M’en activant sur sa queue et sur ma chatte la situation devenait ambiguë. Mon client finit par m’annoncer qu’il allait jouir, j’avais envie qu’il se répande en moi. Il se mit à éjaculer, plusieurs jets assez importants, j’avais la bouche remplie et j’ai laissé le sperme s’échapper et couler sur mes seins et mon ventre. Après quelques minutes où je laissais ma tête posée sur ses cuisses, il me releva pour essuyer le sperme qui avait coulé sur moi. Il s’est rhabillé, puis me paya, en laissant un pourboire. Il a quitté l’appartement rapidement, en me disant qu’il espérait bien me revoir, le plus rapidement possible…

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